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mercredi, juillet 23, 2025
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Gouvy : la Lupulus bientôt disponible en canette

Alors que certains avaient imaginé la trappiste Orval en canette pour en faire leur poisson d’avril, à Courtil, siège de la Brasserie Lupulus, on ne rigole pas avec ça ! Quelques breuvages créés en leurs murs sortiront bien dans des contenants métalliques. Une canette qui traine pas mal de clichés bien loin de la réalité puisqu’elle est l’emballage le plus adéquat pour ce type de boisson !

Anciennement appelée “Brasserie des Trois Fourquets”, la Brasserie Lupulus est installée depuis 2007 dans le village de Courtil (Gouvy). De fil en aiguille, ou plutôt, de bière en bouteilles, elle ne cesse d’accroître ses volumes de production en proposant ponctuellement de nouvelles bières sur le marché brassicole belge.

Alors que la pandémie frappe de plein fouet le secteur, les équipes de la Lupulus ne chôment pas en ces temps compliqués ! Puisqu’en ce mois d’avril 2021 viennent d’être conditionnées des canettes de bière sortie tout droit de leurs brassins.
Et si la brasserie gouvionne n’est pas encore équipée afin de mettre ses bières dans des contenants métalliques, elle a fait appel à une société extérieure hollandaise pouvant pallier à ce manque.
Ainsi quelques bières estampillées Lupulus sortiront tout prochainement dans des canettes mais ne seront pas forcément disponibles dans notre verte province. Ces emballages métalliques, pratiques pour le transport notamment, seront destinés de prime abord à l’exportation.

Trois canettes et deux nouvelles recettes

Comme l’explique Sudpresse, seulement trois variétés de bières seront mises en canettes, des bières presque inconnues du grand public. En effet, il ne s’agit pas des boissons telles que l’Organicus, l’Hopera, ou encore la Fructus, boissons houblonnées bien connues des amateurs régionaux. A l’occasion de cette nouvelle arrivée sur le marché de la canette, de nouvelles recettes ont donc été crées.

Tout d’abord, la Lupulus Neipa : une bière de style “New England IPA”, variante du style IPA, déjà bien connu dans le milieu craft, qui vient principalement des Etats-Unis. On retrouvera également la Lupulus Hoppy Wheat, une bière de froment, houblonnée à cru, très proche de la Lupulus Blanche ainsi que que la Lupulus Cryo Sabro qui contiendra quant à elle la traditionnelle Lupulus Triple.

Mais pourquoi en canette ?

Tout simplement parce que c’est l’emballage parfait pour la bière !

Alors que la canette traîne de très nombreux clichés, parfois reliés aux bières de mauvaise qualité, au goût aussi horrible que le geste de ceux qui les balancent dans les talus de nos campagnes, elle commence à s’imposer auprès des brasseries et devient le contenant privilégié.

Et si ces canettes métalliques ne sont pas encore bien présentes sur les étals de nos boutiques, il n’en reste pas moins que dans d’autres régions du globe, elles remportent un franc-succès. Attention, si les industriels la propose déjà depuis pas mal d’années, il s’agit ici d’une nouvelle tendance qui arrive auprès de micro-brasseries artisanales.

“Non, pas en canette, la bière sent le métal !”, combien de fois a-t-on déjà entendu cela ? Sortez-vous cette idée de la tête, elle est tout simplement fausse ! Pas question pour les canettes mises actuellement sur le marché d’altérer le goût de la bière. D’une nouvelle génération, elles préservent même bien mieux les arômes des boissons de par son opacité, ne laissant pas passer la lumière mais aussi de par son côté plus hermétique, alors qu’une capsule pourrait laisser s’échapper un peu de gaz. On parle d’une isolation totale du produit.

Le contenant parfait !

La canette est également plus pratique que les bouteilles, car elle est plus légère, empilable (coût et empreinte écologique moindres), presque incassable mais surtout compactable et donc recyclable, ce dernier argument auquel tient la Brasserie Lupulus ! En effet, elles sont 100% recyclables, tout comme le verre, mais le métal possède un cycle de remise sur le marché très rapide : cela prend au maximum 60 jours ! Et celui-ci est recyclable à l’infini.

