La Maison Steffen, qui célèbre cette année son trentième anniversaire, a durement été impactée par la crise sanitaire, avec une activité événementielle quasiment à l’arrêt. L’entreprise a mis en place un système de livraison à domicile pour se réinventer.
La Maison Steffen, l’incontournable boucherie-charcuterie au Luxembourg, fête cette année son 30e anniversaire. Un anniversaire au goût amer puisque la crise sanitaire a perturbé profondément les activités du groupe. Mais Frank Steffen, le fondateur, et toute son équipe, se sont retroussés les manches pour sortir de cette impasse en mettant sur pied un service de livraison à domicile.
Ainsi, Steffen propose aujourd’hui la livraison à domicile de rôtis, viandes fraîches, fondue, pierrade, charcuteries et salaisons, salades d’accompagnement, plats cuisinés individuels à réchauffer, plats préparés et une sélection de vins, pour vous régaler. Et jusqu’au 16 décembre, la boucherie vous offre-10% dès 250€ d’achat pour toute commande passée par téléphone ou par e-mail sur base de la brochure livraison.
Pour rappel, la Maison Steffen a été fondée à Steinfort en 1989 par Frank Steffen, Maître Boucher de formation. Son ambition : satisfaire vos envies gastronomiques et vous faire plaisir avec des produits locaux, sains, savoureux et de qualité irréprochable. Aujourd’hui, le groupe dispose de 5 points de vente au Luxembourg, un service traiteur ou encore 2 restaurants, la Table de Frank à Steinfort et “Le Quai Steffen », en plein cœur de la gare de Luxembourg.
À quelques jours de Saint-Nicolas, les initiatives originales fleurissent pour maintenir une animation autour du Patron des Écoliers malgré la crise sanitaire. C’est notamment le cas à l’Espace Shopping Hydrion, qui a mis en place une activité semi-virtuelle pour faire plaisir et récompenser nos chères têtes blondes.
Tous les petits enfants sages attendent le passage du grand Saint-Nicolas de pied ferme. Malheureusement, cette année, un invité indésirable joue les trouble-fêtes. Face à ce constat, les initiatives se multiplient pour maintenir une animation dans le respect des gestes barrières. Dans ce contexte, le concept imaginé par le parc commercial de l’Hydrion vaut le détour et devrait ravir de nombreuses familles arlonaises.
Dans la plus grande discrétion, et à l’abri des regards indiscrets, Saint-Nicolas a installé une boite aux lettres géante en plein cœur du parc de l’Hydrion ! Une boite qui permet aux enfants d’écrire directement au Grand Saint. Jusqu’au 5 décembre, les plus petits sont en effet invités, avec l’aide de leurs parents, à écrire une belle lettre à Saint-Nicolas et à la déposer dans la boite lors de leur passage à l’Hydrion.
Une rencontre virtuelle et des enfants gâtés
Là où le concept prend une tournure originale, c’est que Saint-Nicolas découvrira et lira les lettres des enfants lors d’une vidéo en direct le dimanche 06 décembre à 16h sur la page Facebook de l’Hydrion. L’occasion pour les enfants d’avoir des étoiles plein les yeux en découvrant Saint-Nicolas en train de lire leurs jolis courriers.
Mais ce n’est pas tout : lors de cette rencontre virtuelle, Saint-Nicolas sélectionnera 50 courriers au hasard. Ces 50 lettres permettront aux enfants qui les ont écrites de recevoir une belle surprise directement à la maison. Pour ce faire, il est important que les participants indiquent bien leur nom, prénom et adresse postale sur la lettre en cas de sélection.
« Nous tenions absolument à inviter Saint-Nicolas à l’Hydrion » indiquent les responsables de l’Hydrion. « Alors lorsque le Grand Saint nous a proposé d’installer sa propre boite aux lettres dans le parc et de lire en direct les lettres des enfants pour leur apporter un peu de bonheur en cette période compliquée, nous avons tout de suite accepté ».
« Avec cet événement semi-virtuel, nous pouvons tout de même célébrer une fête importante aux yeux des Belges, tout en respectant les gestes barrières. C’est un honneur de recevoir le Patron des Écoliers et nous imaginons déjà la tête illuminée des enfants lorsque Saint-Nicolas parlera d’eux en direct ! Nous avons essayé de savoir quelle était la surprise qui sera envoyée à la maison, mais motus et bouche cousue du côté de Saint-Nicolas. La surprise sera totale ! » conclut les responsables du parc commercial.
