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lundi, juin 16, 2025
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Arlon : ouverture de la patinoire le 1er décembre !

La traditionnelle patinoire de la ville d’Arlon ouvrira ses portes le samedi 1er prochain. Voici toutes les informations à connaître avant d’enfiler ses patins.

Elle va une nouvelle fois faire le bonheur des grands et des petits : la patinoire d’Arlon sera de retour à partir du samedi 1er décembre sur la place Léopold. L’inauguration se fera en présence des autorités communales. Avant d’enfiler vos patins pour surfer à vive allure sur la glace, Shootlux vous propose une petit récapitulatif des informations pratiques à connaitre.

Suivez le guide !

Les horaires

La patinoire sera accessible du samedi 1er décembre au dimanche 6 janvier 2019 compris, de 13h à 19h. Deux nocturnes sont prévues cette année : le vendredi 14 et samedi 15 décembre, elle sera ouverte jusqu’à 22h. A noter également que pour fêter la fin des examens dans l’enseignement secondaire, elle ouvrira dès 10h le vendredi 14.

Les veilles et jours de réveillon, à savoir le 23, 24 et 30, 31, la patinoire fermera ses portes à 17h afin de permettre au personnel de rejoindre à temps leur famille pour les fêtes. La patinoire sera fermée les 25 décembre et 1er janvier.

Les tarifs

Les tarifs seront une nouvelle fois accessibles à toutes les bourses. Une heure de glisse coutera 6€, location des patins incluse. Si vous disposez déjà du matériel, l’heure d’amusement ne vous reviendra qu’à 4€.

Il est également possible de privatiser la patinoire pour des groupes ou des sociétés. La location coûte 490 €.

Les week-ends, les enfants peuvent organiser leur anniversaire à la patinoire pendant deux heures. Cela revient à 10€/pers avec 2 boissons offertes. Dans ce cadre, les réservations ne sont possibles que les samedis ou dimanches de 10 à 12 heures ou 11 à 13 heures pour maximum 2 groupes de plus de 15 enfants (occupation privée de 2 heures + 2 boissons par personne).

Les réservations se font par téléphone au 0496/878215 – 063/22.47.97

Le Marché de Noël Solidaire en même temps

La patinoire ne sera pas la seule activité à rythmer les fêtes de fin d’année dans le chef-lieu luxembourgeois. Le Marche de Noël solidaire à Arlon aura lieu le 14, 15 et 16 décembre sur la place Léopold, juste à côté de la patinoire. Une soixantaine d’exposants seront présents sous le chapiteau pour exposer leur artisanat, les produits de bouche et de la petite restauration. Un coin ciné et grimage sera réservé aux enfants et différents ateliers sont prévus au “Palais”, annonce l’Association Commerciale et Industrielle d’Arlon.

Côté gourmandise, des crêpes au Nutella, du vin chaud, du chocolat chaud, des bières et soft attendent les passants. Et cerise sur le gâteau, les parkings sont gratuits les samedis 8-15-22 et 29 décembre.

L’inauguration du marché se tiendra le vendredi 14 décembre à 18h30 avec la présence du Père Noël et de ses petits lutins. Le Père Noël sera présent le samedi et dimanche et rencontrera les visiteurs à l’entrée du “Marché” entre 14h30 et 17 heures.

Arlon : un chalet de Noël, de la raclette à volonté !

Lucas - Le chalet à Arlon

Le Beach Club d’Arlon va se métamorphoser pour les fêtes de fin d’année en accueillant un chalet de Noël géant. Il fera office de restaurant à raclette. Le concept sera entièrement organisé et géré par un jeune de la région.

La légende qui raconte qu’il ne se passe jamais rien dans le chef-lieu de la province de Luxembourg a du plomb dans l’aile. Après avoir accueilli une plage de sable chaud et une grande terrasse en bois pendant l’été, le Beach Club d’Arlon va une nouvelle fois être « the place to be » dans le cadre des fêtes de fin d’année.