Alors finalement, pourquoi ne pas mettre nos boissons régionales, comme la Lupulus, en canette ? Peut-être une question d’habitude mais aussi un point de vue psychologique que la brasserie Lupulus a décidé de balayer en proposant ce nouvel emballage !

Florenville : on lui vole 46 vaches salers en pleine nuit !

C’est un fait extrêmement rare qu’on nous rapporte ce weekend. Alexandre Lavigne, agriculteur de la région de Florenville a été victime d’un vol peu banal ; celui de 46 vaches de race salers. Les faits se sont déroulés dans la nuit de vendredi à samedi ! 

“Qui vole un oeuf, vole un boeuf !” Une expression connue de tous mais qui fait certainement moins rire ce cultivateur de Martué (Florenville) victime de ce vol peu banal.

Il est aux environs de 16h30 ce samedi quand cet agriculteur se rend compte, avec stupéfaction, que 46 vaches salers manquent à son troupeau, probablement volées à l’intérieur même de l’étable pendant la nuit. Les faits se sont déroulés entre le vendredi 21 h 30, moment où l’agriculteur a quitté ses bêtes rentrées à l’étable, et le samedi 16 h30 lorsqu’il s’est rendu compte de la disparition de ces 46 salers.

Loin de nos frontières

Alors que ce vol hors du commun aurait peut-être pu éveiller les voisins de part son ampleur et le bruit qu’auraient pu faire les ravisseurs mais également les bovins, il n’en est rien. De la lumière aurait cependant été aperçue dans l’étable aux alentours de 4 heures du matin comme l’indique le Parquet suite une enquête de voisinage. Fait étonnant lorsque l’on sait que la salers est une vache assez sauvage.

Peu connue chez nous, la salers est une race bovine française caractérisée par sa robe de couleur rouge bordeaux. Vache maigre à engraisser, elle produit à la fois du lait et de la viande de qualité.
Du fait que cette race soit peu courante et que les voleurs n’aient pas emporté les papiers d’identification du cheptel, les enquêteurs suspectent que ceux-ci soient déjà bien plus loin que nos frontières.

Malgré tout, la zone de police de Gaume reste sur ses gardes et lance un appel à toute personne ayant des informations sur ces faits inédits. Des renseignements utiles peuvent donc être transmis à la zone de police.

Libramont : John Roose, une inspiration divine pour la peinture (+vidéo)

Dans le cadre de “En piste les artistes !”, le projet culturel de mise en avant d’artistes habitant la commune de Libramont, nous sommes partis à la rencontre de John Roose, fleuriste bien connu mais également peintre autodidacte à ses heures perdues. Des œuvres bien plus qu’originales puisque le libramontois s’adonne à la création ou à la copie d’icônes religieuses. 

Si la peinture est un art que beaucoup pratiquent, parfois dans le plus profond secret, la passion qui anime John Roose depuis quelques années est aussi originale qu’elle n’est rare. Pour la commune de Libramont, il paraissait important de mettre en lumière cet artiste au domaine bien particulier, la peinture (ou écriture) d’icônes religieuses. En effet, depuis près de dix ans, ce fleuriste de l’Avenue d’Houffalize s’adonne à la copie ou à la réinterprétation mais aussi à la création de ces dessins représentant des personnages saints de la tradition chrétienne.

Et pourtant autodidacte…

“La peinture est quelque chose qui est venue avec le temps même si j’ai toujours eu un attrait pour cet art”, nous précise d’entrée de jeu John. “Il y a quelques années, suite à de gros travaux entrepris dans le rue où mon commerce se situe, j’ai eu un petit plus de temps pour moi. Ayant envie de peindre depuis un bon bout de temps, je me suis lancé. C’était le moment où jamais sinon j’allais déprimer”, nous confie John. Et pour ce fleuriste, cela a été plus qu’une révélation puisqu’à partir de ce moment, dès que quelques minutes se présentent à lui, c’est à l’aide de ses pinceaux et de ses créations colorées qu’il aime s’exprimer, cela s’apparente d’ailleurs à un besoin essentiel.

