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samedi, juillet 5, 2025
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Saint-Léger : grâce à une marche, les éclaireurs (scouts) offrent des repas au personnel de Vivalia

Encore une fois, les scouts ont prouvé qu’ils étaient “toujours prêts”, à l’instar de leur promesse ! A Saint-Léger, les éclaireurs ont décidé d’organiser une marche afin de débloquer une somme d’argent destinée à offrir des repas au personnel soignant de Vivalia. Et plus ils marchaient, plus l’enveloppe grossissait ! C’est ainsi que plus de 2300 km on été parcourus ! 

C’est encore une de ces belles initiatives que nous aimons mettre en avant en cette période si particulière ! D’autant plus quand ce sont des jeunes qui se “rassemblent” afin de se montrer encore plus solidaires.

“La marche des éclaireurs”

Ils ont entre 12 et 16 ans et font partie des scouts, un des plus grands mouvements de jeunesse au monde. A Saint-Léger, cette tranche d’âge bien précise qui porte le nom des “éclaireurs”, a décidé de se mobiliser dans un but bien précis : offrir des repas aux équipes de Vivalia, bien éprouvées en cette année 2020. “Nous ne pouvions plus faire d’activité avec les 12-15 ans en raison de la crise sanitaire que nous traversons”, nous explique Jérôme Migeaux, un des responsables. “Mais on ne voulait surtout pas rester inactifs et c’est ainsi que nous nous sommes mis autour d’une table afin de savoir ce qu’on pouvait organiser”

C’est ainsi qu’est née cette belle initiative : la grande marche des éclaireurs ! Le principe était simple ; il suffisait pour tout un chacun d’enfiler de bonnes chaussures, de marcher et les kilomètres alors parcourus par l’ensemble des participants étaient alors additionnés. Pas question de marcher en groupe, covid oblige, les éclaireurs invitaient les marcheurs à leur envoyer le nombre de bornes parcourues.

Côté finances, la section des éclaireurs à fait appel à quelques sponsors de la région afin de les soutenir. C’est ainsi que la fleuristerie Lé Lys, la boutique Côtés Arômes et la pizzeria l’Adriatica, toutes trois léodégariennes, se sont jointes au projet afin d’aider financièrement les jeunes scouts dans leur initiative solidaire.

Le but en additionnant les kilomètres était d’atteindre différents paliers qui débloqueraient alors de l’argent. La somme de 200€, dernier palier, serait ainsi offerte par les sponsors si l’objectif de 1000 kilomètres était franchi. “On ne pensait pas que tout irait si vite”, continue Jérôme ! “Après seulement une semaine, nous étions déjà à plus de 850 km cumulés. On a donc modifié le projet en disant que les 200€ seraient débloqués si on dépassait 1750 km. C’est ainsi que nous sommes finalement arrivés à une distance cumulée de +/-2350km.” Objectif bien plus qu’atteint !

Plus de cinquante pizzas

Une première somme de 200€ récoltée donc grâce à cette marche mais c’était sans compter sur la générosité d’un donateur anonyme qui a ajouté 100€ à cette cagnotte destinée à offrir des repas au personnel soignant.
Ainsi, des contacts ont été pris avec la direction de Vivalia à Arlon afin de pouvoir livrer des pizzas ainsi que des boissons dans les meilleures conditions possibles.

Les éclaireurs gaumais se sont donc rendus dans les services des urgences et de réanimation, deux services “Covid”, où les pizzas réalisées pour l’occasion par l’Adriatica (un de leurs sponsors), ont été distribuées. Une cinquantaine de pizzas qui ont fait plaisir à l’estomac et au cœur des équipes soignantes. “Notre but était multiple”, nous précise encore Jérôme Migeaux. “Ne pas perdre le fil et le contact avec les animés mais également de mettre sur pieds une activité qui sort des sentiers battus. En outre, nous voulions rendre service et aider le personnel soignant de Vivalia à notre manière”, termine le jeune gaumais. Un triple objectif atteint donc !