Dans le cadre de “En piste les artistes !”, le projet culturel de mise en avant d’artistes habitant la commune de Libramont, nous sommes partis à la rencontre de Charles Lafleur, un artiste hors du commun. Si d’autres utilisent et intègrent différentes matières, différents objets ou couleurs, Charles place les insectes au cœur de ses créations, un vrai travail de fourmi !
Autant vous dire que l’art que pratique Charles Lafleur sort complètement de l’ordinaire tant ses créations sont décalées ; le jeune libramontois créé des tableaux colorés en y incrustant toutes sortes d’insectes : du papillon en passant par le scarabée, du phasme, des coléoptères sans oublier les mygales (ndlr : arachnide et non insecte), ceux-ci sont encadrés et prennent place au milieu d’une œuvre d’art qui les sublime ; des créations “pas piquées des hannetons”, oserons-nous dire !
Paradoxalement, nul en dessin !
Jeune Libramontois de 22 ans, Charles Lafleur a d’abord passé quelques temps au Portugal. Paradoxalement, en maternelle le jeune Charles est loin d’être doué en dessin, le poussant même jusque chez un spécialiste. Il continue malgré tout à affiner ses traits et n’abandonne pas cette discipline qu’il adore et dans laquelle il se perfectionnera plus tard : “un jour, alors que j’étais loin d’être bon en dessin à l’école, j’en ai fait un sur le thème de Pâques. Il plaisait tellement à mon institutrice qu’elle l’a photocopié et distribué dans toute l’école”, nous explique Charles, “ce qui m’a donné un sérieux coup de boost !”
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Par la suite, après quelques concours notamment, Charles s’inscrit aux Beaux-Arts à Namur, à l’âge de 12 ans faisant les trajets tous les mercredis. Rêvant de pouvoir montrer ses différentes compostions créées depuis ses douze ans, il va frapper à la porte de quelques galeries d’art. Et cela a fait mouche ! Charles aura la chance d’exposer son travail à la “Couck Art Gallery” à Bruxelles notamment où le public peut découvrir son monde. “C’est réellement une chance de pouvoir exposer dans de telles galeries ! “
Un univers graphique autour des insectes
Charles excelle dans l’art et pour lui, c’est surtout une façon d’exprimer les choses. Des sentiments qui ne sont pas toujours évidents à exprimer : “j’aime concrétiser mes idées et les partager concrètement. On pense parfois à des choses et on ne sait pas mettre des mots dessus. Les mettre sur papier permet de les exprimer !”
Si le jeune libramontois créé ces différents tableaux c’est dans le but de mettre en valeur les insectes qu’il trouve. C’est d’ailleurs lors d’une balade à Namur avec sa sœur qu’il trouvera son premier insecte. Le trouvant réellement joli, Charles voulait le conserver, mais pas n’importe comment ! “Je ne voulais pas mettre un simple fond blanc pour le présenter mais plutôt de l’inclure dans un décor peint avec de jolies couleurs qui se marient bien, je créé tout un univers graphique autour de l’insecte choisi. D’ailleurs, les insectes se trouvent souvent au centre de mes œuvres car ils sont symétriques.”
“Je ne suis pas un tueur d’insectes !”
Intégrant parfaitement ces insectes à ses différentes créations, on est en droit de se demander d’où ceux-ci proviennent tant ils sont originaux et diversifiés : les premiers insectes que j’ai achetés c’était lors d’un voyage en Provence en famille dans une serre à papillons. Chaque jour, près de 300 papillons naissent mais fatalement, on en retrouve également 300 au sol, morts durant la journée”, nous explique-t-il. “En les voyant ainsi, je voulais reprendre ces magnifiques spécimens afin d’en faire des tableaux. C’est ainsi que cela a commencé !”
Mais il tient à préciser :“je ne suis pas un tueur d’insecte, sauf quelques mouches et moustiques dérangeant !” dit-il avec le sourire. “Les insectes que je mets en valeur sont des spécimens qu’on trouve morts dans les milieux dans lesquels je vais les chercher mais pas dans leur milieu naturel. Ce sont des espèces élevées notamment dans le cadre de la préservation de leur extinction par des spécialistes.
Des projets dans les cartons
Chaque insecte a son propre cadre et son propre univers graphique. Quand on lui demande d’où provient son inspiration, le jeune artiste nous explique qu’elle découle de tout ce qu’il se trouve autour de lui : “je me nourris de mon univers. Je suis sensible à tout ce que je vois et j’imagine directement graphiquement mes projets. Il m’arrive de les mettre sur papier afin que cela soit concret et pour ne pas les oublier surtout !”