Alors que John n’avait jamais peint ou dessiné auparavant, c’est désormais un art auquel il s’adonne tous les jours ou en tous cas, dès que son emploi du temps lui permet. Un art particulier. “Je ne connais personne d’autre que moi qui peint ce genre d’œuvres”, explique ce fleuriste de métier. “C’est encore moins courant de nos jours d’ailleurs mais je suis porté par la foi.” Et s’il n’avais jamais tenu un pinceau dans ses doigts, John Roose a toujours aimé la peinture et le dessin, principalement tout ce qui touche au réaliste comme l’expression des visages même s’il nous avoue également apprécier l’art abstrait et le figuratif. Mais c’est à la suite d’une épreuve personnelle qui a marqué sa vie que John a trouvé la force dans la foi et la religion : “une de mes amies est tombée gravement malade et c’est à ce moment que je me suis tourné vers la foi. Cela m’a donné de la force qui m’a permis de l’épauler et de surmonter cette épreuve difficile”, nous confie-t-il.

Des créations qui interpellent 

Si les sujet religieux l’inspirent principalement, ce ne sont pas les seuls sujets sur lesquels John aime prêter ses pinceaux. C’est également l’environnement qui l’entoure qui inspire cet artiste autodidacte : “la nature m’inspire beaucoup au même titre que les fleurs, cela ne s’invente pas, je suis quand même fleuriste”, commente-t-il en rigolant. “Par exemple, une de mes dernières créations est née lors des chutes de neige cet hiver. Je ne me cantonne finalement pas qu’à l’art religieux.”

Malgré son talent reconnu actuellement, John n’a pas exposé directement ses œuvres au grand public dès le début de sa passion. “Au départ, je peignais pour moi sans jamais imaginer faire une exposition. En fait, cela s’est imposé avec les années. Et quand la bibliothèque m’a proposé ma première exposition, je me suis lancé et j’ai reçu beaucoup d’encouragements à la suite de celle-ci, ce qui me pousse à continuer !”
Depuis, John a déjà exposé à deux reprises. Des moments qu’il apprécie réellement tant les échanges avec le public peuvent être encourageants mais également enrichissants. “J’aime interpeller les gens via mes créations, les entendre dire que l’art religieux n’est plus au goût du jour ! Mais je peins avant tout avec le cœur et avec beaucoup de plaisir”, ajoute-t-il.

En pour conclure notre entretien, John Roose lance une invitation :” à tous ceux qui font un peu de peinture ou de sculpture à leur niveau dans leur coin qu’ils ne doivent pas avoir peur de se montrer et d’exposer. C’est partager et montrer ce que l’on sait faire. Il y a tout à gagner réellement.”
Son histoire le prouve, même en étant autodidacte, John continue à créer et à exposer ses œuvres. Des œuvres qu’il ne signe pas, car ce type de créations ne le permette pas, un vrai signe d’humilité.

Freylange : avez-vous vu le wallaby de Lora, évadé dans la nature depuis samedi ?

Mauvaise surprise ce weekend pour une citoyenne de Freylange, Lora Labbé. Avec son compagnon, ils possèdent un élevage de plusieurs wallabys depuis quelques années. Samedi matin, ils ont découvert avec stupéfaction que la clôture de leur parc avait été forcée laissant une femelle wallaby et son bébé prendre la poudre d’escampette dans la nature. Ouvrez l’œil !

“Un grand merci à la/aux personne(s) mal intentionnée(s) qui a/ont forcé la clôture de notre parc et qui a/ont laissé s’échapper une de nos maman wallaby qui portait un bébé. Elle est partie de Freylange en direction de Viville.” 

Voici le message que Lora Labbé a laissé sur les réseaux sociaux ce weekend. C’est en allant nourrir les animaux samedi matin que les jeunes habitants de Freylange ont découvert que la porte de l’enclos des wallabys avait été forcée. Il n’en fallait pas moins pour qu’une femelle portant son petit se fasse la malle, probablement en direction du village de Viville. Ce marsupial de petite taille est très rapide ce qui lui a permis de filer sous les yeux de ses propriétaires.

Ce mardi, l’animal n’avait toujours pas regagné son enclos malgré qu’il ait été aperçu sur des caméras de surveillance de la région. La femelle wallaby est donc toujours en vie. En ce qui concerne son bébé, si elle ne l’a pas perdu à cause du stress, il pourrait encore se trouver dans la poche ventrale l’abritant depuis sa mise au monde.

