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Arlon : le Personal Shopping va-t-il révolutionner le service client dans le prêt-à-porter ? (+Vidéo)

Le Personal Shopping | Point Carré à Arlon

L’enseigne de prêt-à-porter PointCarré propose désormais un service de personal shopper. Nous sommes allés à la rencontre de Mireille, qui occupe cette fonction encore méconnue du grand public.

Derrière l’anglicisme « personal shopper » se cache peut-être le service qui va modifier considérablement l’expérience des clients dans les magasins de prêt-à-porter. Le personal shopper est un conseiller de vente spécifiquement dédié à un client pour l’aider à trouver les tenues idéales. Ce service vient répondre au souhait de toutes celles et ceux qui, sans en avoir forcément le temps, désirent s’habiller avec style et se faire plaisir. Après avoir spécifié sa taille et ses préférences stylistiques, un expert de la mode prépare la visite du client en magasin en effectuant une sélection personnalisée de vêtements qu’il découvrira à son arrivée. Pendant une heure, le client profite des conseils dédiés de son personal shopper dans un espace privé du magasin. À la sortie, le client ne paie que ce qu’il a choisi. Le service est quant à lui gratuit.

Mireille est personal shopper à Arlon !

Depuis ce jeudi, ce service innovant est disponible dans l’ensemble des boutiques de l’enseigne PointCarré en Province de Luxembourg, y compris à Arlon au sein du complexe commercial de l’Hydrion.

Dans la boutique luxembourgeoise, c’est Mireille, coach en image pour PointCarré depuis sept ans, qui s’occupe de chouchouter les clients. « Nous voulions offrir des services supplémentaires à notre clientèle. C’est pour cela qu’on a décidé de lancer le Personal Shopping ». Pour la spécialiste mode, cette aide sur-mesure est très professionnelle : « Le Personal Shopper a été formé et certifié, après une demande de candidature ».

Si le Personal Shopping était jusqu’ici réservé aux marques très haut de gamme, généralement inaccessibles au grand public, PointCarré entend bien démocratiser la pratique et offrir une expérience inédite dans ses points de vente. « Le service est gratuit et accessible à tout le monde : toute personne désireuse d’être conseillée, entre 18-75 ans, homme ou femme sont les bienvenus » nous explique Mireille.

Pour profiter du service, le client intéressé doit simplement se rendre sur le site Internet de la marque et prendre rendez-vous. Pour permettre aux experts de préparer au mieux la visite, quelques informations doivent être renseignées : la taille, la morphologie ou les styles de vêtements préférés ou encore ses couleurs favorites. « Le client peut même, s’il le souhaite, nous envoyer une photo de lui. Cela nous offre encore davantage d’informations pour créer une expérience unique ».

Pour Mireille, ce service de Personal Shopping est un concept global qui ne se résume pas à un simple relooking ou à fournir quelques conseils aux clients :

« On redonne de la confiance aux gens. Certaines me demandent d’avoir une meilleure estime d’elle-même. Je fais de mon mieux pour y arriver ».

Des clients déjà séduits !

Et force est de constater que cela semble fonctionner. Les premiers retours sont positifs et les clients semblent adhérer à cette nouvelle façon de s’habiller. « C’est très bien ! L’accueil est soigné, les gens sont à l’aise très facilement et les explications sont claires et nettes concernant le relooking ! Les conseils ? Excellents ! » nous a confié Guillaume. « Dans un premier temps, ma femme avait testé l’expérience et je l’ai accompagné. J’étais déjà séduit, donc j’ai tenté l’expérience également. Et si j’ai l’occasion, je le referai. Ça change du shopping traditionnel. L’atout de cette méthode est la proximité avec le client, on se sent en confiance et mis en valeur ».

 

Une autre cliente, Sandra, a également fait appel aux services de Mireille, sans regret : « C’est quelque chose qui m’a beaucoup beaucoup aidé. En général, je n’ai pas énormément de temps pour faire les magasins, et c’est quelque chose qui m’ennuie vite. Avoir un Personal Shopper à notre disposition, c’est un gain de temps énorme. Mireille a une qualité d’écoute incroyable et répond parfaitement à nos attentes que ce soit en fonction de notre style, notre morphologie. Elle tape toujours très juste, elle à l’œil et je lui fais confiance les yeux fermés ! Je ne me passe plus de ses services quand il s’agit de faire du shopping ».