Et des projets, autant dire que Charles n’en manque pas. Ses différents passages dans les galeries ne mettront pas un point final à son œuvre, il nous explique : “mon ambition, après l’exposition de Bruxelles, j’aimerais exposer dans les grandes capitales culturelles, pour la diversité de la culture notamment. J’ai d’autres projets créatifs également comme la création d’une montre, la mise en place d’un dessin animé mais j’ai encore besoin d’une formation.” Nous souhaitons d’ailleurs à Charles de réaliser tous les rêves auxquels il tient, telle la chenille qui évoluera vers un papillon volant de ses propres ailes !
Petite révolution en la matière ! Un changement qui interviendra dès le 1er janvier prochain et qui concerne les jeunes parents essentiellement : les langes ne pourront plus être jetés dans les déchets biodégradables mais dans la partie des déchets résiduels.
Comme on peut désormais le lire sur le site internet de Idélux : tolérance zéro pour le plastique dans les déchets organiques ! À partir du 1er janvier 2021, les langes devront être jetés dans les déchets résiduels. Une décision de modification de tri prise par le Conseil d’administration d’Idélux Environnement.
Aujourd’hui, les langes sont composés… de plastique !
Ces dernières années, la composition des langes (au niveau des absorbants) a malheureusement fortement évolué. Les fabricants ont en effet remplacé la cellulose (matière naturelle biodégradable) par des matières plastiques super absorbantes (non biodégradables). Si auparavant il y avait donc un intérêt à jeter les langes d’enfants dans les déchets organiques, aujourd’hui ce n’est plus du tout le cas, bien au contraire !
Les déchets organiques (restes de repas, épluchures, petits déchets de jardin, essuie-tout, papiers et cartons souillés par de la nourriture…) sont en effet biométhanisés et transformés en compost. Ce compost est ensuite utilisé en agriculture pour enrichir la terre.
Idélux Environnement souhaite que ce compost soit le plus pur possible afin de préserver les sols et notre environnement. Ainsi, le personnel technique d’Idélux travaille quotidiennement pour en améliorer la qualité : en adaptant les techniques de broyage et de tamisage, en surveillant les paramètres du compost (température, humidité…). En fin de process, le compost produit est analysé par un laboratoire indépendant. Pour garantir cette qualité et fournir un compost exempt de plastique, la seule solution 100 % efficace reste un “tri à la source”, c’est-à-dire chez nous, irréprochable !
Au 1er janvier 2021, la consigne de tri des langes d’enfants change
Jeunes parents, grands-parents, personnel de la petite enfance (puéricultrices, accueillantes, institutrices maternelles, infirmières…), ce changement de consigne vous concerne. À partir du 1er janvier 2021, il faudra donc placer les langes dans les déchets résiduels. Ainsi, pour les communes à la collecte en porte-à-porte se fait à l’aide de sacs, il vous sera demandé dorénavant de jeter les langes dans le sac translucide ou conteneur “déchets résiduels”. Pour les communes en duobac, il faudra jeter les langes dans le côté gris du duobac ou conteneur “déchets résiduels”.
Cette décision, prise également par le BEP Environnement et TIBI, aura également pour effet d’uniformiser la consigne du tri des langes dans les déchets résiduels pour tous les ménages wallons.
Les litières biodégradables, les sacs à pain, les essuie-tout, les cartons à pizza… dans les déchets organiques ? Oui, oui, oui !
Si le plastique nuit à la biométhanisation, les déchets biodégradables tels que les litières en copeaux de bois, les sacs à pain en papier, les essuie-tout, les cartons à pizza… sont eux bénéfiques au procédé car ils sont source de carbone. Ils sont donc à jeter dans les déchets organiques. Vous voulez une astuce ? Utilisez vos sacs à pain dans votre poubelle de cuisine pour emballer vos épluchures et vos restes de repas. C’est plus propre, plus facile et en plus, c’est bon pour la biométhanisation.
Ce n’est pas une blague ! Le bar à burger “Frank Burger” de Sainte-Marie-sur-Semois (Etalle) rentre dans le célèbre guide culinaire Gault&Millau, dans la catégorie “Pop” ! Une excellente reconnaissance pour cet établissement amassant les prix d’excellence depuis quelques années.
