Le groupe AB InBev va légèrement augmenter le prix de la plupart de ses bières dès le 1er janvier prochain. Les consommateurs pourraient en faire les frais.
À partir du 1er janvier 2019, votre verre de bière pourrait vous coûter un peu plus cher. Le géant brassicole AB InBev va en effet légèrement augmenter le tarif de la plupart de ses boissons alcoolisées. Les bouteilles de bière seront vendues en moyenne 0,015 euro plus chères à la grande distribution. Du côté des exploitants Horeca, le fût de Jupiler reviendra à 153,84€, soit une hausse moyenne de 0,016 euro par verre de bière.
Cette hausse des prix n’est en rien une surprise. Plusieurs observateurs du milieu avaient prédit cette augmentation, en raison de la sécheresse et par conséquent des prix plus élevés des céréales. Mais elle intervient très tôt, dans la mesure ou AB InBev avait annoncé au mois d’août qu’il n’envisageait pas d’augmenter ses prix dans l’immédiat.
Répercussion sur le consommateur ?
Pour rappel, AB InBev est le premier groupe brassicole au monde et possède dans son escarcelle certaines des bières les plus consommées en Belgique, comme Jupiler, Stella Artois, Leffe, Hoegaarden, Belle-Vue et Corona. Le groupe Alken-Maes, qui comme son nom l’indique, détient la bière Maes, la grande rivale de Jupiler, pourrait également revoir son catalogue de prix dans un avenir proche. Il suivrait ainsi la tendance des autres groupes brassicoles.
Une hausse des prix de la part des géants de la bière ne signifie pas pour autant que les tarifs en magasin, ou dans les bars, vont automatiquement augmenter dans les mêmes proportions. Mais dans le cas présent, il est fort probable que cette augmentation se répercute directement dans le portefeuille des consommateurs. « Nous conseillons souvent de le faire [de répercuter la hausse des prix sur les consommateurs, ndlr], bien que cela ne doit pas nécessairement être immédiat », commentait Raf Peeters, de l’association Horeca Vlaanderen.
La capitale française rayonnera un petit peu aux couleurs de la province de Luxembourg durant les fêtes de fin d’année. Le sapin de Noël qui ornera la place de la Défense sera en effet originaire d’Habay.
Dans le quartier économique de la Défense à Paris, on ne peut pas dire que la nature foisonne de tous les côtés. Aussi, les responsables des décorations de Noël se sont tournés vers la Belgique pour dégoter un majestueux roi des forêts. Et plus particulièrement vers la province de Luxembourg, réputée pour la qualité de ses épicéas. Ce lundi, un mastodonte de 25 mètres de haut sur 10 mètres de large a donc été coupé dans la commune d’Habay et est arrivé mardi vers minuit dans la ville lumière.
L’opération d’envergure a été confiée à la société Lux Green de Neufchâteau. Si le stress était palpable, les équipes pouvaient compter sur leur expérience en la matière. « Nous faisons cela chaque année, toujours pour la Défense » expliquait Grégory Floener, le gérant de la société, à nos confrères de Sud Presse.
Un casse-tête logistique
L’air de rien, le défi était de taille. Comme le quartier est essentiellement composé d’immeubles très haut, il fallait trouver un sapin monumental. L’objectif était qu’il ne paraisse pas minuscule à côté des buildings de plusieurs centaines de mètres de haut. Avec un monstre comme celui déniché à Habay, la mission est réussie. Les hommes d’affaire qui se bousculent quotidiennement sur cette place animée ne pourront pas manquer ce géant vert issu de notre région.
Le transport du colosse vert, à bord d’un camion spécialement équipé pour des missions de la sorte, ne s’est pas fait sans quelques difficultés. La commune d’Habay a par exemple dû bloquer une route pendant deux jours complets. Du côté de Lux Green, la logistique s’apparente chaque année à un casse-tête. « C’est extrêmement délicat à manipuler et à transporter, c’est aussi très technique. Le convoi exceptionnel arrivera en principe mardi vers minuit à la Défense » détaillait le gérant la veille du départ.
« On prend beaucoup de risques, on veut tout faire pour qu’il arrive entier, sans encombre. Le moindre pépin peut coûter cher… »
Grégory Floener assure que toutes les précautions ont été prises pour éviter le moindre accro. Mais il glisse tout de même qu’il ne préfère pas y penser.