Dès ce samedi 17 novembre, le Beach Club va en effet se métamorphoser en un immense chalet de Noël et deviendra un restaurant éphémère. Le chalet réservera un accueil chaleureux aux convives, avec un menu spécialement conçu dans l’esprit et l’atmosphère des fééries de Noël. Celui ci  sera composé d’un apéritif Maison avec mise en bouche de foie et d’une raclette avec pomme de terre vapeur et salade comme plat de résistance. Le menu sera affiché à 35 euros par personne.

Ouvert du jeudi au dimanche entre 18h et 23h, le chalet pourra abriter un total de 120 personnes dans une ambiance cosy et propice au partage. Les réservations se feront uniquement via un numéro de téléphone ou via le site Internet.

Pour suivre l’actualité du chalet sur facebook : CLIQUEZ-ICI

Pour réserver votre table ou avoir des informations : CLIQUEZ-ICI

Un talent de notre région à la manœuvre !

La personne qui se cache derrière ce concept enchanteur n’est d’autre qu’un jeune talent de notre région. Lucas travaille à l’hôtel Van Der Valk depuis février dernier en tant que barman. Il rêve un jour de monter sa propre affaire, et l’expérience acquise auprès du complexe hôtelier l’aide dans ce sens.

Lucas – Le chalet à Arlon

Pour ceux qui ont foulé le Beach Club durant l’été, son visage ne vous est peut-être pas inconnu. Après avoir géré d’une main de maitre le Beach Club, le jeune homme a séduit la direction de l’hôtel, qui désire aujourd’hui lui accorder sa confiance et son aide pour la réalisation de ce concept de fin d’année.

« Arrivé sans expérience à l’hôtel, Lucas a la fibre entrepreneuriale et rêve de monter sa propre affaire. Le chalet de Noël lui offrira une première expérience dans l’horeca. C’est une confiance mutuelle, et c’est bénéfique à la fois pour lui et pour nous » explique Steven Zeeuw van der Laan, le directeur de l’hôtel Van Der Valk.

Découvrez les restaurants les plus exceptionnels en province de Luxembourg !

Le cru 2019 du Gault & Millau a été dévoilé il y a quelques jours. La seizième édition de la bible culinaire réserve de jolies surprises du côté de la province de Luxembourg.

Le célèbre guide culinaire Gault & Millau, et grand rival du non moins célèbre guide Michelin, a dévoilé lundi après-midi la liste des restaurants belges et luxembourgeois dont la qualité de la cuisine mérite d’être soulignée. Et bonne surprise, la province de Luxembourg s’en sort particulièrement bien. Pas moins de 46 établissements obtiennent au minimum 12/20. Mieux, quatre restaurants d’exception décrochent même une note supérieure à 15/20. Des évaluations qui peuvent sembler sévères, mais qui sont en réalité déjà très élevées pour le Gault & Millau, dont les inspecteurs anonymes sont réputés pour leur sévérité et leur intransigeance.

L’Auberge du Moulin Hideux, située à Noirefontaine (Bouillon), obtient un score de 15,5/20 pour ses plats gastronomiques et son service tiré à quatre épingles. Déjà membre des « Relais & Châteaux » et des « Grandes tables du monde », la récompense décernée par le Gault & Millau devrait assoir définitivement la réputation de l’auberge.

La ferme-château Le Cor de Chasse à Wéris, décroche quant à lui un très bon 16/20. Dans un cadre moderne et chaleureux, l’équipe derrière les fourneaux s’affairent à préparer des plats équilibrés, tout en délicatesse et qui subliment des produits nobles. Une cuisine qui a charmé les inspecteurs.

La Table de Maxime se voit décerner un excellent 16,5/20. À Paliseul, Maxime Collard vous accueille à sa table étoilée dans une ancienne fermette rénovée où le rustique d’antan se mêle harmonieusement au design actuel. Dans une ambiance feutrée, celui qui a fait ses premiers pas en cuisine à l’école hôtelière de Libramont vous offre une cuisine du terroir à la sauce contemporaine.

Enfin, selon le Gault & Millau, le meilleur restaurant de la province de Luxembourg est La Grappe d’Or à Torgny. Avec une excellente note de 17/20, il s’agit du premier du classement dans la province verte. L’établissement gastronomique gaumais, à deux pas de Virton, propose une cuisine créative, sincère et pleine de goût. Le chef Clément Petitjean y exprime sa passion culinaire et réinterprète les grandes traditions du terroir avec des compositions audacieuses.