Apparemment, PointCarré tient un concept qui devrait faire des émules à l’avenir et séduire tous les passionnés de mode.

 

Saint-Léger: Il veut acheter du cannabis et finit par rouler sur la jambe du dealer présumé

Un présumé dealer en arrêt de travail après s’être fait rouler dessus suite à un deal qui a mal tourné… 

Ce lundi matin au tribunal correctionnel d’Arlon, une affaire cocasse était présentée devant la substitut du procureur du Roi, Mme Lejeune. Un deal de cannabis aurait mal tourné à Saint-Léger début d’année 2018. Un soudeur aurait voulu acheter pour l’équivalent de 200 euros du cannabis à un dealer. Le présumé dealer ne fournissant pas la marchandise se serait vu reprendre violemment la somme donnée avant de tenter de s’extirper de la voiture de son présumé acheteur.

En colère, celui-ci aurait asséné des coups et, voyant que des curieux arrivaient, aurait pris la fuite par crainte.

Mme Lejeune, substitut du procureur du Roi

Malheureusement, lors de sa fuite, ce dernier a écrasé au passage la jambe du dealer avec sa honda civic. Le présumé dealer affirme quant à lui que ce serait le soudeur qui voulait lui vendre du cannabis, l’attirant ainsi dans un traquenard.

Le présumé dealer blessé a dû se mettre en arrêt de travail suite à sa jambe cassée. Au vu du manque d’indice, l’affaire reste encore à être tirée au clair car les deux parties se rejettent la faute mutuellement. Dans l’attente de l’expertise, le jugement est reporté au 22 octobre.

 

Arlon : mission réussie pour la Maison des Jeunes ! (+Vidéo)

L’intérêt du travail socioculturel de la Maison des Jeunes d’Arlon n’est plus à démontrer. Après une saison 2017-2018 réussie sur tous les fronts, la MJ prévoit de faire aussi bien cette année.

Ils s’appellent Ludovic, Joséphine ou Kylian. Ils nourrissent tous un projet personnel différent mais partagent un point commun : participer à la Maison des Jeunes d’Arlon.

Depuis maintenant de nombreuses années, l’asbl accueille, écoute, soutient et accompagne les jeunes Arlonais âgés de 12 à 26 ans. Désireuse d’accroitre le sentiment de fierté d’une génération en recherche constante de reconnaissance, les animateurs socioculturels de l’association proposent des espaces d’accueil, des ateliers hebdomadaires ou des projets sur mesure. Objectif : développer les aptitudes et les compétences des jeunes en les soutenant dans leurs projets. Comme l’indique la MJ, leur mission s’inscrit dans une perspective de changement, de transformation. C’est un espace de mobilisation et de construction de projets par et pour les jeunes.

« C’est super convivial. Tout le monde parle avec tout le monde. Quand on est adolescent, et qu’on parle avec d’autres adultes qui ne sont pas nos parents, on se sent mieux » nous confie Joséphine, présente à la MJ depuis 5 ans.

Mission remplie pour la MJ

Pour mettre en pratique cette philosophie, les équipes sont présentes quotidiennement et soutiennent les jeunes dans le développement de leur projet, qu’il s’agisse de musique, de création artistique, de voyages ou d’audio-visuel.

« Nous sommes très satisfaits du bilan de la MJ. Au niveau de l’investissement et de l’expression des jeunes, nous remplissons nos objectifs à 100%. Chez nous, ce sont les jeunes et leur personnalité qui sont mis en avant. Nous n’instrumentalisons rien. Les jeunes passent en premier. Les animateurs sont présents pour rendre service et soutenir le développement personnel des jeunes » nous explique Doriane Coupez, coordinatrice de la Maison des Jeunes d’Arlon.