Deux jeunes étudiantes originaires d’Arlon ont décidé de participer au rallye humanitaire 4L Trophy. Elles emmèneront avec elles du matériel scolaire pour les plus démunis. Les deux amies font appel à votre générosité.
C’est incontestablement la belle histoire du jour. Sacha Chagnon et Lucie Scheuren, deux étudiantes natives de la région d’Arlon, ont décidé de s’inscrire à la 22e édition du 4L Thophy, un rallye humanitaire qui permet d’acheminer du matériel scolaire pour l’association « Enfants du désert ». Les fournitures seront distribuées aux élèves les plus démunis de ces régions reculées.
Comme son nom l’indique, le rallye, qui se tiendra du 21 février au 3 mars 2019, se pratique uniquement à bord d’une Renault 4L. Les deux partenaires en ont dégoté une et l’ont décoré aux couleurs de la Belgique. Et l’ont même baptisé : Alphonse ! Le bolide noir-jaune-rouge sera donc immanquable parmi les autres véhicules venus des quatre coins de l’Europe.
Le but de ce raid hors-norme n’est évidemment pas la vitesse. Si l’orientation et la course font partie intégrante du projet, l’objectif final reste bien entendu d’apporter un maximum de matériel scolaire. Celui-ci sera déposé lors des différentes étapes au Maroc. Pour remplir leur coffre d’un maximum de fournitures, les deux amies sont à la recherche de nombreux articles. « On a aussi besoin de dons pour du matériel scolaire ou sportif pour les enfants marocains » détaillent-elles.
« On a besoin de cahiers vierges, des bics, des jouets, des sacs de sport. Bref, des choses pratiques ! »
A la recherche d’un soutien financier !
Le rallye relie Biarritz à Marrakech, et traverse la France, l’Espagne et le Maroc. Plus de 6000km de routes, dont un passage dans le désert marocain de l’Atlas, attendent les deux aventurières. De quoi soumettre la mécanique d’Alphonse à rude épreuve. Ce qui n’effraye absolument pas Sacha et Lucie. « On va tout faire pour qu’elle revienne saine et sauve. La voiture y a déjà participé il y a deux ans. On va faire la révision nécessaire pour que tout soit en état » confiaient-elles à nos confrères de l’Avenir.
Malgré sa dimension humanitaire, la participation au 4L Trophy coûte cher. Les deux étudiantes espèrent boucler un budget aux alentours de 7000€. La première moitié permettra de régler les frais d’inscription, tandis que le reste de la cagnotte sera dédié aux réparations mécaniques. Afin de réussir à récolter cette somme, Sacha et Lucie font appel à la générosité des entreprises.
« On cherche des sponsors, en échange d’un sticker sur la voiture. Et si un garage souhaite nous soutenir pour les pièces, on est preneuse »
Les dons des particuliers sont bien entendu les bienvenus. Les deux co-pilotes sont tellement motivées à l’idée de participer au rallye qu’elles s’adonnent même à une campagne marketing en bonne et due forme. À l’image des financements participatifs sur Internet, Sacha et Lucie proposent plusieurs types de dons. En contrepartie, les donateurs recevront un cadeau. Si le cœur vous en dit, voici les dons possibles et les récompenses qui les accompagnent :
5€ – Un bic du 4L Trophy pour écrire de jolies cartes postales à tes amis ou ta famille
10€ – Une sentorette du 4L Trophy pour que ta voiture sente toujours bon
25€ – Ton nom sur notre voiture et/ou une photo de toi qui nous accompagnera dans notre périple!
50€ – Une jolie photo de nous avec Alphonse (notre bolide) dédicacée au retour de notre aventure
100€ – Une petite vidéo de remerciement personnalisée avec un magnifique paysage en fond
200€ – Nous écrire un petit mot (30 caractères Max.) que nous retranscrirons sur notre bolide
À noter que les contreparties s’additionnent. Par exemple, si vous faites un don de 50€, vous recevrez aussi les récompenses réservées aux dons à 5, 10 et 20€.