Virton : une partie fine d’une cinquantaine de personnes arrêtée par les policiers

Image Google

Ce samedi soir à Saint Mard, la police a de nouveau mis fin à une lockdown party réunissant plus de cinquante participants. Les fêtards, la plupart d’origine française, ont tous été verbalisés par les forces de l’ordre.

C’est une énième affaire du genre à laquelle les policiers ont dû faire face ce samedi dans la nuit. Ayant reçu un grand nombre d’appels téléphoniques signalant de drôles d’agissements dans cette villa située en face de la clinique Edmond Jacques (comble du comble, là où sont soignés certains patients de la Covid !), les forces de l’ordre sont descendues sur les lieux au beau milieu de la nuit.

Après avoir eu l’autorisation du magistrat, les policiers de la zone de Gaume ont pu pénétrer dans la villa suspecte. Pensant retrouver une vingtaine de personnes comme le laissait présager les voitures et les différents signalements, ce n’est pas moins de cinquante fêtards qui seront délogés, participant à un anniversaire ressemblant plus à une partie fine au vu des petites tenues portées par les individus présents. Des escorts girls se seraient également joints à cette fête interdite.

52 PV pour non-respect des mesures Covid ont été dressés, avec des amendes de 250€ à la clé pour les contrevenants tandis que deux autres P.-V. ont été réalisés pour détention de stupéfiants et de capsules de gaz hilarant.
Le propriétaire de la villa, originaire de Flandre, a également été entendu. Il n’était pas présent au moment des faits. Un PV a également été rédigé contre lui.

Une nouvelle lockdown party qui provoque le courroux du Maire de Virton dénonçant ces individus irresponsables au comportement égoïste qui pourrait mettre à néant des mois d’effort collectif. D’autant plus que la semaine dernière, il était à l’écoute des coiffeuses et coiffeurs demandant la reprise de leurs activités !

Marbehan : Julien Lapraille ouvre une pizzeria éphémère en association avec un restaurateur bastognard

Encore une nouvelle corde qui s’ajoute à l’arc de Julien Lapraille ! Le chef installé depuis pas mal d’années dans son village de Marbehan vient d’y ouvrir une nouvelle pizzeria, en association avec un restaurateur de Bastogne : Giorgi ! Cette nouvelle enseigne, “Pizzaah”, restera ouverte trois mois, du jeudi au dimanche où les pizzas à emporter seront garnies avec des produits locaux. 

“Artisanales et locales” voici comment seront les pizzas sorties tout droit du four nouvellement installé à Marbehan pour l’occasion. Alors que Julien Lapraille et son “Marché” ont tout récemment investis un nouveau bâtiment, plus grand, plus espacé et toujours situé dans la cité marbehanaise, il fallait compter sur l’imagination débordante du Top Chef pour aménager son ancien magasin en une pizzeria éphémère !

Depuis ce jeudi, des odeurs de farine torréfiée et d’origan s’échappent dans la Grand’Rue à Marbehan, un nouveau four spécialement installé chauffe déjà à plein régime. Dans cette nouvelle aventure, Julien a embarqué un restaurateur de Bastogne qui officie en temps normal au sein du Giorgi, hôtel-restaurant de la “nut’s city”, mis à l’arrêt suite aux mesures liées à la crise sanitaire ! Ce dernier s’occupera alors de la préparation de la pâte à pizza traditionnelle et de sa cuisson tandis que le gaumais se charge de la garniture de celle-ci, composée avec des produits du terroir local !

Ainsi, on pourra retrouver notamment du fromage d’Orval, des plates de Florenville (pomme de terre), du boudin, du jambon de la Sûre, … des ingrédients posés délicatement sur les quelques pizzas proposées uniquement à la vente à emporter. En parallèle, vous aurez l’occasion également de goûter les pâtes de fabrication artisanale qui viendront compléter l’offre “Italienne” ; lasagnes, rigatonis, il y en aura pour tous les goûts !