Neuf ateliers pour développer ses talents

Au sein de cette grande communauté, l’accueil est libre. L’accent est mis sur l’écoute et l’échange. Dans cette optique, les jeunes peuvent simplement venir pousser la porte de la MJ sans raison particulière, ou bien venir se confier sur le projet qui leur tient à cœur et tisser des liens avec des personnes partageant les mêmes sensibilités. Le dénominateur commun reste le respect de chacun et la mixité culturelle.

L’association met également sur pied des ateliers d’initiation qui s’inscrivent dans le cadre de sa mission d’éducation permanente. Cette année, ils sont au nombre de neuf et couvrent des thématiques variées : dessin, théâtre, break dance et Hip-Hop, capoeira, sport abdo-fessiers, guitare, basse, batterie et chant. L’objectif est d’attirer les jeunes de 15 à 18 ans qui souhaitent s’investir, mais aussi attirer l’attention sur des activités méconnues du grand public.

« Les ateliers sont une porte d’entrée vers la MJ. Ils permettent de s’essayer à diverses activités culturelles et de peut-être trouver son coup de cœur » continue Doriane.

Mais le rôle de la MJ ne se résume pas à simplement proposer des ateliers. Pour les adolescents et jeunes adultes qui auraient déjà une passion bien établie, le mouvement associatif soutient et apporte son aide afin que ces personnes puissent continuer à pratiquer leur activité de prédilection. « Si vous avez déjà une passion mais que vous recherchez un lieu ou une aide pour la pratiquer, la MJ est là ! Par exemple, si vous êtes passionnés de danse, nous pouvons vous fournir une salle de danse ».

L’association accorde par ailleurs une liberté, une flexibilité et une marge de manœuvre importante aux jeunes qui souhaitent exprimer leur passion : « Certaines personnes ont besoin d’un cadre académique et formel pour se développer. Dans ce cas, c’est peut-être mieux de se rendre dans une académie, un théâtre ou une école. Mais d’autres jeunes ont un besoin vital de liberté. Nous accordons donc une grande liberté dans la façon d’organiser les activités. Le but est clair :  que le jeune pousse sa passion au maximum et qu’il s’éclate ! » nous dit avec enthousiasme Doriane.

La MJ est présente partout !

Fort de son succès, la Maison des Jeunes s’investit dans l’ensemble des activités qui rythmeelle le quotidien du chef-lieu. Le carnaval, le festival « Les Aralunaires », les fêtes du Maitrank, ainsi que tous les événements mis sur pied par l’association elle-même : le mouvement associatif est partout.

« Nous essayons de répondre présent à tous les grands rendez-vous. Les jeunes veulent s’intégrer et participer. Nous voulons les mettre en lumière. Les jeunes doivent être visibles ! » conclut la responsable.

Pour la saison 2018-2019, la MJ ne dérogera pas à la règle. Les événements festifs et culturels continueront d’animer et d’égayer les quartiers et le centre-ville d’Arlon. Ainsi, l’entrepôt d’Arlon accueillera le concert Swing et Chilla le 12 octobre prochain, une soirée Manga-Wok investira les locaux de la MJ le 19/10 et une soirée Halloween sera organisée le dernier samedi du mois d’octobre. L’ensemble des activités est disponible en CLIQUANT-ICI . À noter qu’une journée portes ouvertes se tiendra le 18 mai 2019 de 13h à 20h.

Finalement, la meilleure façon de décrire la Maison des Jeunes d’Arlon, c’est Kylian qui le sait : « La maison des jeunes, elle accepte tout le monde » On ne peut que lui donner raison et féliciter les équipes pour ce travail d’utilité publique !

La récolte des pommes en 2018 : une année juteuse !

Contrairement à l’année 2017, la récolte de pommes s’est révélée bien plus prolifique en 2018.

Des conditions météorologiques plus clémentes…. (pas de gel tardif et un printemps chaud) constituent les principales explications de cette réussite.

Malgré pas mal de pertes estivales, principalement dues à la sécheresse, le ramassage des pommes est au-delà des espérances pour les producteurs. « Nous avons perdu entre 8-10 tonnes de pommes, soit pourries ou immatures en début de saison » nous a confié Didier Munaut, le patron du « Verger de Gaume » à Virton. « Mais, au final, cette année s’avère être presque trop bonne », conclut Didier Munaut. Il déclare même avoir même refusé les pommes de certains clients en vue de leur pressage. « Le pressoir est fermé jusqu’au 1er octobre, nous avons reçu trop de pommes. Nous travaillons désormais à guichet fermé ».