En août dernier, nous avions déjà pris la direction de Sainte-Marie-sur-Semois, dans la commune d’Etalle, afin de vous parler de ce restaurant, bar à burger. Dans cet article, nous vous parlions que cet établissement venait de recevoir un cinquième certificat d’excellence TripAdvisor, en autant d’années.
C’était sans savoir que, par la suite, un dégustateur incognito se déplacerait jusque dans ce restaurant afin de rendre une note comptant pour le célèbre guide culinaire Gault&Millau ! Certes, une autre catégorie que celle réservée aux restaurants les plus étoilées du monde mais une place au sein du guide culinaire réservée dans la catégorie “Pop”.
Maintenant dans la catégorie “Pop” Gault&Millau
La catégorie “Pop” propose une sélection de restaurants trendy et accessibles où il fait bon profiter ! Une sélection d’adresses accessibles et modernes où l’expérience et le concept occupent une place centrale et où on se délecte de plats sympas dans un cadre original avec, comme principal critère “Gault&Millau”, la qualité !
Quoi qu’il en soit, c’est une énième récompense pour Frank Burger, qui voit en cette présence dans le célèbre guide, une reconnaissance pour le travail de toute son équipe. Mais c’est avant tout une énorme surprise : “peu de temps après le prix reçu de TripAdvisor, j’ai eu la visite secrète d’un inspecteur du célèbre guide gastronomique international Gault & Millau. Ce même guide qui, à son habitude, célèbre les plus grands chefs et cuisines du monde, a pris le temps de s’attabler chez moi”, confie Frank, le patron du restaurant.
“Et c’est ce 23 novembre, que je découvre avec étonnement, fierté et une joie énorme que mon établissement figure dans la liste des lauréats du guide Gault & Millau 2021. En 30 ans de métier dans la restauration je n’aurais jamais osé caresser ce rêve de consécration d’être reconnu dans un guide gastronomique aussi prestigieux”, nous avoue-t-il. Et il est vrai que l’événement à des allures de rêve pour un restaurateur !
Et Frank de conclure : “Comme quoi… Même avec des hamburgers on peut faire son entrée dans le célèbre Gault & Millau !”
A se demander quelle sera la prochaine récompense que glanera cet établissement, mettant un point d’honneur à offrir à sa fidèle clientèle, des produits de qualité ! De bonnes nouvelles dans une période noire pour tout le secteur horeca.
C’est une évidence, personne ne peut échapper à ce fléau qu’est le coronavirus ! On sait également que des parties de la population sont plus exposées que d’autres, les personnes à risque, dont font notamment partie les personnes âgées. De quoi donc mettre le grand-saint en garde afin de le protéger !
Et c’est ce qu’a fait le gouverneur de la province de Luxembourg via une circulaire adressée à Saint-Nicolas lui-même ! Car lui aussi devra observer les mesures Covid lors de ses différentes tournées dans nos villages pour protéger les familles qu’il chérit mais également pour préserver sa santé.
Ainsi, les associations qui feront appel aux services du grand-saint devront mettre un point d’honneur à respecter les mesures mises en place. Via une circulaire, le gouverneur recommande à Saint-Nicolas et à sa suite de prendre les dispositions suivantes :
– Une demande devra être adressée à la commune indiquant le trajet emprunté par le grand saint.
– Le suite de Saint Nicolas et ses accompagnants ne pourra pas compter plus de quatre personnes dont une personne désignée responsable “Covid”. Tous devront porter le masque. Par ailleurs, ils devront rester sur la route et saluer les enfants depuis celle-ci et doivent garder une distance de 1,50 m des personnes croisant son parcours. Il est interdit pour saint Nicolas de rentrer dans les maisons.
– Saint-Nicolas devra également respecter le couvre-feu et aux heures où la visibilité est encore bonne.
– En cas de distribution de cadeaux/friandises, ceux-ci devront être déposés sur le pas de la porte ou dans la boîte aux lettres. D’ailleurs, pour ces friandises, il est vivement recommandé de les acheter dans des sachets déjà conditionnés.
– Si les sachets sont confectionnés par les organisateurs, ils doivent l’être au moins 72 h avant la distribution, dans le respect des mesures d’hygiène en vigueur (dans un lieu ventilé, port du masque obligatoire, lavage fréquent des mains, manipulation des objets et denrées par le moins d’intervenants possible). Qui plus est, ces sachets doivent être accompagnés d’une recommandation d’utilisation : une fois distribués, les sachets ne peuvent être manipulés que par les parents qui ouvrent, en donnent le contenu aux enfants, jettent le contenant puis se lavent les mains.