Informations pratiques :
Les dons peuvent être versées sur un compte ouvert spécialement pour l’occasion : BE64 2677 0001 3552. Si vous souhaitez offrir du matériel scolaire, veuillez prendre contact directement avec Sacha et Lucie. Elles sont à votre disposition au 0489/22.35.53 ou par e-mail à 4l.alphonse@gmail.com
Des informations supplémentaires sur le 4L Trophy sont disponibles sur le site officiel en cliquant ici
Enfin, sachez que les deux amies partageront aussi leurs aventures sur leur page Facebook en cliquant ici
Le restaurant gastronomique Or Saison mettra définitivement la clef sous la porte au soir du 21 décembre prochain. Le bâtiment est toujours en vente.
C’était devenu un passage obligé pour les amoureux de la haute gastronomie. Récompensé par le Gault & Millau et le guide Michelin, le restaurant Or Saison était présent dans le centre-ville d’Arlon depuis février 2002. Au fil des ans, la maison s’est faite une réputation dans la Grande-Région grâce à son cadre sobre et raffiné.
Mais après 17 ans de bons et loyaux services, le chef Frédéric César et son épouse Julie Brevers ont décidé de tourner la page et d’entamer un nouveau chapitre de leur vie. « Après tant d’années de saveurs colorées et de fidélité de votre part, nous tenons à vous remercier avec toute la chaleur qu’il se doit » confient-ils à leur fidèle clientèle.
« Merci de ce partage qui nous a fait grandir chaque jour ! »
Le restaurant gastronomique Or Saison, dans le centre-ville d'Arlon
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Le restaurant gastronomique Or Saison
Encore possible de réserver une table
A l’annonce de la fermeture de cette table gastronomique, de nombreux gourmets ont fait part de leur tristesse et remercié chaleureusement le couple de propriétaire. « Que de merveilleux moments passés chez vous et quels magnifiques souvenirs gustatifs !
Bonne continuation à vous deux. Le meilleur reste à venir. Au plaisir de vous recroiser très souvent » confiait ainsi Marie. Nathalie se demandait, elle, avec humour, comment elle “fera pour fêter ses futurs anniversaires de mariage. Merci pour tous ces bons repas ! » Quant à Jacques, il « regrettera mais vous ferez toujours parti de mes bons souvenirs professionnels. Je vous souhaite à vous et à votre famille le meilleur possible ».
Si le cœur vous en dit, Or Saison restera ouvert jusqu’au 21 décembre prochain. Il conserve ses horaires habituels : ouverture uniquement le vendredi et samedi soir. Un menu cinq services unique sera proposé chaque soir et sera adapté au gré des envies du chef. Après le 21 décembre, les services en salle ne seront plus possibles. Mais l’équipe continuera à concocter des délicieux menus de fêtes que vous pouvez dès aujourd’hui réserver pour le réveillon de Noël et la Saint-Sylvestre.
« Si vous désirez profiter une dernière fois de l’ambiance et du savoir-faire Or Saison, n’hésitez pas à réserver très rapidement. Quelques places sont encore disponibles pour chaque service mais elles ont du succès » expliquent Frédéric et Julie.
Conséquence directe de ce départ, le sublime bâtiment dans lequel était abrité le restaurant est à vendre. Situé à quelques encablures de la gare d’Arlon, la bâtisse est à vendre pour un peu moins de 300.000€. À bon entendeur …
L’incontournable Black Friday aura lieu du vendredi 23/11 au dimanche 25/11. Et la province de Luxembourg n’est pas en reste : de nombreuses réductions sont prévues ce week-end, découvrez !
Il y a encore quelques années, le concept du Black Friday était méconnu des belges. Ce phénomène commercial, qui a lieu le dernier week-end de novembre, vient tout droit des États-Unis et marque le lancement de la saison des cadeaux de Noël. À cette occasion, les commerçants et les plateformes d’e-commerces veulent marquer le coup et proposent des réductions très avantageuses. Organisé pour la première fois en Belgique en 2015, ce week-end shopping rencontre un succès grandissant.
Mais si le Black Friday est devenu l’un des événements commerciaux les plus importants de l’année, il est encore très souvent associé au pays de l’Oncle Sam ou aux boutiques online. Les enseignes physiques en Belgique ne dérogent pourtant plus à la règle et participent aussi à ce vendredi noir. Les réductions peuvent atteindre jusqu’à 90% sur certains produits. Les férus de shopping guettent les promotions alléchantes et les innombrables réductions.
