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vendredi, juin 20, 2025
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Le wallonie food truck festival revient à Arlon !

Amateur de découvertes culinaires ?

La troisième édition du Wallonie Food Truck Festival est de retour à Arlon du 7 au 9 septembre.

Cette année, une petite quinzaine de Foodtruck seront à nouveau présents sur la place Shalbert à Arlon. Du salé, du sucré il y en aura pour tous les goûts !
Des foodtrucker aux multiples saveurs, passionnés du produit frais de qualité seront là pour vous servir et réjouirent vos papilles. Ces artisans, vous proposeront des découvertes de plats à faire saliver les plus gourmands.

Fabrice Willot, président de la Belgian Food Truck Association, nous annonce des nouveautés pour cette année telles que le camion allemand « Porchetta » qui a déjà remporté plusieurs prix, un camion de « Bubble waffle » ces fameuses gaufres cuites en forme de sphères, roulées et décorées de divers toppings, et bien d’autres encore que nous vous invitons à venir découvrir lors de ce week-end.

De plus, Monsieur Willot, tient à remercier la ville d’Arlon qui met tout en œuvre pour accueillir au mieux ce festival et nous annonce déjà un renouveau du food truck festival pour l’année prochaine.

Cet événement grand public vous permettra également de partager un agréable moment que ce soit entre amis, collègues ou en famille, le tout dans une ambiance conviviale et musical.

Il ne vous reste donc qu’une chose à faire, être au rendez-vous et vous laissez tenter par des découvertes gourmandes et exotiques.

Horaires :
– Vendredi et samedi de 12h00 à 23h00
– Dimanche de 12h00 à 20h30

https://www.facebook.com/events/187625668622653/

Le temps d’un week-end, voyagez au temps de l’époque Gallo-Romaine à Arlon

Ce 1 et 2 septembre aura lieu la sixième édition du week-end gallo-romain, veni vidi orolaunum, à Arlon.

Le temps d’un week-end, voyagez au temps de l’époque Gallo-Romaine à Arlon.

Samedi et dimanche de 10h à 18h30, vous retrouverez et découvrirez la vie de nos ancêtres à travers des camps de reconstitution romains et celtes ainsi que diverses animations comme tu tir à l’arc, des ateliers et des animations.

Cette année, des nouveautés seront au rendez-vous tels que la reconstitution d’une unité d’infanterie lourde de l’armée romaine tardive avec bouclier, casques, armes de jet, arbalète avec Herculiani Luniores, la réalisation en direct d’une sculpture de pierre par Marc Winter, ainsi que la présence des Scouts d’Arlon et de la Ferme des Explorateurs. (Heures)

L’événement est organisé par le Royal Office du Tourisme d’Arlon, en collaboration avec la Ville d’Arlon et le Musée Archéologique qui sera quant à lui ouvert le samedi de 9h à 17h30 et le dimanche de 10h30 à 17h30.

Ils ont pour objectif de mettre à l’honneur le riche patrimoine gallo-romain Arlonais. Car rappelons que le chef-lieu de la province est, est l’une des plus vieilles villes de Belgique avec déjà plus de 2 mille ans d’histoire.

Pour plus d’informations: https://www.facebook.com/events/2106088132983970/

 

Châtillon sera en fête : du 31 août au 2 septembre

Le week-end de la fête à Châtillon, c’est du 31 août au 2 septembre. 

Les festivités débuteront le vendredi à partir 20h00 avec la venue de l’humoriste Richard Ruben qui vous dévoilera son spectacle.

Avec la création de dix one man shows différents et plus de 2500 représentations a son actif, ce performer à l’humour ironique et cinglant vous garantit une soirée pleine de rires.

La continuité de cette soirée se poursuivra avec un bal génération 80/90/2000 de 23h00 à 03h00.

Le samedi 1er septembre, le groupe « With U2 night » qui nous vient de France sera au rendez-vous !

Du premier album au dernier opus, vous vivrez le temps d’un concert, le son et l’émotion U2 lors de ce show. Plus qu’un hommage, c’est une véritable célébration musicale que les 4 musiciens partageront avec vous. La soirée se poursuivra par la suite avec le bal de rentrée de 23h00 à 04h00.