Que faire si vous croisez l’animal ? 

Lora explique : “si vous la voyez n’hésitez pas à m’envoyer un message ou à me téléphoner au 0497332935 ou au 0478769147. N’essayez pas de l’approcher elle est assez craintive et risquerait de s’échapper à nouveau.”

 

Arlon : le Faubourg 101 repris par Lucas et Milan Milano à la suite du décès de leur maman

C’était en mars dernier. Nataël Hatert, gérante de l’établissement arlonais “Faubourg 101”, décédait inopinément lors d’un voyage au Sénégal. Comme nous l’apprend Sudpresse, ses deux enfants, Lucas et Milan Milano ont décidé de reprendre le flambeau de leur maman prenant les rênes du restaurant tout prochainement. 

La terrible nouvelle n’avait pas tardé à provoquer un vif émoi dans le chef lieu arlonais. Lors d’un voyage au Sénégal en mars dernier, la patronne du “Faubourg 101”, Nataël Hatert, perdait la vie inopinément, secouant le monde de l’Horeca et des commerçants arlonais. Situé en face du Palais de justice, à la rue des Faubourgs justement, cet établissement bien connu dans la région perdait sa patronne, à la sympathie et au dynamisme extrêmes.

Reprise des plats à emporter cette semaine

Quelques semaines après le départ soudain de leur maman, Lucas et Milan Milano ont décidé de reprendre les rennes de l’institution arlonaise. La même équipe mais une carte réhaussée de quelques petites touches personnelles !

Comme l’explique Lucas Milano à Sudpresse : “je travaillais déjà avec ma maman. Cela me semblait tout naturel de reprendre l’établissement. Avec tout ce qu’elle avait mis en place, avec tout l’investissement qu’elle avait réalisé, c’était pour moi comme une obligation.” Le jeune homme motivé à l’idée de poursuivre l’œuvre de sa maman sera épaulé par son frère Milan dans la gestion quotidienne de l’établissement.

Si la date du 1er mai est attendue impatiemment pour tout un secteur, les deux frères espèrent réellement pouvoir ouvrir à nouveau les portes de la maison familiale rapidement. Quoiqu’il en soit, si l’attente est longue, les frangins Milano ne restent pas les bras ballants ; le service des plats à emporter reprendra dès cette semaine !

Aussi, c’est un côté plus “street-food” qui sera ajouté à la cuisine proposée, des plats à manger au bureau par exemple. Des nouveautés qui seront proposées dans une carte qui devrait évoluer quelque peu dans le futur. “On va garder les bases comme les burgers, les pâtes, etc. mais nous allons aussi renouveler les choses, histoire d’apporter notre touche personnelle”, explique le jeune homme.

Province : plusieurs rassemblements de personnes interrompus suite à des dénonciations

Ce weekend, quelques rassemblements de personnes ont été interrompus par la police suite à des dénonciations du voisinage. Le Parquet du Luxembourg parle de plusieurs infractions aux règles de confinement. Des rassemblements minimes et bien loin de ceux déjà organisés ces derniers mois dans notre province (Tintigny, Virton, Manhay, …)

Les habitants de la province dénonciateurs ? A en croire les quelques “lockdown party” interrompues par la police à la suite de dénonciations ce weekend, on pourrait penser que oui. Peut-être également le ras-le-bol de tout un pan de la population face aux mesures jugées contraignantes qui s’exprime de cette manière en pensant de même qu’il est utile que tout le monde participe à l’effort collectif afin de sortir de cette situation qui n’a que trop duré !

“Allo police ? Je vous signale que …” 

Quoiqu’il en soit, la police est donc intervenue à près de cinq reprises ce weekend pour mettre fin à des rassemblements aux quatre coins de la province sur base de dénonciations.

Ainsi samedi, à Manhay, la police est intervenue afin de stopper une petite fête d’anniversaire. Un rassemblement avec peu d’adultes mais de plusieurs enfants qui ont du retourner prématurément à leur domicile respectif. Des amendes ont été distribuées aux participants.

A Arlon, c’est une dizaine de jeunes en train de faire la fête qui se sont vus remettre une contravention pour non respect des règles anti-covid.

Même cas de figure dans le Centre-Ardenne où la police a dû intervenir auprès de neuf personnes en train de faire la fête.