Pour les gourmands, Pizzaah est ouvert du jeudi au dimanche soir dans la Grand’Rue à Marbehan. Une aventure pour le moment éphémère, mais connaissant les ambitions du jeune chef, l’odeur typique de la pizza pourrait planer plus longtemps encore dans l’air de la région gaumaise.

Plus d’infos sur la page Facebook Pizzaah

Etalle : “Campagne” une boulangerie 100% artisanale

Il y a près d’une année, Michel Van Damme reprenait les rennes d’une boulangerie stabuloise. Ainsi naissait “Campagne”, un établissement ou le fait-maison est maître mot, où les farines sont labélisées et contrôlées et où la qualité prime sur le reste ! Une année balayée malheureusement par la crise sanitaire qui n’a pas entamé le moral et la détermination du propriétaire des lieux ! 

En septembre 2019, la boulangerie Gilquin fermait définitivement ses portes à la fin d’une quarantaine d’années de service au beau milieu du village d’Etalle. Une fermeture de courte durée car, moins de trois mois plus tard, Michel Van Damme, liégeois d’origine ayant posé ses cartons à Léglise, décide de rallumer les fours et de s’installer dans cette boulangerie gaumaise.

Un parcours atypique

Et pourtant, comme le dit si bien Michel Van Damme, rien ne le prédestinait à tenir ce genre d’établissement : “j’ai commencé mes études par un régendat en éducation physique”, nous explique-t-il. “Un début de parcours complètement atypique, dans le sens où ce n’était pas mes études ou mon désir de base, nous confie-t-il !

Quoi qu’il en soit, c’est sur le terrain que Michel apprendra son métier de boulanger en intégrant d’abord un établissement reconnu en région liégeoise : “là j’ai tout appris car c’est un réel artisan où tout est fait maison. C’est dans cette optique que je voyais le métier”, nous apprend-t-il. Parallèlement à ce poste, il débutera une formation en cours du soir afin d’apprendre les rudiments de la profession.

Après quelques années et d’autres maisons, il rejoint la province de Luxembourg où il passe par divers établissements connus de la région ; il se retrouve notamment au poste “viennoiseries”, une place qu’il affectionne tout particulièrement ! Ces apprentissages sur le terrain ont été réellement un plus comme nous le confirme Michel, à l’heure où, selon le boulanger, les formations ne sont pas complètes : “Ces différents parcours et passages m’ont permis de compléter ma formation. Des établissements où l’entièreté des produits étaient fait maison, c’était déjà un choix à l’époque !”

Des farines contrôlées et labélisées CRC 

Car à la boulangerie “Campagne”, tout est fait maison ! C’est d’ailleurs le leitmotiv de la maison et de son boulanger. Lait et œufs de fermes locales, fruits du verger, compote artisanale, rien n’est laissé au hasard ! Outre ce choix de fabrication, Michel sélectionne également les meilleurs produits de base pour la fabrication de ses pains et viennoiseries : “ma sélection de farine a été rigoureuse, je voulais la meilleure. Les meuniers avec lesquels je travaille sont les meilleurs, leur méthode de travail est également importante, ici c’est de la culture raisonnée contrôlée, un label qui n’existe pas en Belgique” nous explique-t-il. Un label qui offre l’assurance d’avoir une traçabilité complète d’une production qui respecte un cahier des charges bien précis. “Nous sommes deux en province de Luxembourg à utiliser ces farines naturelles, je ne conçois pas le fait d’utiliser des farines améliorées !”
Outre ces farines françaises labélisées, Michel travaille également des farines locales comme l’épeautre d’Ardenne, en provenance directe de la ferme d’Habaru.

Des farines labélisées mais qui ne sont pas toujours complètement stabilisées (pas d’ajout de stabilisant à la farine) ce qui ajoute encore une expertise et un savoir faire supplémentaire à cette profession. De quoi faire sonner le réveil de Michel aux environs de 1 heure du matin afin de pouvoir présenter des pains aux clients du mercredi au dimanche midi.