Et pour terminer, le dimanche 2 septembre, le repas du village se tiendra dès midi.
Au menu, apéritif – boulettes frites – café/dessert suivie d’une animation blind test à partir de 16h00 et d’une kermesse pour amuser les plus jeunes.

Un week-end bien mouvementé organisé par « L’Entente Villageoise Cdj Chatillion ».

INFOS PRATIQUES :


Vendredi 31 Août
Spectacle de Richard Ruben 21h-22h30
– 5€ sur prévente / 7€ sur place et comprend l’accès à la soirée.
Soirée 80/90/2000 animé par la sono Breakout 22h30-03h00
– Entrée 5€

Samedi 1er Septembre
Concert de Withu2night 21h-23h00
– Prévente 10€, sur place 14€ dont 1 ticket boisson, entrée comprise pour le Bal.
BAL de la rentrée avec la sono Breakout 23h00
– Entrée 5€

La sécurité sera assurée tout au long du week-end par l’équipe de Vigicore.

Pour plus d’informations :
https://www.facebook.com/events/2091118001107024/

Lottert : Antoine, 17 ans, est débardeur en forêt

À seulement 17 ans, Antoine, de Lottert, est passionné des chevaux de trait. Amoureux de la forêt, il débarde dès qu’il le peut. Un métier de plus en plus rare… Mais la relève semble assurée !

Si la Wallonie comptait encore environ 90 débardeurs au cheval il y a une dizaine d’années, ils ne sont désormais plus qu’une trentaine à exercer ce métier à titre principal, selon des chiffres datant de 2016-2017. Heureusement, certains jeunes comme Antoine seront encore là demain pour assurer ce savoir-faire.

« Hue ! Ho ! Haar ! », lance Antoine à son cheval Walter au beau milieu d’une forêt dans la région de Bertrix. Ce n’est pas du néerlandais, mais bien du wallon avec lequel il s’adresse à Walter, son cheval de trait. « Pour avancer, je vais lui dire son prénom suivi de Hue. Pour l’arrêter, je lui dis Ho. Pour aller à gauche, j’utilise le cordon et tire légèrement dessus et en disant haar. Ainsi, il m’obéit au doigt et à l’œil. C’est une question de sécurité ! Si on a le doigt dans la chaîne au moment où l’on attache un tronc et qu’il avance, on se coupe le doigt aussi sec !  »

Emblème mythique du patrimoine ardennais, le cheval de trait impressionne tant par sa carrure que par sa force et sa beauté. C’est une des raisons pour laquelle Antoine admire cet animal majestueux. « Ce sont de superbes bêtes, très impressionnantes, mais elles sont avant tout courageuses  », témoigne le jeune homme originaire de Lottert. À seulement 17 ans, il possède déjà un beau cheptel de deux juments et trois poulains.

«  Tout a commencé quand j’avais 12 ans. J’allais voir des concours avec des amis plus âgés et ça m’a tout de suite plu. À 12 ans, j’avais déjà mon premier cheval  ».

Au fil du temps, sa passion pour le débardage se fait de plus en plus forte. Il suit ensuite une formation de deux jours dans les bois, organisée par le Comité européen des chevaux de travail (CECT) pour se perfectionner.

«  Maintenant, je vais autant que je peux dans les bois pour m’entraîner. Mais c’est un métier qui s’apprend sur dix ans et là, ça ne fait que cinq ans que je pratique  ».

Progressivement remplacée par les tracteurs, cette profession de débardeur à cheval, autrefois très répandue, subsiste malgré tout, car le cheval réussit à passer là où le tracteur échoue, raconte Antoine. «  Un jour, un monsieur du village avait une parcelle de bouleaux avec un talus. Il ne savait pas y accéder en tracteur. J’y suis donc allé avec mon cheval de trait. C’est un des atouts du cheval, il passe partout. En plus, on n’écrase pas les jeunes pousses. La forêt ne sera donc pas abîmée et on évite de faire d’énormes ornières qui pourraient tasser le sol  ». De plus, dans certains lieux, comme les zones Natura 2000, l’utilisation du tracteur est proscrite. Dès lors, le cheval de trait, plus écologique, s’avère être la seule solution. Malheureusement, ce métier reste tout de même en voie de disparition, selon Antoine. La faute à la rentabilité. « Je ne connais pas beaucoup de personnes qui font du débardage, surtout à mon âge ! C’est devenu un métier très dur. Bien qu’on puisse en vivre, le nombre de débardeurs a chuté. On vit désormais dans un monde où il faut que tout aille vite, où il faut que l’argent rentre. Les gens préfèrent la vitesse et l’argent que de protéger la nature…  », glisse-t-il.