Enfin, à Libramont, six mineurs, âgés de 15 ans, se trouvaient dans un jardin en train de discuter sans faire de bruit comme l’explique le Parquet. A l’arrivée des policiers, ils ont tenté de s’enfuir par les champs, mais ont été finalement attrapés. Une dénonciation qui proviendrait d’un voisin proche de l’habitation sur fond d’un conflit de voisinage.

Des situations qui soulèvent pas mal de questions et où chacun trouvera sa réponse. De vrais cas de conscience quoiqu’il en soit !

Pendant l’Euro, la Jupiler prendra la couleur rouge pour soutenir les Diables

On aura pu croire à un poisson d’avril avec une dizaine de jours de retard mais il n’en est rien ! La bière Jupiler s’habillera bien d’une belle robe rouge en vue de la tenue de l’Euro 2021 de football. Pendant deux mois, cette bière en édition limitée sera toute rouge, comme les Diables et l’ensemble du pays. 

“Celui qui pensait avoir tout vu avec le changement de nom de Jupiler au profit de Belgium à l’occasion de la Coupe du Monde 2018 doit revoir sa copie. Cette fois, ce n’est pas le nom ni l’emballage, mais bien l’apparence de la bière elle-même qui change !”, explique d’entrée de jeu Amaury Hayois, manager marketing de Jupiler. “Car pour les Diables Rouges, c’est maintenant ou jamais ! Ils ont besoin de tout le soutien nécessaire. Nous sommes tous rouges de l’intérieur, et notre bière aussi”.

La grande campagne “We’re All Red Inside” et la Jupiler Red enflammeront donc les Diables Rouges ! Le processus de brassage de la Jupiler Red est en tout point identique à celui d’une Jupiler ordinaire ; la seule différence, c’est le colorant rouge ajouté par le brasseur dans la dernière phase de la production : “Nous utilisons de l’extrait clarifié de carotte noire, c’est un colorant parfaitement naturel, couleur Vivid Red. Comme il est totalement insipide, il ne change que l’apparence visuelle. Le goût, la fraîcheur et la qualité de la Jupiler Red demeurent identiques à ceux de la pils la plus connue des consommateurs belges”, commente Ben Souffriau, spécialiste en innovation produits chez AB inBev.

Tous ensemble pour la victoire

La bière rouge est le fer de lance de la campagne nationale “We’re All Red Inside”. Ce slogan vise à resserrer les liens entre les Belges pendant l’Euro de football. “En tant que marque qui réunit les supporters, Jupiler veut amener tous les Belges à supporter leur équipe nationale. Nous souscrivons tous à cette perspective pour fêter ensemble les victoires des Diables Rouges, tout en maintenant les gestes barrières, tant au café qu’à la maison en famille ou en ville entre amis. La réouverture prochaine de l’Horeca et le retour de l’été vont donner une incroyable touche festive à cet événement.” 

La bière rouge recevra un emballage spécial Euro, lequel deviendra un véritable objet de collection. Un spot télévisé diffusera un message d’espoir, de solidarité et de réalisation du rêve collectif : ramener à Bruxelles le fameux trophée européen.

Etalle : trois jours de cinéma “drive in” dès le 30 avril

Le passage au guichet, le choix de sa boisson et de sa sucrerie préférée au bar, l’odeur du pop-corn dès la première porte poussée, la sensation de confort du siège choisi, l’ambiance de la salle noire, des sensations “souvenirs” tant la période de fermeture des cinémas nous semble longue … C’est dans cet esprit qu’un cinéma “drive in” verra le jour le temps d’un weekend dans le village gaumais d’Etalle. Au programme, plusieurs films à découvrir bien au chaud à l’intérieur de votre véhicule. 

C’est effectivement comme un lointain souvenir ! Le bruit des paquets de chips et autres confiseries du genre, la personne commentant chaque scène du film devant lequel on est installé ou encore les ébats amoureux de ce jeune couple installé dans le coin le plus en retrait et à l’abri des regards indiscrets, tant de situations rencontrées dans nos salles obscures. Salles qui affichent portes closes depuis fin octobre, la seconde fermeture en date actée lors de la deuxième vague de l’épidémie.