Un réveil à 1 heure du matin pour une journée de 12 heures

Si Michel n’est pas le seul à exercer son métier pendant 12 heures d’affilé (même si cela constitue déjà une petite exception), c’est aux environs de 1 heure du matin que son réveil sonne.

Aux premières heures, priorité à la cuisson des différents pains ainsi que celle des viennoiseries ; c’est sans dire que la température du fournil ne fait qu’augmenter entre les premières fournées jusqu’à la cuisson des tartes au petit matin. C’est aussi le moment pour composer les quelques pâtisseries qui garniront quotidiennement la vitrine. Une des dernières tâches de cette longue nuit est de fabriquer les pâtes qui lèveront toute une nuit et qui donneront un pain léger à la mie alvéolée le lendemain. Tout un programme !

Un métier usant ? “Effectivement c’est un métier qui demande de la gestion, notamment au niveau de la vie privée car ce sont des horaires décalés”, explique Michel. “Nous travaillons également le weekend, même le dimanche. C’est un planning précis que j’essaie de respecter chaque jour au risque de dormir trois heures seulement comme cela arrivait au départ de l’aventure ! Les gens ne se rendent pas toujours compte des heures de travail derrière un pain. En résumé, il faut une grande résistance au travail !”

Michel ne travaille évidemment pas tout seul à l’atelier. Actuellement, deux ouvriers le secondent dans la fabrication journalière. Mais là aussi c’est compliqué : “le plus dur est de trouver du personnel de qualité”, soupire Michel. “Ici je suis assez fier de mon personnel, que ce soit à l’atelier où au magasin mais, en règle générale, c’est difficile !” Manque de volonté, d’envie, aucune stabilité, manque de formation, je vous assure que c’est parfois la croix et la bannière pour dénicher l’ouvrier qu’il me manque. Là où le bat blesse certainement c’est au niveau de la formation où on ne leur apprend pas forcément la réalité de terrain et les contraintes du métier, c’est une formation incomplète même au niveau des basiques”, poursuit le boulanger.

“J’ai la chance d’avoir une clientèle au top ! On a jamais eu autant de compliments venant de toutes parts !”

Un métier compliqué mais qui est compensé par le plaisir donné aux clients à en écouter Michel Van Damme ! “Mon métier est hyper valorisant parce que je suis fier de ce que je sors. C’est un métier de création où on m’offre la possibilité de donner du plaisir aux gens avec des choses simples”

Et effectivement, ses clients lui rendent bien à en voir les nombreuses visites et surtout les compliments qu’il reçoit : “j’ai vraiment une belle reconnaissance de mes clients ! Les compliments viennent de toutes parts. D’habitude, on te dit quand cela ne va pas. Ici on me dit quand ça va bien, on en a pas l’habitude”, glisse-t-il avec le sourire ! “Cela me marque vraiment et me touche, c’est extraordinaire !”

Un webshop lancé en pleine crise sanitaire

Comme bon nombre de commerces, la boulangerie de Michel n’a pas été épargnée non plus lors de la crise sanitaire. Alors que le boulanger était dans sa première année, il a dû essuyer des pertes importantes de près de 30%. “Certes les pertes ont été importantes, mais on se réconforte en se disant qu’on a eu la chance de rester ouvert au contraire de certains autres domaines d’activités.”

Une perte limitée grâce également à un nouveau webshop en ligne. Même si le projet de vente en ligne était dans les cartons de ce jeune boulanger, la situation sanitaire a accéléré les choses : “en trois semaines, on a créé de toutes pièces notre webshop. Catégories, photos, produits, paiement en ligne, … tout a été envoyé en moins de trois semaines ! De plus, nous sommes certainement les seuls dans la région à proposer un tel service.”
La crise a également poussé Michel à d’autres réorganisations et aménagements. Ainsi, il a commencé à développer une tournée dans la commune de Léglise, mis en place un système de files prioritaires dans la boulangerie sans oublier le placement de deux containers permettant d’accueillir plus de clients simultanément et en toute sécurité. Des efforts qui ont permis de ne pas licencier de personnel, “c’était le plus important pour moi” termine Michel.