Il se lance aussi dans l’élevage

Antoine, lui, entend bien mettre ces chevaux sur un piédestal, car pour lui, il n’y a pas plus belle bête. «  Le cheval avec lequel je travialle est un cheval polyvalent avec lequel on peut tout faire avec. J’ai pris la race du coin et franchement, j’adore! Je ne changerais pas  ». Chaque année à la foire de Libramont, Antoine effectue des démonstrations devant un public conquis. Cet étudiant, toujours en cinquième générale, passe également son temps libre à pérenniser l’espèce en faisant de l’élevage. Un poulain a d’ailleurs vu le jour dans sa prairie, il y a seulement trois semaines. Cette déclinaison de sa passion lui demande aussi énormément de temps en dehors de l’école. «  Quand il y a du poulinage, il faut se lever toutes les heures pour aller voir comme se porte la jument. Il arrive que je sois, du coup, très fatigué à l’école  ».

D’ici peu, cet amoureux de sa région et de la nature compte changer d’école parce qu’il ne s’y plaît pas. «  J’ai trouvé une école qui correspond à mes besoins, l’école de Carlsbourg, l’institut Saint Joseph, où je suivrai une formation d’agent technique nature et forêt  ». Ainsi, il espère rester en contact avec la forêt et faire de sa passion son métier, en devenant garde-chasse et débardeur sur le côté. Le croiserons-nous à dos de cheval dans les bois de nos régions? On peut l’imaginer. En tous cas, pour Antoine, la forêt, «  c’est là où je passe mes meilleurs moments, au calme  ».

Oberpallen : La cryolipolyse pour maigrir avant l’été (+vidéo)

Cette méthode d’amincissement par le froid permet de brûler 30 pourcent des cellules graisseuses sur une zone localisée en 2 ou 3 séances. Nous avons assisté à une de ces séances pour vous.

Vous souhaitez éliminer quelques poignets d’amours avant les vacances afin  de vous transformer en la plus belle étoile de mer des plages. L’institut Intemporel, un salon esthétique située à Oberpallen concrétise votre souhait !

A Oberpallen dans salon d’esthétisme, à l’institut Intemporel, on propose des séances pour cette méthode d’amincissement depuis 3 ans déjà. C’est la gérante, Pascale Gobert , qui en a eu l’idée après avoir vue une émission sur ce sujet à la télévision. « Les chercheurs ont découvert par hasard que les cellules graisseuses sont les seules à être fragile au froid. Ils ont constaté que les personnes obèses qui mangeaient beaucoup de glaces avaient les joues creusées à cause du froid. » Cette technique est rendue possible grâce à une machine de haute technologie et au coût relativement élevé, entre 10.000 et 20.000  euros. Munie d’une ventouse qu’on appliquera sur la zone à traiter, la machine absorbera l’ama graisseux et fera chuter la température de la zone entre moins sept et moins dix degrés. « Il faut entre 6 et 8 semaines pour voir apparaître les résultats, après une séance d’une heure », confie Pascale. « Mais il faut comprendre qu’il faut deux à trois séances pour que ça agisse totalement. » De plus, selon une des esthéticiennes, il faut minimum 3 centimètres de graisses pour pouvoir utiliser la ventouse correctement.

Les zones à traiter varieront entre les cuisses, le ventre, les bras, les hanches, la culotte de cheval et les genoux. Pour la cliente présent ce jour-là pour une séance sur le bas ventre, « l’opération n’est pas douloureuse, mais je sens que c’est froid ». Heureusement après quelques minutes, cette sensation s’est totalement dissipée car le froid a provoqué un endormissement de cette même zone.

Une technique non sans risques.