“C’est une année exceptionnelle ! Les rendez-vous sont déjà pris jusque fin octobre.”

Même son de cloche au pressoir d’Halanzy où les récoltes fructueuses de cette année font tourner les pressoirs à plein régime. Le premier week-end d’ouverture, 14 tonnes ont été pressées en 48 heures.  « C’est une année exceptionnelle ! Les rendez-vous sont déjà pris jusque fin octobre. Comme toute bonne année, on pressera sans doute jusqu’en novembre »
Les journées sont longues. Les producteurs pressent environ 10h par jour.

Bref, à n’en point douter, 2018 restera dans les mémoires comme une année à succès pour la pomme ! Le soleil d’été a généreusement arrosé de rayons les pommes. Ces dernières se voient octroyer d’un dosage en sucre rarement observé ! Cependant, le goût n’est pas particulièrement différent des autres années.

Enfin, rappelons que le pressoir Munaut à Virton, de Halanzy ainsi que celui de Rachecourt sont accessibles au public et aux particuliers sous réservation, en général un mois à l’avance. Dès lors, pour ceux qui voudraient s’y prendre maintenant, cela risque d’être compliqué d’obtenir ce précieux nectar tant apprécié par les enfants.

Arlon : un nouvel établissement horeca dans le centre-ville !

Pause Gourmande à Arlon

Ce 21 septembre, l’établissement Pause Gourmande, mêlant restaurant, crêperie et sandwicherie, a ouvert ses portes dans le centre-ville du chef-lieu.

Crêpes salées ou sucrées, salades, burgers, plats végétariens ou végétaliens, sandwiches, produits sans gluten : ces mets sont ceux proposés par Pause Gourmande, le nouvel établissement qui a pris ses quartiers à la rue des Faubourgs. À la manœuvre, on retrouve Sylvie Simon, une spécialiste culinaire qui entend bien se distinguer grâce à ses produits faits maison et ses livraisons à domicile.

Traiteur de formation, et née dans une famille de boucher, Sylvie est baignée depuis sa tendre enfance dans les produits de bouche. Après plusieurs années, cette passionnée de cuisine a opéré une petite reconversion professionnelle pour réaliser son rêve : ouvrir son propre lieu de dégustation. « J’ai voulu créer un cadre, un cocon où on se sent bien quand on vient déguster » nous confie Sylvie le jour de l’ouverture. « Avec Pause Gourmande, nous souhaitons nous différencier des concurrents. Grâce à notre triple activité, nous proposons des produits originaux, que l’on ne trouve pas nécessairement ailleurs ».

 

Des crêpes, des sandwiches et des plats de brasserie !

Cet établissement se veut en effet résolument différent des autres. Pause Gourmande se démarque dans le paysage arlonais grâce à sa stratégie trois-en-un : une crêperie, une sandwicherie et un restaurant.

La crêperie offre aux gourmets un assortiment d’une quinzaine de crêpes salées et sucrées. Confectionnées avec de la farine de sarazin, les galettes respectent la tradition ancestrale bretonne. Sylvie n’a d’ailleurs pas hésité à suivre des cours avec un chef spécialisé :

« Je suis tombé amoureuse de la Bretagne et un chef breton m’a enseigné les recettes pour préparer de véritables crêpes bretonnes ».

Sur le temps de midi, les Arlonais, les travailleurs et les étudiants peuvent acheter des sandwiches faits maison, ainsi que des salades et ou des raviers de fruits frais, par exemple. Les étudiants sont d’ailleurs mis à l’honneur puisque plusieurs formules « plat du jour » sont proposées par l’établissement. Objectif : manger sainement à un prix abordable.