Un nouveau magasin ? 

Si la crise sanitaire a frappé de plein fouet le boulanger, elle lui permet cependant de s’ouvrir à d’autres projets. Depuis peu, la boulangerie “Campagne” propose ses produits à la nouvelle épicerie en ligne Foodlux ! Ainsi, chaque jeudi, les clients Foodlux peuvent faire livrer les pains de Michel jusqu’à leur domicile. Une offre de ses meilleurs pains se retrouve donc dans les rayons de cette épicerie en ligne : “valoriser des producteurs locaux et leurs produits à motivé clairement mon choix. La démarche de Foodlux est la philosophie que j’applique au quotidien !” nous explique-t-il.

Un autre projet à l’horizon concernera certainement son magasin. Un rafraichissement de la boutique et un agrandissement de celle-ci sont dans les cartons. Des travaux que Michel entreprendrait en utilisant les containers déjà disposés devant sa boulangerie à l’heure actuelle. “Mais chaque chose en son temps, petit à petit”, nous dit-il rapidement. “Ce n’est que ma première année en tant qu’indépendant, je dois donc rester prudent !” Sans oublier l’agrandissement de l’atelier qui viendra dans un second temps. Encore du pain sur la planche donc !

Baguettes, pains de tradition, pain à l’épeautre, multicéréales, pâtisseries diverses, viennoiseries au beurre de ferme, tout des produits à retrouver dans cette boulangerie 100% artisanale, dans le webshop consacré ou encore jusque chez vous grâce à Foodlux !

Alors si vous êtes de passage à Etalle ou si vous désirez retrouver le goût du bon pain d’antan, poussez la porte de la boulangerie “Campagne” !

Boulangerie Campagne
Rue du Moulin, 48
6740 Etalle
+32 63 45 55 12

Arlon : la E411 complètement bloquée après un accident entre deux camions

Photo utilisateur Facebook

C’est aux environs de 6 heures ce matin que l’accident s’est produit à hauteur de Heinsch (Arlon). Deux camions sont alors entrés en collision sur la E411 en direction du Luxembourg. Depuis, l’autoroute est complètement paralysée. Des déviations ont dû mises en place. 

C’est un accident impliquant deux camions qui est à l’origine de ce chaos sur les routes aux alentours d’Arlon ce matin. Il est alors 6 heures quand ces deux camions sont entrés en collision sur la E411.

Il a été constaté qu’un des deux camions laissait fuiter un liquide provenant de son chargement, lequel pouvait être potentiellement dangereux. Les pompiers d’Arlon et Etalle sont sur les lieux.

Cet accident crée un chaos sur les routes dans la région d’Arlon. Le centre et les alentours du chef-lieu étant saturés. Les bouchons se font ressentir jusque dans les petits villages bordant Arlon.

Armez-vous de patience si vous devez vous y rendre.

Frontaliers : l’accord belgo-luxembourgeois sur le télétravail prolongé

Il était attendu, il vient d’arriver ! Après l’accord franco-luxembourgeois tombé en ce début de semaine, voici que la Belgique et le Luxembourg viennent de décider de prolonger l’accord portant sur le télétravail jusqu’au 31 mars 2021. 

Le Grand-Duché du Luxembourg et la Belgique ont décidé de prolonger jusqu’au 31 mars l’accord portant sur le télétravail des travailleurs transfrontaliers dans le contexte de l’épidémie.