Comment en profiter en province de Luxembourg ?
Le phénomène a pris une telle ampleur que même les boutiques de la province de Luxembourg s’y mettent. Arlon, Bastogne, Messancy : tous les grands centres commerciaux participent. Pour l’édition 2018 du Black Friday, Shootlux vous propose un petit tour d’horizon des bonnes affaires de la région.
L’événement phare dans le Sud-Luxembourg aura lieu au Shopping Cora Messancy le 25 novembre. L’hypermarché ainsi que les boutiques de la galerie seront exceptionnellement ouverts ce dimanche de 10h à 19h pour fêter ce week-end shopping pas comme les autres. Les promotions liées au Black Friday ont d’ores et déjà débutées mais se prolongeront jusqu’au dimanche. Des réductions folles seront proposées aux clients qui feront le déplacement le dimanche.
Par exemple, la Nintendo Switch à 329€ sera mise en vente à 259€ (remise de 70€ sur la carte Cora). L’enseigne précise qu’il n’y aura que 50 pièces disponibles. Autres exemples frappants : les rayons textiles et chaussures bénéficieront d’une remise de 25%, les viandes de nos producteurs locaux seront proposées à -25%, et les mangas et BD passeront en mode 2+1 gratuite.
Histoire d’animer la journée, le Cora Messancy mettra les petits plats dans les grands le dimanche en organisant trois défilés de mode. Les commerçants de la galerie ouvriront le bal à 14h et 15h30. Dans un second temps, des stylistes de la région se prêteront aussi au jeu dès 16h : Marie Schweisthal, Loubna Jaafari, Kathleen Guérisse, Jessie (les boutons de Gisèle) et Nadia Denis (Made by Nade). Enfin, un défilé original avec des vêtements de l’hypermarché aura lieu à 17h. Pour celles et ceux qui aiment la mode, sachez qu’une boutique éphémère où les stylistes vont pouvoir exposer et vendre leurs réalisations, sera ouverte samedi et dimanche.
Les petits chérubins auront également des étoiles dans les yeux avec le passage de Saint-Nicolas durant les trois jours. Le grand patron des écoliers sera présent vendredi de 15h à 19h, samedi de 11h à 19h et dimanche de 10h à 19h. Enfin, les plus grands pourront se régaler les papilles grâce à la présence du chef Julien Lapraille le samedi de 11h à 13h. Des démonstrations en live sont prévues, ainsi que plusieurs dégustations.
Le Black Friday sera aussi à l’honneur chez McArthurGlen Luxembourg ! Situé à Messancy en face du Cora, les magasins d’usines annoncent encore « plus de promotion sur les prix outlets». En plus de ces bonnes affaires, vous profiterez du pop-up BMW qui vous offrira des conditions exceptionnelles spécialement pour l’événement. Le Centre ouvrira aussi ses portes de 9h à 20h pour prolonger cette journée shopping !
Du côté d’Arlon, plusieurs boutiques du centre-ville et des zonings commerciaux adjacents ont déjà annoncé leur participation au Black Friday. Plusieurs commerces de Bastogne, dont le dynamisme commercial n’est plus à démontrer, devraient également participer à ce week-end où les cartes bancaires vont chauffer.
Le groupe Steffen a ouvert les portes de son premier take-away à la Gare de Luxembourg. Le Quai Steffen entend proposer une offre de restauration pour tous les budgets et envies. Un restaurant sortira également de terre début 2019.
La Maison Steffen est l’une des sommités de la restauration luxembourgeoise. Fondée à Steinfort en 1989, la réputation de la maison s’est rapidement axée sur les produits sains, savoureux et de qualité irréprochable, avec une connaissance experte de la viande et de la charcuterie fine. Cette volonté de bien manger pousse aujourd’hui Frank Steffen, son fils Tom Steffen et son équipe à reprendre en main la concession d’exploitation de la partie restauration de la gare à Luxembourg.
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Le Quai Steffen à Luxembourg Gare - #shootlux
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Aussi, le groupe Steffen a ouvert ce jeudi 22 novembre un take-away flambant neuf sous l’identité « Le Quai Steffen ». Une nouvelle gamme de produits traiteur sera proposé aux gourmets : sandwichs, plats préparés, pâtes, salades, tartes salées et sucrées, pâtisseries, potages et sauces. Soucieux de varier les plaisirs, la gamme changera trois fois par jour : petit-déjeuner de 5h à 10h30, le déjeuner entre 11h et 15h, et le take-out entre 15h30 et 22h pour emporter les plats à la maison.