Enfin, le restaurant se positionne comme une petite brasserie où les produits frais, de saison et faits maison sont les seuls à être autorisés en cuisine. Les clients peuvent bien entendu se sustenter avec les crêpes salées, mais des plats de type « brasserie » agrémenteront la carte du restaurant. Il également possible de venir simplement se détendre autour des multiples cocktails proposés par la maison.

Un service traiteur pour les plus pressés

À côtés de ces activités bien chargées, Pause Gourmande a aussi mis sur pied un service traiteur pour le moins pratique. Chaque jour, des menus entrée-plat-dessert sont élaborés dans les coulisses et disponibles via le service traiteur de l’établissement. Si les commandes peuvent être retirées directement sur place, Sylvie et son équipe propose également un service de livraison gratuit dans la commune d’Arlon jusqu’à 22h. De quoi soulager les personnes qui n’ont pas eu le temps de préparer le repas du soir.

De l’emploi et des cours de cuisine !

L’ouverture de Pause Gourmande est une nouvelle positive pour le commerce et le développement économique du chef-lieu de la province de Luxembourg. D’autant plus que trois personnes ont été engagées pour seconder Sylvie dans ses tâches. Deux étudiants rejoignent également l’équipe de temps à autre pour apporter un coup de main bien nécessaire lorsque c’est le coup de feu en cuisine.

Si le restaurant fermera ses portes chaque lundi et mardi soir, Sylvie n’en profitera pas pour se reposer. La cheffe va lancer des cours de cuisine deux fois par semaine, lorsqu’elle n’est pas derrière les fourneaux. « Les cours seront organisés via des thèmes : les fêtes de fin d’année, la Saint-Valentin, Pâques, etc. À chaque fois, nous apprendrons à cuisiner un menu trois plats (entrée-plat-dessert) en concordance avec la thématique choisie » nous explique Sylvie. « À la fin du cours, les participants dégusteront leur création autour d’un verre. Ce sera convivial et bon enfant ».

Alors, si vous avez désormais l’eau à la bouche, il ne vous reste plus qu’une seule chose à faire : vous rendre au 5, rue des Faubourgs. Sylvie et tout son équipe vous accueilleront les bras ouverts.

Marbehan : Beau succès pour le festival Hop n’roll Urban Edition avec Black M ! (Photos/vidéo)

Hop n'roll Urban Edition 2018 - #Festival #Marbehan #shootlux #blackm #sniper

Coup d’envoi réussi pour le festival le plus « décalé » de Belgique qui se déroule depuis 2004 dans le petit village de Marbehan.

Ce vendredi Hop n’roll Urban Edition ouvrait les hostilités, le public était au rendez-vous malgré un problème de timing dans la programmation du festival…

Hop n’roll Urban Edition 2018 – #Festival #Marbehan #shootlux #blackm #sniper

Après la prestation de Caballero & JeanJass, les figures montantes du rap Belge, Le public a eu droit à une petite surprise…

Le groupe SNIPER était eux aussi dans les bouchons sur l’autoroute !

« Vous savez les travaux sur l’autoroute, c’est pour tout le monde… même pour les artistes » commente Dominique Pairoux, l’organisateur du festival.

Malgré ce problème, l’organisation a réagi de manière rapide pour faire en sorte que l’ambiance reste au rendez-vous dans le chapiteau du festival de Marbehan.

Mission réussie pour le jeune DJ originaire de Mussy-la-Ville. DJ A.R.T a réussi à garder le public en haleine en attendant l’arrivée de l’emblématique groupe de rap/hip-hop français très connu avec le titre « Gravé dans la roche » qui aujourd’hui compte plus de 20 millions de vues sur Youtube. SNIPER a conquis le public avec un show assez impressionnant, les festivaliers ont eu l’occasion de profiter d’un vrai spectacle d’improvisation digne des plus grands rappeurs.

Pendant ce temps-là, attendu impatiemment par de nombreux festivaliers, Black M n’en pouvait plus d’attendre de monter sur scène pour mettre l’ambiance !

Il suffisait de voir l’agitation dans le carré V.I.P pour comprendre qu’un artiste devait y être ! En effet, Black M se baladait accompagné d’une armoire à glace à ses côtés dans l’enceinte du Festival. Un chouette moment pour de nombreux participants.