 

Martelange : Marine Eloy, la blogueuse mode qui monte

Notre région regorge de talent, même sur Internet. A 25 ans, Marine Eloy est une blogueuse mode qui souhaite redonner confiance aux femmes, quel que soit leur taille ou poids.

Sur Internet, les influenceuses et autres adeptes des réseaux sociaux sont légions. Ils dispensent des conseils sur leur domaine de prédilection et les meilleurs sont suivis par des milliers, voire des millions d’aficionados. Dans ce domaine, les talents de notre région ne sont pas en reste. C’est le cas notamment de Marine Eloy, une blogueuse mode de 25 ans qui compte près de 5000 abonnés sur Instagram, et enregistre entre 400 et 1000 visites/jour sur son blog.

Dans un univers où la multiplication des blogeurs complique la tâche pour se faire une place au soleil, le travail de la blogueuse originaire de la province de Luxembourg mérite d’être mis en avant. Marine partage quotidiennement son opinion sur la mode et prodigue des conseils avisés à ses fans sur son blog Curvy Blue Marine

Après avoir fait ses études secondaires à l’école Saint-Benoit d’Habay, la jeune femme a étudié l’architecture d’intérieur à Liège et a poursuivi à Bruxelles avec un master en social design, une toute nouvelle spécialisation qui vise à faire du design utile en traitent des causes écologiques ou des problématiques de société. Même si ce master n’a pas répondu à ses attentes, Marine en retire tout de même du positif. “Je ne connaissais personne en arrivant à Bruxelles et je m’ennuyais tellement en cours que c’est à ce moment là que l’idée de créer mon blog est née” nous explique-t-elle. “Il m’a permis de me créer un réseau amical et professionnel tant sur Bruxelles que sur Arlon, d’apprendre un tas de choses par moi-même et surtout d’avoir un échappatoire pour m’aider à continuer ce master qui était très pénible pour moi”.

Sa page Facebook et son blog regorgent de trucs et astuces, de bonnes adresses, de récits de voyages, de billets humeur, et surtout de conseils pour reprendre confiance avec son corps et l’aimer à sa juste valeur, que l’on fasse une taille 38 ou 50. « De nombreuses filles/femmes connaissent la même galère que moi quand il s’agit de s’habiller. Je déplore que nous devions laisser tomber l’aspect coquetterie sous prétexte d’avoir des kilos en trop, des formes ainsi que le fait de fuir le miroir de peur d’affronter notre reflet imparfait” nous dit Marine.

J’aurais tellement aimé avoir quelqu’un qui me dise quand j’étais plus jeune que ce n’est pas grave d’être différent et que je n’étais pas toute seule. Malheureusement, cela ne fut pas le cas et c’est la raison principal de ce blog: représenter la mode pour toutes les tailles et toutes les morphologies”

Changement de mentalité ?

Marine Eloy travaille régulièrement avec des marques de mode ou de beauté, comme Zalando, Prima Donna, Rose Clotilde ou encore Pampleon Paris. Mais pas question de faire du placement de produit à l’insu de son public. La transparence est reine à ses yeux. “Je choisis bien mes collaborations et les accepte que si elles sont en accord avec mes goûts, mes valeurs et mes principes. Ensuite, je suis toujours honnête : j’ai d’ailleurs déjà mis en colère plusieurs marques parce que j’ose dire quand quelque chose ne va pas” raconte Marine. Tant sur le blog que sur Instagram, je dis quand je reçois des produits avec un #ad ou #spon ou simplement en mentionnant que c’est une collaboration”.