Le 19 mai 2020, le Luxembourg et la Belgique avaient signé un accord amiable précisant le traitement fiscal des travailleurs frontaliers dans le cadre de la lutte contre la propagation de la COVID-19. Cet accord, prorogé à deux reprises, prévoit que les jours pendant lesquels les travailleurs frontaliers sont amenés à travailler depuis leur domicile en raison des mesures prises pour combattre la pandémie de COVID-19, ne soient pas pris en compte comme jours prestés dans l’État de résidence du frontalier. Afin de continuer à contenir la propagation du virus et d’assurer la sécurité des citoyens, les deux ministres ont décidé de prolonger cet accord amiable jusqu’au 31 mars 2021.

Pierre Gramegna commente : “Ensemble, avec mon homologue belge Vincent Van Peteghem, nous sommes convenus de proroger l’accord en matière de la fiscalité des frontaliers pendant la crise sanitaire jusqu’au 31 mars 2021, par analogie avec la solution trouvée avec la France. C’est une excellente nouvelle, qui donne aux dizaines de milliers de frontaliers belges et à leurs employeurs une sécurité juridique maximale et une plus grande prévisibilité pour l’organisation de leur emploi du temps.”

Luxembourg : premiers flocons, pneus neige obligatoires !

Certains l’attendaient avec impatience, d’autres la redoutaient, vous l’aurez remarquée en ouvrant vos volets ce matin, la neige a fait une timide apparition dans certaines parties de notre province et au Grand-Duché du Luxembourg. Attention si vous prenez la route vers ce dernier, l’usage de pneus neige y est obligatoire ! 

C’était ce matin, les paysages se drapaient d’un premier (léger) manteau blanc. En effet, quelques précipitations hivernales ont fait leur apparition sur notre province et sur le Grand-Duché du Luxembourg. De quoi rendre nos routes glissantes mais aussi quelques peu angoissante pour quelques usagers.

Quoi qu’il en soit, pendant ces épisodes hivernaux, une conduite adaptée doit rythmer chacun de nos déplacements : conduite douce, vitesse adaptée, anticipation, distance de sécurité avec les autres véhicules augmentée, bref, des conseils avisés pour éviter un maximum de se retrouver dans le décor !

Le premier conseil qu’on pourrait donner est évidemment d’équiper son véhicule de pneus neige, cela va de soi !

Au Luxembourg, pneus neige obligatoires

C’est d’ailleurs un conseil qui est devenu la règle au Grand-Duché du Luxembourg ! Car en cas de neige sur le territoire grand-ducal tout conducteur doit avoir équipé sa voiture de pneus hiver ! Suivant le Code de la route, les véhicules de la classe M1 conduits sur la voie publique au Luxembourg doivent être équipés avec des pneus d’hiver (M + S, M. S., M & S) montés sur toutes les roues du véhicule dans des conditions hivernales, c’est-à-dire en cas de verglas, de neige tassée, de neige fondante ou de plaques de glace ou de givre. 

L’obligation de pneus d’hiver n’est donc pas applicable pendant une période déterminée de l’année, mais dépend des conditions météorologiques.

Cette disposition est applicable à tous les conducteurs au Grand-Duché, indépendamment du pays d’immatriculation du véhicule, donc aussi aux frontaliers et à ceux en transit.

Et attention à l’amende ! En cas de non-respect de cette obligation, un avertissement taxé à hauteur de 74 euros sera établi et le véhicule sera immobilisé sur place.

Vous voilà donc avertis.
Prudence et bonne route !

Neuvillers : une personne perd la vie après un choc frontal avec un autre véhicule

Un nouvel accident mortel a eu lieu ce matin sur la N40, entre le village de Lamouline et le rond point de Neuvillers à proximité de Libramont. 

La route à nouveau mortelle ce matin à quelques encablures de Libramont, sur la N40 précisément.

L’accident impliquant deux véhicules serait dû, vraisemblablement, à un choc frontal.

Malheureusement, les secours arrivés sur les lieux n’ont pu que constater le décès d’un des deux conducteurs. Il s’agirait d’un homme né en 1992.

Un expert est attendu sur les lieux.
Par respect pour la famille, les amis et les proches, nous ne divulguerons pas plus d’informations sur l’identité de la victime.