« C’est trop cool ! Il est très sympa, on a eu l’occasion de parler avec lui et même faire une photo » témoigne unE jeune festivalière avec le sourire !

L’avis de la rédaction sur cet événement :

Le festival de Marbehan, c’est toute une histoire ! Premièrement que dire d’une organisation aussi parfaite dans un petit village comme Marbehan ? C’est une très grande famille ce festival… Tous les bénévoles sont très sympa, et toujours prêt à faire en sorte que tout se déroule bien. Voir plein d’autres organisateurs, ou expert dans le domaine de l’événementiel mettre la main à la patte pour que tout se déroule bien, c’est génial pour notre région !

Nous gardons à chaque fois de bons souvenirs de ce festival auquel nous participons depuis maintenant quelques années. On rencontre toujours de chouettes artistes, et pour finir, l’ambiance à Marbehan c’est incroyable au final ! On rencontre des gens qui viennent de Liège, de Bruxelles c’est ça aussi qui est chouette.

Oberpallen: Guillaume ouvre une pâtisserie fine avec le Pall Center (+vidéo)

Ce 20 septembre, une nouvelle pâtisserie a vu le jour au Pall Center à Oberpallen.

Située à l’entrée de la galerie, cette pâtisserie concept se nomme “Taste. Lab”.

Éclair violette-chocolat, caramel-passion, fraise-basilic citron, spéculoos-framboise, moelleux au chocolat menthe fraîche, madeleine au miel,  ou encore tartelette pomme-spéculoos seront à la carte au Pall Center prochainement. Et celui qui ravira vos papilles , c’est Guillaume Chavée, un jeune entrepreneur de 26 ans, originaire d’Habay-la-Vieille.

Depuis maintenant 15 ans, la pâtisserie dont il est passionné, rythme ses journées. Rêvant d’indépendance depuis plusieurs années, il a trouvé un compromis en s’installant au Pall Center en collaboration avec madame Wickler.

Cette nouvelle pâtisserie concept, n’a d’ailleurs rien avoir avec les autres. Ici, les produits se veulent différents des autres, avec des goûts, des associations, des textures et des couleurs que l’on ne retrouve pas ailleurs. ” Je fais tout de A à Z, de la pâte à la crème pâtissière. Nous n’achetons aucun produit fini ou semi-fini. On part de la matière brut de base et on fait tout nous-même! Par exemple, nous achetons de vraies gousses de vanille alors que ce produit vaut de l’or maintenant, et que personne n’utilise par soucis de facilité.” De plus, la carte changera régulièrement et proposera des nouveautés, tout en suivant les saisons.

Favoriser le circuit court et les produits locaux ” On veut vraiment de la qualité !”

« Les produits utilisés, viennent principalement du Luxembourg et de Belgique, comme les pommes, les œufs, les fraises… C’est important pour nous de favoriser le circuit court et les produits locaux. De plus, ici au Pall Center, nous avons une serre qui nous permet de récolter nos propres produits, on peut aller se servir tous les jours c’est génial. Nous récoltons également notre propre miel, chose qui nous permet d’utiliser du sucre naturel et rendre certaines de nos pâtisseries moins sucrées. Et pour aller encore plus loin, nos boîtes en carton d’emballage sont biodégradables.»

Tout est fait maison, aucun arôme colorant n’est utilisé, aucune gélatine animale. De plus, des pâtisseries sans allergènes et sans gluten sont proposées. Tout est naturellement différent, comme l’indique si bien le slogan du Pall Center.

En tant qu’entrepreneur c’était un rêve d’ouvrir ta pâtisserie ?

Auparavant, Guillaume travaillait, comme second chef chocolatier chez Oberweis durant un an et demi, ensuite dans une pâtisserie à Bastogne et dernièrement, il a travaillé durant un an dans les centres de commissions européennes. Tout ceci s’est révélé être une belle expérience qui lui a permis d’acquérir beaucoup de technique et de maîtrise. Mais pour ce jeune qui en veut et qui aime pouvoir exprimer sa liberté et sa créativité, il y avait beaucoup trop de restrictions.