Contrairement à ce que veut parfois nous faire croire la société, la jeune femme est intimement persuadée que la mode et la beauté sont accessibles à toutes les femmes, indépendamment de leur poids ou de leur taille. Un engagement qui trouve ses racines dans l’histoire de Marine. “Durant ma jeunesse, parfois encore aujourd’hui, j’achète des magazines de mode. Je ne ressemblais en rien à ces modèles et me suis posée mille questions: “Pourquoi je n’étais pas comme elles ? Est-ce que j’étais normale ? J’ai énormément complexé sur ma morphologie et mon poids simplement parce que je n’étais jamais représentée dans la société et que je ne correspondais pas à ses diktats” nous confie la jeune femme.

Marine comprend rapidement qu’elle est comme les femmes de sa famille, avec des rondeurs. Elle fait la taille 46. Mais cette image ne correspond pas à celle envoyée par les maisons de mode. « Mon parcours m’a amené à prendre confiance en moi et à m’affirmer. C’est plus tard avec les blogs, Instagram que j’ai commencé à suivre des mannequins, influenceuses grandes tailles comme Ashley Graham, Camille Talks, Stephanie Zwicky et que j’ai pris conscience que des filles comme moi existaient et rayonnaient” raconte-t-elle. “Je les trouvais magnifiques. Mon parcours m’a amené alors à prendre confiance en moi et affirmer qui j’étais après x tentatives de régimes drastiques qui ne fonctionnaient pas, n’étaient pas sain pour ma santé et me rendaient malheureuse”.

Aujourd’hui, la blogueuse observe des changements profonds au sein de la société, notamment chez les plus jeunes générations. “J’observe que ma communauté est de plus en plus désireuses de vêtements éthiques et écologiques. Nous sommes de plus en plus nombreux à avoir conscience des conséquences néfastes du fast fashion sur notre planète” détaille Marine. Mais s’habiller tendance, grandes tailles et éthiques aujourd’hui, c’est quasiment impossible. On voit seulement maintenant apparaître après des années de
combats, des jolies marques de vêtements qui ne s’arrêtent plus au 40. Mon deuxième combat après la mode grande taille, c’est la mode éthique: je tente de promouvoir des petites marques et ouvrir le débat sur l’écologie pour faire évoluer les mentalités”.

“Je crois que certaines marques s’adaptent à cette tendance green car elles y voient une opportunité d’y faire du bénéfice. Mais que ce soit par stratégie marketing ou par réelle conviction, les marques ont tout intérêt à s’adapter et évoluer avec les nouvelles exigences de sa clientèle si elle veut être pérenne”.

Les réseaux sociaux, le reflet de soi ?

Au quotidien, Marine utilise les réseaux sociaux pour exercer sa passion. Si elle dit regarder le moins possible les statistiques, les chiffres continuent de l’impressionner. Mais la blogueuse a un regard très précis et pertinent sur la réalité des médias sociaux. “Les réseaux sociaux peuvent être très nocifs comme très bénéfiques. Moi, je trouve ça magique Instagram. Parce qu’Instagram c’est de l’échange de bons plans mais ce n’est pas que ça” raconte la jeune femme. “Ma vraie mission et là où ça devient magique pour moi, c’est quand quelqu’un me dis « Aujourd’hui j’ai osé mettre une robe courte grâce à toi ou “aujourd’hui j’ai osé mettre un décolleté alors que j’ai pas de poitrine”.

L’objectif ultime de Curvy Blue Marine est de décomplexer les femmes. De les révéler à elle-même pour qu’elles s’acceptent. C’est qu’elles réalisent et aient conscience de leur beauté. “J’utilise Instagram pour prôner toutes les valeurs que je véhicule au quotidien comme la tolérance, l’acceptation de soi, le développement personnel ou l’ouverture d’esprit” continue Marine. Puisque je vois les réseaux sociaux dans ce sens là, j’ai du mal à imaginer qu’ils contribuent à la société du paraître. Pour moi, il suffit de faire du tri dans les personnes que vous suivez et bien faire attention à comment ces comptes vous inspirent. Dans un sens, c’est vrai qu’on ne partage que le beau et que ce qui nous arrange. Mais c’est aussi pour contrer ce phénomène, de mes coups de mous à ma communauté”.

Marine tient à rester une personne humaine et authentique avec des moments de bonheur mais aussi des problèmes comme tout le monde. “Méfiez-vous des comptes trop parfait. Rien n’est jamais tout rose comme certains pourraient vous le faire croire” nous met-elle en garde.