Au départ réservée pour les chirurgiens esthétiques, cette méthode s’est démocratisée pour le secteur de l’esthétisme car elle n’impliquait pas d’acte chirurgicale. Pascale a donc été la première a munir ses salons d’esthétique au Luxembourg du brûleur de graisse. «  Il faut quand même faire attention. Il faut suivre une formation pour manipuler la machine car il y a déjà eu ailleurs des catastrophes où des gens ont été brûlés par le froid ! » Une membrane mal ajustée peut en effet provoquer des brûlures par le froid nous explique-t-elle. Et avant de se lancer dans l’aventure, chaque client doit au préalable remplir une fiche médicale, nous assure Pascale. «  Par exemple, on a déjà eu une personne qui était allergique au froid, nous n’avons donc pas pu faire la séance. » Enfin, bien qu’essentiellement pratiqué par la gente féminine, certains hommes pratique aussi la cryolipolyse nous témoigne Pascale. « Ils sont beaucoup moins nombreux, mais il y en a ! » Car oui, les hommes aiment également enfiler leur plus beau maillot de bain afin de se prélasser sur le bord des plages à la recherche d’une séduisante étoile de mer célibataire.

Virton : My Chill factory remporte le concours belge 2018 des Minis-Entreprises

La mini entreprise virtonnaise My Chill factory remporte le concours belge 2018 des Minis-Entreprises.

Suite à leur victoire à Bruxelles, les 19 élèves de l’école Collège Notre Dame du Bonlieu à Virton iront représenter la jeunesse entrepreneuriale francophone à Belgrade du 16 au 19 juillet pour le concours européen des Minis-Entreprises.

La Mini-entreprise de Virton l’a fait. Parmi 107 jeunes entreprises, elle s’est démarquée du lot. Mercredi avait lieu la finale francophone belge du concours des Mini-Entreprises à Bruxelles. Ce concours a pour but d’encourager l’esprit d’entreprendre chez les jeunes. 16 équipes étaient en lisse pour la dernière ligne droite. C’est finalement « My Chill Factory » qui a remporté le concours après s’être défendu devant un jury provenant de grandes entreprises, comme FedEx, BNP, la Loterie Nationale ou encore l’UCM.  Avec leur kit de détente composé d’une bouillotte chauffante, d’un thé et de son infuseur ainsi qu’une bougie et du savon, l’entreprise a réussi à séduire l’ensemble du jury.

Ils remportent ainsi la coquette somme de 1000 euros pour récompenser cette belle performance. Depuis la création Ils ont réussit à vendre 256 packs, 496 pulls et augmenter leur action initiale de 361%, passant de 7 euros à 32,33 euros.  Pour Lucie Clotuche, qui fêtait en même temps ces 18 ans ce jours-là, les larmes ont coulé double( ou que pouvait-elle espérer comme meilleur cadeau)…

«  On est étonné, surpris, on ne s’y attendait pas. Les autres minis-entreprises étaient vraiment douées, mais ce n’est que de la joie et du bonheur ! »

Neufchâteau : à 26 ans, Julien brasse la bière Le Vaurien

À 26 ans, diplômé en ingénieur industriel brassicole, Julien brasse chaque semaine dix hectolitres de Vaurien dans une ancienne grange du château de Grandvoir. Élaboré dans une Brasserie toute neuve et un lieu riche d’histoire, le Vaurien qui tire son nom des habitants de Grandvoir et Petitvoir, se positionne comme une bière blonde de haute fermentation avec un degré d’alcool avoisinant les 5,7 degrés.

« Cette bière me plaît beaucoup, car c’est une alternative aux pils industrielles sans en être vraiment une. C’est une bière qu‘on peut boire facilement en grande quantité, toujours avec modération et destinée au troisième mi-temps, aux évènements en plein air et aux grands-feu », raconte Julien le jeune brasseur. Conçue et adaptée à la région, la bière est produite à partir du malte d’orge et de blé.  « Filtrée, elle se veut essentiellement désaltérante », témoigne le disciple de Bacchus. Originaire de Messancy, ce jeune brasseur est passionné par le houblon et ses arômes depuis ses études à l’institut Meurice à Anderlecht, une des dernières écoles de Belgique à encore former des ingénieurs brasseurs.