« La Quai Steffen, c’est pour tous les budgets, et pour toutes les envies »
De l’autre côté de la bâtisse, un restaurant du même nom ouvrira ses fourneaux dès le premier trimestre 2019. Un espace lounge avec tables basses, une salle de restauration de 140 places assises et un bar central seront à disposition des clients. Par temps ensoleillé, les convives pourront même profiter d’une terrasse de 80 places. Que ce soit pour le take-away ou pour le restaurant, l’ambiance se veut chaleureuse et dépouillée. Le style cherche à évoquer le mieux-être, avec des matériaux naturels, organiques et simples qui s’imposent d’eux-mêmes : bois, pierre et matières nobles.
Un seul mot d’ordre : qualité
Ce nouveau projet de la Maison Steffen a nécessité de lourds investissements. L’entreprise s’est engagée auprès du domaine ferroviaire de l’Etat, qui gère la concession, pour les dix prochaines années. Mais avec un flux d’environ 70.000 personnes tout au long de la journée, le pari devrait être relevé sans trop de difficultés. En ouvrant Le Quai Steffen, les équipes répondent aux besoins des touristes, employés, frontaliers, étudiants et résidents à la recherche de produits de traiteur de qualité.
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Le Quai Steffen à Luxembourg Gare - #shootlux
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Pour mettre tous les cartes de son côté, la Maison Steffen ambitionne de mettre en place une offre gastronomique accessibles à toutes les bourses. Les deux nouveaux établissements situés dans le bâtiment des voyageurs veulent d’ailleurs améliorer l’offre de restauration tant assise qu’à emporter. Le niveau d’engagement des équipes sera au même niveau que dans les autres établissements de la marque.
« Nos engagements sont les suivants : un service impeccable, une promesse locale dans le choix des produits, des produits saisonniers, un soin réel apporté lors de la confection et une attention de chaque instant pour l’anti-gaspillage »
La Maison Steffen, qui compte 152 salariés et qui a servie près de 100.000 personnes en 2017, devrait assoir encore davantage sa position de roi de la bonne chère grâce au Quai Steffen. Bon appétit !
Le Campus Henallux accueillera une conférence-débat le 11 décembre prochain. Organisé par le CIEP, l’objectif de cette soirée est de repenser le monde dans lequel nous vivons.
La nouvelle n’a pas fait grand bruit, mais elle mérite d’être mise en avant. Depuis le 16 novembre, et jusqu’au 16 décembre, le Palais d’Arlon accueille le Musée du Capitalisme. Dans une démarche d’éducation permanente, le Mouvement Ouvrier Chrétien (MOC) Luxembourg et ses organisations donnent l’occasion aux habitants de la province de s’interroger sur le capitalisme et d’en débattre. 15.000 personnes ont déjà visité l’exposition depuis son ouverture.
Ce musée éphémère a mis en place une expo itinérante et innovante qui vous propose un voyage à travers les rouages du système capitaliste : origines, espoirs, limites et alternatives. Grâce à une série d’outils de vulgarisation, vous découvrirez comment le capitalisme structure nos vies dans des domaines aussi variés que l’alimentation, la santé, la culture, la consommation ou la finance.
L’une des originalités du Musée du Capitalisme réside dans le rôle central qu’y joue le visiteur, grâce à son côté interactif et à des mises en situation. Le Musée devient alors un espace privilégié de débats et de réflexions. L’exposition est engagée, mais non partisane.
Toutes les informations sur le musée sont disponibles en cliquant ici
Une conférence avec un invité de marque
Dans le cadre de la venue de ce musée, le CIEP organise la conférence « Sortir du capitalisme, un monde à inventer ». Celle-ci s’inscrit dans le cycle de conférences des Mardis de l’Actu sur le capitalisme. Le public aura la chance d’accueillir l’économiste Serge Latouche, connu du grand public comme étant le principal défenseur et théoricien de la décroissance. L’économiste, objecteur de croissance et professeur émérite de l’Université de Paris-Sud, envisagera des pistes pour penser différemment la société.