“Les réseaux sociaux sont donc certes un moyen très en vogue pour faire du marketing et pousser à la consommation, mais c’est aussi pour moi justement l’occasion de remettre en question chaque chose qu’on consomme dans notre quotidien pour mieux consommer et surtout pour véhiculer des valeurs, plus qu’un mode de vie, une philosophie de vie“.

Une passion depuis toute petite

Désormais, la jeune adulte qu’elle est devenue n’a plus honte et ose mettre ses atouts en valeur. Elle se félicite également de voir la société évoluer dans le bon sens, où il existe des collections grandes tailles et des blogs modes consacrées à celles-ci. Évidemment, il reste encore un travail de fond à opérer. “Le culte du corps et de la femme parfaite est encore bien présente dans la société” . 

 « Par pitié, ne nous prenons plus la tête sur nos petits défauts, nos bourrelets. Cessons de croire que ce petit haut sur lequel on a flashé et que l’on adorerait porter ne nous ira pas pour un problème de trop grosse/petite poitrine ».

Pour la petite histoire, le penchant pour la mode de Marine provient de son enfance, grâce aux créations que lui confectionnaient ses grands-mères. « Depuis toute petite, je suis passionnée de mode. Cet intérêt a commencé très jeune grâce à mes grands-mères couturières qui me tricotaient/cousaient de jolis vêtements sur mesure. Elles avaient le souci du détail et m’ont transmis le goût des belles matières » nous explique Marine.

Sa grande passion était d’habiller ses Barbies et de leur aménager de jolies maisons. Une fois adolescente, c’était la même chose mais avec les Sims. “Aussi loin que je me souvienne, je changeais de looks 6 fois par jour et bougeais mes meubles de place tous les mois. Mon destin d’architecte d’intérieur et passionnée de mode était déjà tout tracé” conclut-elle avec humour.

Les réseaux sociaux de Curvy Blue Marine sont à découvrir ici :

Facebook en cliquant ici

Le blog en cliquant ici

Instagram en cliquant ici

 

 

 

 

Le restaurant La Gaichel, c’est fini !

Le restaurant gastronomique La Gaichel fermera ses portes le 31 décembre prochain afin de se réinventer. L’établissement renaitra un mois plus tard sous une nouvelle forme.

Le domaine de La Gaichel, situé à deux pas de la frontière belge, est un haut lieu de la gastronomie au Grand-Duché de Luxembourg et dans la région d’Arlon. La maison familiale, fondée en 1852, était devenue une référence auprès des fins gourmets à la recherche de produits nobles et d’une cuisine de haut vol. Mais après plusieurs décennies, les responsables ont décidé de revoir fondamentalement leur approche de la cuisine et de se recentrer sur l’essentiel.

Le restaurant fermera ses portes au soir du 31 décembre pour laisser sa place au « Jardin de La Gaichel », qui sera inauguré le 1er février 2019. Le domaine perdra automatiquement son étoile au guide Michelin acquise il y a 49 ans par le grand-père de la famille. « C’est une décision mûrement réfléchie » commentait récemment Erwan Guillou, à la tête du domaine. « Nous voulons changer la donne pour faire plaisir à la clientèle qui nous environne et rendre notre restaurant plus accessible. Cela suppose de repartir de zéro et d’abandonner notre étoile».

Un retour aux sources

Le Jardin de La Gaichel proposera une nouvelle signature gastronomique et recentra sa cuisine sur les fondamentaux de l’enfance avec des plats dont les saveurs explosent dans les papilles. La cuisine restera bien évidemment gastronomique, mais sera débarrassée des contraintes qu’imposent l’étoile. En adoptant une telle stratégie, Erwan Guillou veut se faire plaisir et respirer, bien conscient que c’est aussi que recherchent les clients aujourd’hui.

« L’étoile met plus de bâtons dans les roues qu’autre chose. Cela fait peur à une certaine clientèle, qui craint les prix élevés et nous rend plus sujets à la critique. On gardera des produits nobles, en restant dans la gastronomie, mais travaillés plus simplement, avec des dressages moins sophistiqués » expliquait Erwan Guillou à nos confrères de Paperjam.