Mussy : kiné mais aussi rappeur, Keno sort son deuxième album et un nouveau clip (+vidéo)

Histoire singulière pour ce garçon assez timide de nature. Et pourtant !
Nous prenons la direction de Mussy-la-ville (Musson) où nous rencontrons Kévin Petit alias Keno. Kiné dans la vie professionnelle, Kévin Petit s’est lancé dans le rap il y a un peu plus de deux ans. Après son premier projet “L’ombre d’un doute”, il signe ici son deuxième album intitulé “Lumière”, accompagné d’un deuxième clip en ligne depuis ce mercredi ! 

Il y a tout juste un an, presque jour pour jour, Kevin Petit (Keno) lançait sur les plateformes en ligne son premier album rap, aux ambiances old school. Un pas qu’il franchit sans grande prétention nous avouera-t-il ! “L’ombre d’un doute” est malgré tout un réel succès alors que sa passion est, à l’époque, encore bien secrète. C’est d’ailleurs en partageant un premier morceau sur les réseaux sociaux, “Microthérapie”, que le jeune mussipolitain s’aperçoit que sa musique plait autour de lui et découvre qu’il peut ainsi se dévoiler grâce au rap lui qui est plutôt d’une nature assez discrète. Un titre au nom évocateur donc !

C’est dans la foulée de ce premier album qu’il publiera un premier clip qui met en scène le morceau “Jeune, Coupable et Libre”. Entouré de ses potes, ce clip rencontrera un beau succès !

Un deuxième album plus éclectique

Il y a quelques jours, c’est avec un deuxième projet que Keno revient au devant de la scène. Un second album intitulé “Lumière”, un nom en opposition au premier opus. C’est un projet bien différent que nous dévoile le jeune rappeur de 26 ans, beaucoup plus accessible au grand public grâce à la diversité des sonorités et des mélodies. “J’ai essayé d’apporter plus de musicalité dans mes morceaux et surtout, j’ai voulu me faire plaisir en essayant tout un tas d’ambiances différentes”, nous confie alors Keno. “Le but ? Voir ce qui marche ou marche moins bien et ce avec quoi je suis à l’aise (ou pas). C’est pour cela que l’album est si éclectique”, poursuit-il.

Et il est vrai que cet album balaie tout un tas de style de mélodies et de sonorités différentes avec, quelques fois, de belles références sur la région qu’il habite depuis sa naissance et vivant maintenant à Ruette (Virton). 14 morceaux, tantôt au style plus pop, tantôt plus trap, ce second opus n’en reste pas moins un album de rap : “le rap pur reste un plaisir et c’est comme ça que j’ai fait mes armes. C’est ainsi qu’on retrouve des morceaux de pur rap comme “Microthérapie (Partie 4)” ou encore “100%”, nous explique Keno. “Cependant, le rap se diversifie tellement ces dernières années que je trouvais dommage de ne me contenter «que» de ça. J’ai donc expérimenté au maximum.”

Un nouveau clip qui promet de faire des “Etincelles” !

Tout comme pour son premier album il y a un an, Keno a voulu marquer “Lumières” avec un second clip vidéo ! Ainsi, depuis ce mercredi 02 décembre, le morceau “Etincelle” est sublimé d’un clip, aux images aussi colorées qu’ensoleillées : “oui en effet, j’ai tourné la majorité de ce clip à Nice et ses alentours, lors de mes vacances d’été. J’ai lié l’utile et l’agréable…”, nous glisse-t-il avec le sourire !

“Ce morceau est dans le top 3 de mes sons, ça me tenait à cœur de le mettre en images. D’autres clips suivront et, de nouveau, je compte me faire plaisir sur la réalisation.” Des clips avec lesquels le jeune rappeur espère apporter un réel plus à ses différents morceaux.

Et quand évoque avec lui le futur : “je compte faire une réédition de cet album et, si possible, collaborer avec différents artistes pour élargir mon horizon musical.”