Pour rappel, le CIEP est une association qui organise des activités de formation générale et d’information pour les militants des diverses organisations socio-économiques et socioculturelles du MOC. Dans toutes ses actions, le CIEP a pour souci de donner aux groupes et aux individus les outils nécessaires à leur engagement comme acteurs et citoyens et de participer au développement d’une société démocratique.
GRATUIT
Le mardi 11 décembre 2018 à 19h30, Auditoire 1 – Campus Henallux (Place du lieutenant Callemeyn, 11) à Arlon
La grogne contre l’augmentation du prix des carburants commence à se faire ressentir. Plusieurs stations-service de la région de Virton sont en pénurie d’essence. C’est aussi le cas à Martelange, Pétange et Bascharage.
La mobilisation des « Gilets Jaunes » provoque des conséquences pénalisantes pour les automobilistes. Pour rappel, le mouvement citoyen manifeste depuis plusieurs jours contre la hausse des accises sur les carburants. D’abord créé en France le 17 novembre dernier, le phénomène a traversé la frontière pendant le week-end. De nombreux manifestants belges se rassemblent à divers endroits névralgiques pour manifester leur mécontentement. C’est notamment le cas à Feluy, où se situe l’un des plus importants dépôts pétroliers.
En province de Luxembourg, le mouvement est presque inexistant. De timides actions ont été menées au poste frontière d’Aubange ce lundi, et le rond-point de Vance a été bloqué quelques heures vendredi dernier. Le blocage du rond-point de l’Hydrion à Arlon n’a, quant à lui, jamais eu lieu, malgré les avertissements. Pourtant, notre région n’est pas épargnée par la pénurie et les usagers subissent les mêmes désagréments. Des citoyens en colère bloquent les dépôts pétroliers en Wallonie, empêchant l’approvisionnement des stations-service. Seuls les stocks de diesel semblent épargnés pour l’instant.
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Photos : Randy Colas
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Virton en pénurie !
Certaines stations-service de la région de Virton ne possèdent plus un seul litre d’essence. C’est le cas chez Schneder-Fagny à Dampicourt. « Depuis ce mardi matin, nous n’avons plus une seule goutte d’essence », expliquaient-ils à nos confrères de La Meuse. « On a la chance d’avoir encore un gros stock de diesel ».
Une situation qui n’est pas isolée. Dans une autre pompe bien connu des gaumais dans le cœur de Virton, les responsables déplorent une situation intenable sur le long terme.
« Nous n’avons plus de « Sans-Plomb 95 », ni même de « Sans-Plomb 98 »
Du côté de Total, toujours dans la région de Virton, une employée indique qu’il est fort probable que les cuves soient à sec dès jeudi. « On tient comme on peut mais c’est compliqué. On a l’habitude d’être réapprovisionné par des camions venant des dépôts de Feluy et de Wandre. Ceux-ci sont actuellement bloqués et ne laissent passer des camions que très rarement »
« On est déjà à sec en essence et si nous ne sommes pas fournis, nous serons également à sec au niveau du diesel. Cette situation est vraiment malheureuse car nous, pompistes, sommes clairement mis dans l’embarras »
En ce qui concerne le mazout de chauffage, les Gilets Jaunes se montrent clément. Ils laissent passer les camions qui en transportant, estimant que les citoyens ne méritent pas d’avoir froid chez eux. Si vous avez récemment demandé le remplissage de votre cuve à mazout, vous devriez donc être servi en temps et en heure.
La situation au Grand-Duché
De l’autre côté de la frontière, la situation est moins alarmante. Mais plusieurs stations-service frontalières accusent également une pénurie.
À Martelange, la première station Total est en situation critique. Il ne reste plus que 30.000 litres de diesel et la question du ravitaillement se pose. Les autres établissements auraient, eux, encore plusieurs milliers de litres en réserve. La station Texaco de Linger (Pétange), située rue d’Athus, ne possédait plus aucune goutte d’essence ce mardi matin. Des affiches indiquaient au client à la recherche de 98 ou 95 de faire demi-tour. Une situation similaire a été observée du côté de Rodange.