“J’ai toujours rêvé d’être indépendant, de pouvoir faire tout ce que je veux moi-même mais malheureusement en Belgique, c’est vraiment la galère pour se lancer. Plus aucune banque ne croit dans les projets de petits artisans. Je pense avoir trouvé ici le meilleur des compromis, avec le Pall Center. Nous sommes dans le même état d’esprit, nous voulons primer la qualité et les produits locaux. De plus, ici, je n’ai aucune limite, je peux vraiment faire tout ce que je veux au niveau de mes créations. Donc c’est vraiment tout ce qu’il me fallait, je ne pouvais pas rêver mieux.”

“Je crois que je peux même perdre un bras, je viendrais toujours travailler”

De l’originalité, Guillaume en a ! En passant par des madeleines à la lavande ou au thé matcha, et des tartelettes noix de coco, ananas, citron vert, il y a de quoi faire saliver, rien qu’à leur vue. Alors, si vous êtes amateur de sucré et de légèreté, votre cœur sera conquis  par ce jeune passionné!

Hondelange: Un cerf fait la course le long de l’autoroute avec une caravane! (vidéo!)

Qui a dit que ça ne roulait pas le dans le sud de la province sur l’E411 en direction de Luxembourg?

La preuve, un cerf a été filmé ce matin fonçant à tout allure le long de l’autoroute près de Hondelange.

Certains avanceront qu’il est probablement effrayé par la grippe porcine et qu’il veut tout simplement se réfugier au Luxembourg, loin de la maladie.
D’autres affirmeront qu’il montrait aux frontaliers un itinéraire bis pour se rendre au Grand-Duché, à vous de juger.

Arlon : c’est la rentrée à l’Académie des Beaux-Arts


La rentrée académique des Beaux-Arts a commencé.
Ouverte à tous, elle rassemble chaque semaine dans un cadre dynamique et convivial plus de 700 élèves de 6 à 80 ans autour d’une équipe de 17 professeurs tous artistes-pédagogues.

Seule académie organisant le domaine des Arts plastiques, visuels et de l’espace dans la Province de Luxembourg, elle accueille dans ses implantations d’Arlon, de Marche-en-Famenne et de Virton, des élèves provenant de toute la Province, mais aussi habitant les régions frontalières.

Cette académie très attractive, dont Véronique Henrot est la directrice à Arlon, nous informe que les inscriptions prendront fin le 30 septembre et il ne reste plus beaucoup de place !

Une multitude d’ateliers à prix réduit, sont proposés. En passant par des cours de formation pluridisciplinaire pour les enfants et adolescent à des cours plus particulier pour adultes tels que la gravure, la photographie, la sculpture, la peinture, … Ou des cours très originaux, tel que la création textile par exemple, qui s’avère être une chose très particulière dans  l’art et qui consiste à utiliser toute une panoplie de techniques autour du fil. L’embarras du choix s’offre à vous !

C'est la rentrée académique aux Beaux-Arts d'Arlon. Il reste des places, Dépêchez-vous!

Publiée par Véronique Henrot sur Jeudi 20 septembre 2018

L’objectif de l’académie des beaux-arts rencontre les trois finalités de l’enseignement secondaire artistique à horaire réduit. En effet, l’enseignement qu’elle propose vise à contribuer à l’épanouissement des élèves en promouvant une culture artistique par l’apprentissage des divers langages et pratiques artistiques. Il donne aux élèves les moyens et formations leur permettant d’atteindre l’autonomie artistique suscitant une faculté créatrice personnelle. Et, enfin, il offre un enseignement préparant des élèves à rencontrer les exigences requises pour accéder à l’enseignement supérieur artistique.

L’enseignement dispensé vise à favoriser la pluridisciplinarité et le décloisonnement des spécialités artistiques dont l’apprentissage est organisé en ateliers de pratiques artistiques. Il développe la curiosité des élèves, leur permet la découverte d’un large éventail de savoir-faire et l’acquisition de compétences propices au développement d’une créativité et d’une identité artistique singulières. Les thèmes de travail, de recherches et d’études sont proposés par les enseignants de manière à instaurer dialogues et partages permanents avec les élèves autant individuellement que collectivement.