Nul doute que la carrière de ce jeune artiste Gaumais ne fait que commencer, à l’instar de celle de footballeur que Kevin avait mise de côté quelques mois durant avant un retour gagnant chez les Cassîdjes d’Ethe !

L’album est disponible sur toutes les plateformes, ainsi que sur Youtube, via ce lien : https://keno.fanlink.to/lumiere

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Vivalia : baisse du nombre d’hospitalisations, les hôpitaux repassent en phase 2A

Petite éclaircie dans les grisaille ! Par voie de communiqué, l’intercommunale nous informe que l’ensemble des hôpitaux généraux de Vivalia vont repasser en phase 2.A du Surge Capacity Covid-19. La diminution du nombre des personnes contaminées se poursuit donc. 

Prenons cela comme une bonne nouvelle et un signe positif provenant de l’intercommunale des soins de santé Vivalia ! L’ensemble des hôpitaux vont repasser en phase 2.A, un niveau plus bas qu’actuellement puisque depuis le 29 octobre, ceux-ci étaient en phase 2.B, la phase maximale.

Alors que les hôpitaux ont connu un pic vertigineux d’admissions lors de ces dernières semaines, la tendance est maintenant à la baisse même si les chiffres sont encore importants.

Ainsi, au vu de la diminution du nombre de personnes contaminées, Vivalia a décidé de repasser en phase 2.A :

Voici le communiqué :

Vu la diminution constante du nombre de patients COVID hospitalisés dans ses différents sites, le Comité de direction élargi de Vivalia a décidé ce mercredi 2 décembre que l’ensemble des hôpitaux généraux de Vivalia vont repasser en phase 2.A du Surge Capacity Covid-19.

De jour en jour, les chiffres traduisent et surtout, confirment la diminution constante du nombre de personnes contaminées au COVID dans les hôpitaux de Vivalia.

Ainsi, ce mercredi 2 décembre, on compte :

  • 20 patients en soins intensifs COVID soit une diminution d’un tiers en une semaine
  • 68 patients en unités COVID classique soit 25% de moins qu’il y a une semaine

Pour rappel, les pics rencontrés au sein de Vivalia ont été de :

  • 43 lits occupés en soins intensifs COVID le 7 novembre dernier ;
  • 174 lits occupés en unités COVID classique le 3 novembre.

En passant de la phase 2.B à la phase 2.A, Vivalia adapte sa capacité d’accueil et de gestion des cas COVID aux besoins. Concrètement, nous réduisons de 40% le nombre de lits réservés aux hospitalisations COVID dans les unités intensives (de 42 à 25 lits).

En cas de résurgence, ces lits doivent être ré-activables dans les 48h, pendant encore 2 semaines.

La phase 2.A réservera donc, pour Vivalia :

  • En lits de soins intensifs :

– 15 à Marche/Bastogne dont 9 lits Covid ;
– 10 à Libramont dont 6 Covid ;
– 16 à Arlon/Virton dont 10 Covid ;

  • 100 lits d’hospitalisation classique

Pour les citoyens, ce retour à la phase 2.A à la fin de cette semaine voire en début de semaine prochaine, en fonction des sites, signifie un redémarrage progressif de l’activité opératoire non-urgente et qui n’utilise pas les soins intensifs précise le Comité Hospital & Transport Surge Capacity. Cette augmentation de l’activité opératoire se fera en fonction des disponibilités au niveau du personnel et de la situation dans chaque hôpital de Vivalia. Les hospitalisations classiques et hospitalisation de jour reprennent progressivement également.

Si la décrue est manifeste, elle ne signifie pas pour autant que le virus a disparu ! Il est donc primordial de continuer de respecter les mesures de sécurité afin de vous protéger.

Nous devons toutes et tous rester prudent à l’heure où le relâchement ne peut être que progressif et mesuré.

C’est ensemble que nous en sortirons.

 

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