Plus d’une dizaine de films à l’affiche 

A Etalle, on a décidé de combler ces manques via l’organisation d’un cinéma plein air dans le cadre fixé par les autorités gouvernementales. “Drive in Gaume” est le nom donné à cet événement qui se tiendra du 30 avril au 2 mai prochain, une nouveauté en Gaume alors que de pareilles initiatives ont déjà vu le jour ailleurs en province.

Le principe est assez simple ; c’est donc à bord de votre véhicule que vous pourrez découvrir les films proposés à l’occasion. Trois jours durant lesquels plusieurs longs métrages seront projetés : “nous avons tenté de proposer une programmation très large afin de faire plaisir à un maximum de publics. Nous avons donc choisi des films salués par la critique et/ou plébiscités par le grand public, l’objectif étant d’offrir un moment récréatif à tous, des plus jeunes aux aînés”, nous explique-t-on du côté du Syndicat d’initiative d’Etalle, organisateur de l’événement.

“Les matinées seront réservées aux dessins animés pour le plus grand plaisir des enfants. Les soirées laisseront la part belle aux films cultes, les après-midi aux films familiaux et/salués par la critique”, poursuivent-ils. “Si l’absence de couvre-feu nous le permet, des films faisant frissonner les plus courageux clôtureront les soirées.” Ainsi, le vendredi, vous aurez notamment l’occasion de (re)découvrir le film “Bohemian Rhapsody” suivi du film  d’horreur “Ça” si les mesures gouvernementales le permettent.
Le lendemain, cinq films seront diffusés tout au long de la journée. A savoir : “Coco”, “Détective Pikachu”, “A Star is Born”, “Star Wars 4, Un nouvel espoir” mais aussi “The Predator”.
Et le dimanche, quatre films dont “Zootopie”, “Les Quatre filles du Docteur March”, “Jojo Rabbit” tandis que le film “Avatar” viendra clôturer le weekend cinéma stabulois.

20€ par voiture, pas par participant 

C’est sur un écran géant situé rue Saint-Antoine à Etalle que les différents films seront diffusés. Le son quant à lui sera retransmis par la bande FM de votre véhicule. Il est a savoir également que les voitures seront placées par ordre d’arrivée (l’organisateur de nous conseiller de venir 30 minutes avant le début de la séance).

Afin d’ouvrir cet évènement à un maximum de personnes, un tarif unique par voiture est proposé. Ainsi, que vous veniez en amoureux, en famille, tout seul ou avec votre meilleur ami dans votre voiture, le prix reste le même ! Les tickets sont réservables sur le site de l’organisation ou en cliquant sur ce lien.

Parce qu’une séance de cinéma ne serait pas parfaite sans, des boissons, bonbons, chips, pop-corn seront également proposés et seront directement livrés jusqu’à votre voiture.

Notez toutefois que le site ne peut accueillir qu’une cinquantaine de véhicules pour chaque séance. Soyez donc prévoyant si l’envie de vous refaire une toile vous tiraille.

Les premiers spas à bière de Belgique ouvriront prochainement leurs portes

Image : Bath&Barley

Avouez-le ! Quel amateur de bière n’a jamais voulu se baigner dans un tonneau rempli de sa boisson préférée ? Ici, les amateurs de spa et de boisson houblonnée seront comblés ; la possibilité de se baigner dans des jacuzzis remplis de bière. Des bulles et de la mousse ! 

Se baigner dans de l’alcool ! Si certains le font sans le vouloir lors de soirées plus que trop arrosées, il sera désormais possible, dans quelques temps, de profiter des bienfaits de la balnéothérapie alliés à la bière au sein de la capitale bruxelloise. Deux lieux dédiés à la relaxation, “Good Beer Spa” et “Bath and Barley”, attendent que les conditions sanitaires permettent l’accueil de leurs premiers clients, le premier à quelques encablures de la place Madou et se second à deux pas de la Grand-Place. Une plongée dans une atmosphère relaxante et brassicole.

Le plaisir mais également des bienfaits 

C’est ici que l’on voit que la Belgique mérite bien sa reconnaissance de sa culture de la bière par l’Unesco ; la revendiquant à nouveau ! Même si ce concept nous provient de l’Europe de l’Est, à l’image de l’Allemagne ou de la République Tchèque où des spas de ce genre ont déjà vu le jour, il fallait que les amateurs de bières que sont les Belges leur emboitent rapidement le pas en proposant ces moments de relaxation houblonnés.