Afin d’élargir encore les horizons artistiques et culturels, l’équipe pédagogique propose régulièrement l’accueil d’intervenants, l’organisation de stages et de conférences ainsi que des visites de galeries, foires, musées et expositions tant en Belgique qu’à l’étranger.

Les ateliers pluridisciplinaires pour enfants et adolescents, sont gratuits jusqu’à l’âge de 12 ans. On y retrouvera du dessin, de la peinture et du travail de volume. Véronique Henrot, nous explique que cela leur permet d’évoluer personnellement et de développer leur personnalité. Aucun enfant ne dessinera comme un autre enfant nous précise-t-elle !
Ces cours se donnent par tranche d’âge, 6-8 ans / 9-11 ans / 12-14 ans / 15-17 ans.
Le tarif adolescent est de 74€ par an et pour les adultes, 184€ par an.
Les cours se donnent une fois par semaine et un vaste choix d’horaires s’offre à vous.

 

Pour plus d’informations:
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Un Arlonais dénonce le manque d’infrastructures aux abords d’une école !

Un Arlonais dénonce le manque d’infrastructures pour les piétons et cyclistes aux abords de l’école de Barnich-Sterpenich

François Goergen habite Autelbas et dépose tous les jours sa fille de 4 ans à l’école de Barnich-Sterpenich. Il profite de la récente rentrée des classes pour dénoncer dans une vidéo la dangerosité de la route qui mène à l’établissement scolaire.

Chaque matin, c’est le même rituel pour François Goergen : déposer sa petite fille à l’école avant de partir travailler. Mais force est de constater qu’il ne s’agit pas toujours d’un long fleuve tranquille pour ce jeune père de famille. Dans une vidéo ludique sur YouTube visionnée près de 3000 fois, l’Arlonais dénonce le manque d’infrastructures réservées aux piétons et aux cyclistes entre les deux villages et l’école communale, et alerte sur la dangerosité de la situation. « Depuis Autelbas, le passage est tellement étroit que lorsque deux voitures se croisent, le cycliste ou le piéton se retrouve dans une situation très inconfortable ». De l’autre côté, depuis Sterpenich, le papa indique qu’il n’existe tout simplement pas d’aménagement prévu pour les parents et enfants qui désirent parcourir à pied ou à vélo les quelques centaines de mètres qui séparent le village de l’école. « Si on veut s’y rendre à pied ou à deux roues, on est obligé d’emprunter une zone à 90 km/h ! ».

Une situation déplorable pour cet éducateur physique : « Que l’on parte d’Autelbas ou de Sterpenich, cette route est dangereuse dans les deux sens. Le danger n’est pas que pour les cyclistes, c’est également le cas pour les piétons. Je suis convaincu que si rien ne change, il finira par y avoir un accident » confie-t-il dans des propos rapportés par Sudpresse. Selon le principal intéressé, il existerait bel et bien un projet pour remédier à cette problématique : un chemin qui relierait les deux villages pour que cyclistes et piétons puissent se rendre à leur école.

Du côté de la commune d’Arlon, on temporise. Selon André Ballon, l’échevin de la mobilité du chef-lieu, une voie piétonne avait été pensée et intégrée dès le départ dans le projet initial de la construction de la nouvelle école. Mais suite à plusieurs couacs indépendants de leur volonté (ce sont les chemins de fer qui devaient s’en charger) l’aménagement a été reporté. Il promet toutefois que les habitants pourront profiter de cette voie dans les deux ans qui arrivent : « Lors de l’installation de la station d’épuration le long du ruisseau de Barnich, on va en profiter pour installer un piétonnier pour 2020 » conclut l’échevin.

Pour l’auteur de la vidéo, ce problème est d’autant plus regrettable que l’école, elle, présente bien des atouts : « C’est une très belle infrastructure. Il y a même un système de contournement et un parking pour les voitures afin que les parents puissent déposer les enfants en toute sécurité » admet François Goergen. En somme, il ne manque qu’une voirie dédiée aux usagers faibles pour que l’établissement scolaire devienne un modèle du genre en matière de mobilité.

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