“Nous voulons toucher les gens des environs, ceux qui viennent régulièrement, ce sont eux qui nous font vivre, pas ceux qui font le tour du monde des étoilés”

Derrière les fourneaux, Philippe Dugast restera le chef de la maison. Il avait pris les commandes des cuisines début d’année en remplacement de Claude Lampson. À l’époque, il avait assuré pouvoir apporter sa personnalité dans ses assiettes. Avec le nouveau cadre qu’offrira Le Jardin de La Gaichel, gageons qu’il saura partager l’étendue de ses talents.

Le Domaine conservera toujours l’hôtel 4 étoiles, l’hôtel de charme 3 étoiles, la brasserie avec sa cuisine de bistro et le Chalet de la Kreuzerbuch avec sa carte montagnarde.

Travaux Arlon-Sterpenich : fin du chantier reporté en avril 2019 !

Le chantier de réhabilitation du revêtement entre Arlon et Sterpenich ne sera pas terminé avant l’hiver. La fin officielle du chantier est reportée en avril 2019.

Non, ce n’est pas une blague : les travaux sur l’autoroute E411 entre Arlon et la frontière luxembourgeoise ne pourront pas être terminés avant l’arrivée des conditions hivernales, comme initialement prévu. Le chantier, qui empoisonne  la vie de milliers de frontaliers chaque jour depuis le mois de septembre, ne touchera à sa fin qu’en … avril 2019 ! Il vise à réhabiliter le revêtement de l’autoroute E25-E411/A4 sur 11km entre Arlon et Sterpenich uniquement sur les voies vers le Luxembourg.

Les travaux avancent très bien avec des opérations de jour, de nuit et de week-end, avec la présence de plus d’une cinquantaine d’ouvriers par jour, indique ce matin la SOFICO dans un communiqué. Mais suite à des réparations conséquentes supplémentaires à réaliser au niveau du béton armé continu de l’autoroute, il ne sera toutefois pas possible de clôturer le chantier avant l’arrivée des conditions hivernales. Le chantier à 12,6 millions d’euros est plus important que prévu, notamment à cause d’une dalle de béton de 6,5km qu’il faut entièrement changer entre Weyler et Sterpenich, alors que l’entreprise pensait que des réparations partielles seraient suffisantes.

Toutes les mesures possibles seront prises pour améliorer la mobilité pendant cette période hivernale : dès la mi-décembre, vers Bruxelles on circulera à nouveau selon des conditions habituelles (120 km/h) et vers le Luxembourg, deux voies seront disponibles en heure de pointe avec une vitesse réduite. La société qui gère les opérations en Wallonie rappelle également que des opérations se poursuivront l’hiver  sur autoroute lorsque les conditions météorologiques sont favorables.

Marbehan : la Techno House Experience est de retour !

La soirée techno-house de Marbehan est de retour ce samedi 10 novembre. Cinq artistes sont attendus sur scène.

Le village de Marbehan est décidément bien loti en matière d’événements festifs. Après le festival Génération 80 en septembre dernier, le Complexe du Bois des Isles accueillera une nouvelle fois la soirée Techno House Experience. Pour cette édition spéciale « 20 years later – Remember Edition », Hexagone Events a invité cinq artistes de renommés dans le milieu de la techno-house.

Le Line Up de ce samedi 10 novembre sera composée de John Wait, Zolex, The Mackenzie, Jan Vervloet, et de Youri Parker. Ces trois derniers artistes ont d’ailleurs un sacré bagage, puisqu’ils ont notamment foulé les mythiques scènes du festival Tomorrowland. De quoi assurer une ambiance explosive pour le concert de Marbehan.

Les informations pratiques sont disponibles sur la page Facebook de l’événement en cliquant ici

Les billets sont disponibles en prévente au prix de 12€, en cliquant ici ou en les achetant directement au Park Music d’Arlon.

Arlon : un simulateur de chute libre à Sterpenich

Un simulateur de chute libre ouvrira ses portes à Sterpenich l’été prochain. La tour de 20 mètres de haut sera installée juste à côté du Décathlon.