« Moi c’était vraiment une passion qui a débuté par la dégustation et qui s’est ensuite transformée en amour pour la fabrication de bière. Pendant mes études, j’en dégustais beaucoup, pas simplement en allant au café, mais en discutant avec le monde brassicole.  De fil en aiguille, cet univers m’a peu à peu enivré et plongé dans le monde dans lequel je suis maintenant.  Avec une tête de cerf comme insigne inscrite sur la bouteille et comme emblème du château, le Vaurien se brasse dans des installations flambantes neuves de nouvelle génération où un investissement avoisinant les 700 000 euros a été injecté par la famille Dewitt et ses associés. « Tout est automatisé, ce qui permet de garder un contrôle précis sur la fabrication du Vaurien. » Aujourd’hui, après deux ans de productions, le Vaurien s’exporte même à l’étranger bien que la majorité de sa production soit destinée au local. « Le gros de la production est destiné à la région au pays et particulièrement à Namur, Liège et Bruxelles, mais depuis peu L’Italie est venue rejoindre notre part de marché. »

En 2012, la famille Dewitt et  Christophe Urvoy-Isaac jettent leur dévolu sur ce château pour en faire un hôtel et un restaurant. La brasserie devait être l’aboutissement. « À la base, mon associé et moi sommes de gros consommateurs de bière », explique Christophe.

« Comme le château respirait l’eau dans tous les sens. On s’est dit que créer de la bière ici serait la phase ultime du projet. Ça s’y prêtait plus que bien avec les sources, le charme et l’histoire des lieux. »

Après avoir réfléchi sur le projet, ces derniers ont remarqué qu’il existait très peu de bières légères, désaltérantes et faciles à boire dans la région. « Quand on est arrivé dans la région, on a vu que le gros de la consommation se passait dans un contexte événementiel. Du coup, on a créé un produit adapté à ce besoin”.  Avant de quitter les lieux, il est impératif de goûter ledit breuvage au château, comme le suggère le proverbe (ou slogan)«  un Vaurien se Cerf au château ».

Marche : Frédéric, maître-chien drogue à la Fédérale (Vidéos)

Cinq minutes. C’est le temps qu’il a fallu lors de l’entraînement d’Indi, un berger malinois de 8 ans, pour trouver cinq pochettes de drogue cachées pour l’occasion dans l’atelier des pompiers de la caserne de Marche.

À l’aide d’une pince, Frédéric place une par une les différentes pochettes de drogue conservées à l’abri dans une petite mallette en aluminium. D’ici dix minutes, une fois l’odeur imprégnée dans les caches respectives, Indi entrera en action pour débusquer les stupéfiants.

Retour sur les portes ouvertes des pompiers d’Arlon (Vidéos)

Quelques milliers de personnes étaient présentes ce dimanche 10 septembre aux portes ouvertes de la caserne des sapeurs-pompiers d’Arlon. Au programme de la journée, petits et grands ont pu observer une intervention sur une voiture en feu, la désincarcération d’une personne dans une voiture accidentée mais aussi l’intervention des chiens policiers sur un individu dangereux, pour ne citer que quelques activités…

Composée de 55 pompiers professionnels et 6 pompiers volontaires, la caserne d’Arlon n’avait plus organisé ce genre d’événement depuis 9 ans. Heureusement, après plusieurs jours de pluie, un soleil timide était bien présent, ce qui a attiré la foule selon Patrick Diels, chef adjoint du poste d’Arlon. «  On ne s’attendait pas à autant de monde. Tout dépendait du temps ! Pour les enfants, voir les échelles, le feu, etc. c’est toujours très ludique tandis que pour les plus grands, il y a une partie un peu plus didactique. En tout cas, je suis très fier d’être là aujourd’hui et je suis très fier de mon équipe qui prépare cet événement depuis 2 mois. »

Les enfants, présents en nombre, ont pu monter dans les camions de pompiers et se mettre l’espace de quelques instants dans la peau de leurs héros.

Un peu plus loin, un énorme château gonflable en forme de caserne de pompier attirait également les plus jeunes d’entre-eux, de quoi faire rêver peut-être de futurs pompiers ?

Quant aux parents, ils n’étaient pas en reste. Certains d’entre eux se prêtaient au jeu en enfilant des combinaisons anti-feu. L’un ou l’autre se voyait demander d’éteindre une friteuse en feu alors que d’autres grimpaient sur la nacelle des camions de pompier à plusieurs dizaines de mètres de hauteur.

 

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