À Bascharage, les cuves de la pompe Total n’étaient pas encore vides. Mais pour éviter une pénurie, un plafond a été instauré pour les clients. Une employée que nous avons rencontrée expliquait « que la situation est compliquée.Nous ne sommes pas encore à sec, mais nous faisons attention. Nous limitons les pleins à maximum 150 litres. Cela peut sembler beaucoup, mais certains clients dissimulent des réservoirs dans les coffres ».
« On ne le sait peut-être pas toujours, mais les stations-service luxembourgeoises sont ravitaillées par les dépôts belges. Comme il y a des manifestations en Belgique, le Luxembourg en subit les conséquences »
Une jeune fille originaire de Saint-Léger va publier son premier roman le 25 novembre prochain. Il sera disponible en librairie, mais aussi sur les plateformes en ligne.
Dans la rubrique « Nos jeunes ont du talent », nous avons une nouvelle lauréate : Garance Michelot. À seulement 15 ans, la jeune fille passionnée de littérature va bientôt publier son premier livre. « Décadence » raconte l’histoire d’un rêve récurrent qui filtre avec la réalité, et qui se demande à quel point la distance entre rêve éveillé et cauchemar sans fin est-elle tenue. Un fil rouge volontairement mystérieux et qui donne une envie irrésistible d’en savoir plus. « En troisième primaire, j’ai démarré la lecture du Monde de Narnia. Je suis devenue fan » expliquait la jeune écrivaine à nos confrères de Sud Presse.
« Depuis, j’ai toujours aimé les histoires se déroulant dans des univers parallèles »
Le livre de Garance va être éditée par Art En Mots, une petite maison d’édition française. Elle a trouvé les cordonnées un peu par hasard en fouillant sur Internet, et a pris contact avec les responsables. « J’ai bien entendu dû envoyer mon livre avant qu’elle ne décide de le publier. Ce qu’elle a décidé de faire ». « Décadence » est le premier volume d’une trilogie. Les deux prochains numéros sont d’ores et déjà prêts à sortir, mais l’auteur attendra d’abord que la sauce prenne avant de publier la suite.
Si le roman est déjà disponible en ligne pour les plus pressés, la version physique sera quant à elle présenté le 25 novembre prochain au Salon du Livre de Mons. La jeune fille espère que ce rendez-vous littéraire lui permettra de rencontrer ses premiers lecteurs. Elle aimerait aussi partager et échanger avec des auteurs.
La passion de Garance pour l’écriture lui est venue quand elle avait 12 ans, pendant l’été. Plusieurs idées lui trottaient dans la tête et prise d’ennui pendant les grandes vacances, elle décida de coucher ces idées sur papier. « Avant j’écrivais partout, tout le temps. Mais maintenant, comme j’ai plus de travail à faire pour l’école, je n’ai plus autant de temps libre. Je travaille à certains moments, quand j’ai des pics d’inspiration » confie-t-elle aujourd’hui.
Malgré ses obligations scolaires, l’adolescente de Saint-Léger ne chôme pas. Deux autres livres sont déjà en projet. « L’un sera centré sur l’un des personnages présents dans la trilogie. Le second, quant à lui, est plutôt une histoire d’un autre style. Mon rêve serait vraiment de pouvoir mener une carrière littéraire », conclut-elle avec enthousiasme.
Le livre de Garance Michelot sera disponible sur le marché français et dans plusieurs librairies en province de Luxembourg. Mieux, « Décadence » possèdera même sa déclinaison dématérialisée. Le livre sera accessible sur les plateformes numériques comme Amazon.
Depuis quelques jours, un établissement vend du cannabis light, contenant du CBD, dans le centre-ville d’Arlon. L’échoppe fait son commerce en toute légalité car les produits vendus contiennent presque exclusivement que du cannabidiol.
Vous êtes peut-être passé devant ces jours-ci, sans y prêter attention. Mais depuis quelques jours, un magasin pas comme les autres a ouvert ses portes rue des Faubourgs. Green Shop vend une variété de produits à base de cannabis CBD. Il s’agit d’une grande première dans le chef-lieu de la province de Luxembourg.
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GREEN SHOP à Arlon - Boutique de CBD à Arlon
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Derrière l’acronyme CDB se cache le nom scientifique « cannabidiol », une substance contenue dans le cannabis traditionnel. À la vue et à l’odeur, cela ressemble à s’y méprendre à du cannabis. Sauf que le CBD ne présente pas les effets psychotropes propres au THC, la principale molécule active du cannabis. Autrement dit, cette substance offrirait les mêmes effets thérapeutiques que le cannabis, mais sans les effets néfastes sur la santé. En Belgique, le CBD peut être vendu et acheté légalement sous certaines formes et si des critères bien définis sont respectés, comme notamment un taux de THC inférieur à 0,2%.