Depuis la nuit des temps, les hommes ont toujours voulu partager un point commun avec les oiseaux : celui de voler. Si c’est aussi votre cas, le simulateur de chute libre qui ouvrira ses portes d’ici quelques mois à Sterpenich devrait vous enchanter. En effet, une tour de 20 mètres de haut sortira bientôt de terre à côté du magasin de sport Décathlon. Le début de la construction ne dépendrait plus que des services de l’urbanisme d’Arlon, qui aimerait un batiment emblématique et qualitatif, selon des informations rapportées par nos confrères de l’Essentiel.

Située juste avant la frontière belgo-luxembourgeoise, la tour permettra aux participants de simuler des chutes libre digne d’un saut en parachute mais depuis le plancher des vaches. “Vous verrez, c’est un concept unique au monde” expliquent Steve et Magali Braff, les deux porteurs du projet. Les promoteurs tablent d’ailleurs sur la proximité avec l’aéroport du Findel pour attirer une clientèle du monde entier.

Les tarifs pour s’envoyer en l’air devraient être prohibitifs, à l’image de ceux pratiqués par les deux autres simulateur en Belgique, à Charleroi et Liège. Pour pratiquer cette activité accessible dès l’âge de 3 ans, une session de 2 à 3 minutes devrait couter la bagatelle de 100€.

100.000 visiteurs par an !

Les deux investisseurs anversois ont des ambitions à la hauteur de la tour. La société Starfly, qui a initié le projet, a injecté plus de 7 millions d’euro et espère séduire près de 100.000 visiteurs par an. C’est 30.000 personnes de plus que la fréquentation moyenne des autres centres de Skydiving. Parmi cette clientèle, le simulateur devrait attirer à la fois des amateurs en mal de sensations fortes, tout comme des professionnels qui désirent s’entrainer en toute sécurité.

Selon nos informations, ce projet conséquent pour le zoning de Sterpenich devrait créer une dizaine d’emplois supplémentaires pour la région.

Découvrez ci-dessous un exemple de simulateur de chute libre, à Charleroi :

 

Messancy : une joueuse de tennis dans le top 400 mondial !

ITF Kyotec Open - Val Wagner

Hélène Scholsen, originaire de Wolkrange, est une joueuse de tennis qui pourrait bien nous réserver de jolies surprises dans le futur. Elle est actuellement dans le top 400 mondial.

Le tennis est une discipline exigeante, pratiquée par de nombreux adeptes, mais où une infime partie parvient à côtoyer le gratin mondial. Alors quand il s’agit d’une joueuse de notre région, l’exploit est d’autant plus retentissant. A 22 ans, Hélène Scholsen est classée à la 410e place mondiale en simple au classement WTA, et 220e en double. Une performance de choix pour la sportive native de Wolkrange, dans la commune de Messancy.

Preuve de son talent, Hélène Scholsen a atteint la finale la plus prestigieuse de sa carrière samedi dernier au tournoi ITF Kyotec Open de Pétange. Disputé en indoor, et doté d’un prize money de 25.000$, ce tournoi fait partie de la tournée internationale du ITF Women’s Circuit. Si la jeune femme s’est inclinée 6/2 – 6/1, elle avait face à elle la Luxembourgeoise Mandy Minella, l’actuelle 111e joueuse mondiale.

« Je tiens à féliciter Hélène. Surtout pour la qualité de son tennis. Nul doute qu’elle va bientôt faire un bond dans le ranking mondial » a souligné minella, l’ancienne 66e joueuse mondiale.

Du côté de la Messancéenne, l’émotion était à son apogée. Si elle s’excuse presque de ne pas avoir joué une meilleure finale, la joueuse affiliée au club de Tennis de Pétange confirme que cette expérience restera gravée à jamais sans raquette. « Je me suis peut-être mis trop de pression, dans cette première finale à ce niveau, dans mon club, devant autant de monde, ma famille, mes amis. Mais cela restera un souvenir fabuleux dans ma carrière, un moment que je n’oublierai jamais » avait-elle confiée à nos confrères de L’Avenir.