C’est d’ailleurs lors d’un séjour dans ces pays que les gérants de “Bath & Barley” ont eu l’idée de monter ce projet en Belgique : “Le houblon, la levure et l’orge utilisés pour le brassage de la bière ont tous un effet positif sur le corps. Les enzymes actives et la levure de bière rendent votre peau et vos cheveux doux et souples, le houblon regorge d’antioxydants et nettoie vos pores et la chaleur du bain (environ 38C°) procure un effet relaxant“, comme l’expliquent-ils.

 

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 Une balnéothérapie brassicole mais également un moment afin de déguster une bonne bière ! Car pendant votre immersion houblonnée, on vous donnera quelques explications sur les bières belges, sur l’orge et la levure qui sont ajoutées au bain et vous pourrez également choisir le houblon de votre choix. Mais pas question de boire la bière du bain ! Vous n’aurez qu’à tendre la main vers une pompe d’où coulera une bonne cervoise bien fraîche. Bière qui coule amasse la mousse ?

La longue histoire des spas de bière

Le houblon et la bière regorgent de substances nourrissantes et de vitamines. Il y a plus de 2000 ans, les Égyptiens et les Romains utilisaient déjà la bière dans leurs cosmétiques et en appréciaient les propriétés relaxantes et aromatiques. Les spas de bière ont une longue histoire dans les Balkans, et gagnent en popularité aujourd’hui“, expliquent quant à eux les responsables du “Good Beer Spa”.

Ainsi, ces nouvelles balnéothérapies de bière promettent d’ouvrir les pores de la peau, de la nettoyer et de diminuer tout type d’anxiété. Et on y croit ; après une grosse journée intensive au boulot, une bonne mousse bien fraîche nous fait souvent le plus grand bien ! C’est ainsi que vous pourrez donc faire trempette dans des baignoires traditionnelles de chêne, remplies d’un mélange d’eau à 39°, de houblons et d’herbes aromatiques qui agiront sur votre corps et votre esprit.

Une belle activité à faire prochainement, même entre amis, les deux enseignes proposant des salles composées de plusieurs baignoires ! Cela pourrait être un comble ; se baigner dans de la bière alors qu’elle est, pour l’instant, impossible à déguster dans les cafés et autres bars dont regorge le Plat Pays !
C’est peut-être ça, voir la vie d’houblon côté !

Luxembourg : la réouverture des terrasses est confirmée pour le 7 avril

Nous vous annoncions la semaine dernière le projet de réouverture des terrasses des établissements HORECA au Luxembourg. Le sujet était de nouveau sur la table des autorités politiques ce jeudi matin. Après de longues discussions entre les membres de la commission de santé, le feu vert a été acté et est considéré comme un “petit pas symbolique” pour Xavier Bettel.

Malgré le durcissement des règles en vigueur en Belgique ou en France afin de limiter la propagation du Covid-19, le Grand-Duché de Luxembourg continue de faire cavalier seul. Les autorités politiques viennent de donner le feu vert pour la réouverture des terrasses jeudi prochain, à compter du 7 avril.

Cette mesure ne sera applicable qu’aux établissements bénéficiant d’une autorisation d’exploitation de terrasse. Cela signifie donc que les propriétaires qui installaient occasionnellement des tables et des chaises ne seront pas compris dans cette réouverture. Par ailleurs, le nombre de personnes sera limité à 2 par table (sauf lorsque les personnes font partie d’un même ménage ou cohabitent) et le port du masque sera obligatoire pour se déplacer.

À noter également que le gouvernement envisageait d’étendre la plage horaire d’ouverture jusque 21h, et non jusque 18h comme prévu initialement. Un projet qui a finalement été refusé par la commission, actant donc une ouverture entre 06h et 18h afin de gérer au maximum la situation.

Si ce projet de réouverture enchante le grand public, de nombreux indépendants ne sont pas encore satisfaits et demandent une ouverture complète du secteur. Certains se retrouveront ce vendredi, sur la place d’Armes à Luxembourg, pour manifester.

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