Chez Green Shop, le CBD est décliné sous formes de pots-pourris. Des produits de beauté, mais sans CBD et THC, uniquement au chanvre, rejoindront bientôt les étals. Une aubaine pour celles et ceux qui devaient auparavant se rendre à Luxembourg. « Beaucoup de clients allaient jusqu’à présent à Luxembourg pour se fournir. Mais au Grand-Duché, le taux de THC est de 0,3%. S’ils reviennent en Belgique avec de tels produits, c’est considéré comme de la drogue et donc illégal » nous explique Marie, la gérante de cette boutique de CBD à Arlon.
« Ici à Arlon, tous les produits sont légaux. Toutes les normes sont respectées »
Mais attention, pas question d’assimiler le commerce à un coffee shop comme chez nos voisins hollandais. « Ma boutique de CBD, et ma vitrine, sont très sobres. Je veux bien sur me faire connaitre, mais je désire aussi rester discrète. Il y a énormément d’écoles dans la région. L’objectif, c’est d’attirer uniquement des personnes majeures qui connaissent déjà très bien ce type de produit ».
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GREEN SHOP à Arlon - Boutique de CBD à Arlon
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Que dit la loi ?
L’idée de ce CBD shop est venu à l’esprit de la propriétaire après une expérience personnelle. « J’ai utilisé moi-même un jour du CBD et j’ai vu les effets bénéfiques. Comme il n’y en avait pas à Arlon, mon mari m’a dit que je devais foncer et ouvrir ma boutique » nous raconte-t-on.
Si les produits à base de CBD sont bel et bien autorisés en Belgique, un flou juridique règne autour de certaines questions liées à cette molécule. Notamment par rapport aux produits dits « comestibles ». La Belgique est d’ailleurs en train de réfléchir à un cadre législatif plus précis.
GREEN SHOP à Arlon – Boutique de CBD à Arlon
La loi n’est par exemple par très claire quant à l’âge minimum pour consommer ce type de produit. La logique voudrait que les consommateurs soient majeurs, mais aucun texte légal ne l’indique. Sur cette question, la plupart des professionnels ont pris les devants et n’autorise la vente qu’à partir de la majorité. C’est le cas aussi lorsqu’une personne désire acheter du CBD à Arlon. “Quand des jeunes rentrent dans la boutique, je m’assure toujours qu’ils soient majeurs” nous rassure la commerçante, une ancienne agent immobilière qui a décidé de changer de vie.
Une forte demande
« J’ai assisté à une réunion de la FeCab, la fédération du cannabis de Belgique. Les professionnels eux-mêmes demandent un encadrement par rapport à ses produits nouveaux » nous détaille la gérante. « Je suis en ordre à tous les niveaux. Par exemple, je suis aux normes de l’AFSCA. J’ai tous les documents légaux avec moi. Mais je dois redoubler de vigilance dans mes propos lorsque je reçois un client car un professionnel ne peut pas dire ce qu’il veut ».
Par exemple, il est formellement interdit aux vendeurs de CBD de vanter de quelconques vertus thérapeutiques. En attendant, certains observateurs encouragent le développement du CBD. C’est le cas notamment d’Infor-Drogues, qui voit d’un bon œil l’arrivée de cette substance sur le marché. « Infor-Drogue le recommande vivement, et ils ne comprennent même pas comment la Belgique pourrait nous mettre des bâtons dans les roues comme ça ».
« On est sur quelque chose de 100% bénéfique. Il n’y a pas d’effets négatifs »
GREEN SHOP à Arlon – Boutique de CBD à Arlon
En tout cas, force est de constater la boutique de CBD à Arlon a le vent en poupe. La boutique est à peine ouverte depuis quelques jours que la clientèle est déjà présente en nombre. « J’ai déjà reçu une centaine de clients depuis l’ouverture. Les clients sont très variés. Cela va du jeune trentenaire à la dame âgée de 70 ans » conclut Marie avec enthousiasme.