Une progression constante

Les aficionados de la petite balle jaune vous le certifieront : faire son entrer dans le classement ATP (chez les hommes) ou WTA (chez les femmes) est une déjà une prouesse en soit. Se tenir et progresser place après place pendant plusieurs années en est une autre.

Hélène Scholsen, elle, a débuté sa carrière professionnelle en 2013, avec deux quarts de finale dans des tournois mineurs. Alors au-delà du top 1000, elle fait un bond considérable en 2015 grâce ses résultats constants et atteint la 639e place. L’année suivante, la dynamique se confirme avec quatre finales, dont une première victoire au tournoi de Rebecq, en Belgique. En fin de saison, elle pointe au 493e rang.

Et puis vient l’année record : en 2017, la membre du team professionnel de Garisart affiche un niveau de jeu de très bonne facture et ses efforts sont récompensés, puisqu’elle se hisse à la 394e place mondiale, son meilleur classement jusqu’ici. Cette saison, celle qui rêve un jour de participer aux qualifications des Internationaux de France de Roland-Garros, a soulevé le trophée à deux reprises et espère bien ne pas s’arrêter là.

À l’heure d’écrire ses lignes, Hélène Scholsen est en Biélorussie pour disputer le tournoi de Minsk, aussi prestigieux que celui de Pétange selon la classification de l’International Tennis Federation (ITF). Regonflée à bloc, la joueuse pourrait rapidement exploser dans les mois qui viennent et se rapprocher petit à petit de l’élite mondiale.

Sud-Luxembourg : Prudence, une arnaque par téléphone est en cours !

Plusieurs habitants du Sud-Luxembourg ont reçu un étrange coup de fil de la part d’un homme qui se fait passer pour un commandant de pompier. Il s’agit d’une fraude.

La zone de secours Luxembourg et la caserne d’Athus nous informent qu’une personne malintentionnée, se présentant comme le commandant Bauthier des pompiers d’Athus, tente d’escroquer certains habitants de la région en leur proposant de la publicité pour les pompiers. Le mode opératoire est toujours le même : l’individu téléphone à ses victimes, toutes situées dans le Sud-Luxembourg, et essaye de vendre des prospectus au profit de la caserne. Il s’agit évidemment d’une fraude en bonne et due forme.

« Cet individu est un imposteur et ne possède aucun lien avec la Zone de Secours Luxembourg.» précise-t-on du côté des pompiers d’Athus. « Il n’existe d’ailleurs plus aucun “Commandant” en Belgique et il n’y a jamais eu de pompier appelé “Bauthier” à Aubange. Pour votre information, la Zone est dirigée par une personne unique, du nom de Stéphane Thiry ».

Les hommes du feu précisent par ailleurs que si vous étiez amené à être en contact avec l’arnaqueur, contactez immédiatement la caserne au 063/37.13.15 ou appelez la police pour signaler la fraude. L’homme risque de se tourner prochainement vers d’autres communes et chaque renseignement est précieux pour le bien de l’enquête en cours.

Le calendrier, le seul produit officiel

L’amicale des sapeurs-pompiers d’Aubange rappelle que le seul et unique produit vendu officiellement est le traditionnel calendrier. Toutefois, cette année, le mode de distribution change puisque les pompiers ne sonneront plus aux portes. Ils passeront simplement le déposer discrètement dans toutes les boites aux lettres du secteur couvert par la caserne, à savoir la commune d’Aubange, une partie de Messancy et une partie de Musson.

« Vous trouverez, joint au calendrier, un papier de virement et notre numéro de compte sur lequel, si vous le souhaitez, vous êtes libre de nous verser la somme que vous désirez. Vous trouverez également une lettre expliquant notre nouvelle manière de procéder pour la vente de calendriers » détaille-t-on chez les pompiers.

La fraude subit actuellement par les pompiers rappellent la mésaventure qu’a connu la chaine locale TV Lux fin octobre. Une fausse équipe de télévision se présentait auprès de commerçants de la région et réclamait des sommes colossales contre un reportage A l’heure actuelle, les auteurs courent toujours dans la nature.

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