Le Gouverneur termine ces recommandations par une des plus importantes ! La tournée du Grand Saint s’avérant parfois longue et celui-ci aimant se réchauffer avec un petit verre, Olivier Schmitz insiste en disant que la consommation d’alcool sur la voie publique et dans les espaces publics est interdite.
Cette fois et encore plus que d’habitude, Saint-Nicolas devra montrer le bon exemple et être, lui aussi, sage come une image !
Dans le cadre de la lutte contre le coronavirus, de nouvelles stratégies de dépistage viennent de voir le jour, au même titre que le testing sur les asymptomatiques qui vient d’être de nouveau mis en place. Autre changement, pour toute demande de dépistage, celle-ci doit être prévue avec un rendez-vous. Dans notre province, Vivalia adopte le même système, que ce soit dans les hôpitaux ou dans les drive-in.
La mesure est entrée en vigueur dès ce mardi au sein des hôpitaux Vivalia en province de Luxembourg.
Voici ce qu’on peut lire sur le site internet de Vivalia : “Dès le mardi 24 novembre, si vous souhaitez passer un test de dépistage COVID dans un des centres de dépistage ou drive-in de Vivalia (comme c’est le cas désormais pour tous les centres du pays), vous devez prendre un rendez-vous via la plateforme fédérale qui vient d’être mise en place.”
Chose importante : les tests pour les personnes qui partent à l’étranger ne sont plus effectués. Les tests pour les personnes revenant de l’étranger (zone rouge) sont à nouveau testées.
Attention, pour tout dépistage, vous devrez obligatoirement être en possession d’un code à 16 chiffres qui vous sera préalablement envoyé via SMS suite à une prescription par votre médecin ou via le tracing (pour les contacts à haut risque ou les personnes revenant d’une zone rouge par exemple).
Sur le site fédéral info-coronavirus.be, on peut lire à ce sujet : “lorsque votre médecin complète la prescription électronique, vous recevez un code d’activation par SMS. Un code d’activation peut également vous être transmis par SMS à l’initiative par exemple d’un médecin du travail, médecin scolaire ou médecin responsable d’une maison de repos. Ce code est nécessaire pour pouvoir vous faire tester. Si vous n’êtes pas équipé pour recevoir un SMS, le médecin vous donnera ce code d’activation ou une prescription.”
Pour prendre rendez-vous, munissez-vous de votre code à 16 chiffres et rendez-vous sur la plateforme fédérale en cliquant sur ce lien : prendre rendez-vous.
La semaine Dernière, Xavier Bettel annonçait que de nouvelles mesures pourraient être mises en place sur le territoire grand-ducal si le niveau des contaminations ne diminuait pas de manière significative. Ce lundi, le Premier Ministre annonce que ces nouvelles mesures seront votées et seront d’application dès ce jeudi !
Semaine dernière, le Premier Ministre et la ministre de la santé du Grand-Duché du Luxembourg se donnaient quelques jours afin d’analyser de nouveau la situation avant la mise en place de nouvelles restrictions dans le cadre de la lutte face au coronavirus. Ce lundi, le gouvernement annonce que ces nouvelles mesures entreront en vigueur ce jeudi, les chiffres n’ayant guère évolué.
Même si la situation est stable et loin d’être catastrophique selon le Premier ministre, elle reste toujours tendue et les marges pour contenir l’épidémie sont minces. Ainsi, afin d’éviter un confinement total (qui entrainerait de gros dégâts, notamment économiques) alors que le taux de contaminations est encore élevé, le gouvernement grand-ducal vient de demander à la Chambre de voter les textes de lois fixant les nouvelles mesures qui rentreront en vigueur ce jeudi afin d’infléchir la courbe des contaminations.
De nouvelles mesures que le gouvernement avait présenté la semaine dernière. Parmi celles-ci, les plus gros changements interviendront dans le domaine de l’horeca puisque les restaurants et les bars resteront fermés dès ce jeudi. “Les magasins restent ouverts mais soyez mesurés dans tout ce que vous faites”, a déclaré la ministre de la santé.
Autre mesure, elle concerne la limitation des personnes à domicile. Ainsi, les familles ne pourront plus accueillir que deux autres personnes (d’un même ménage), et plus quatre comme c’était le cas auparavant. Toujours dans le but de limiter, autant que faire se peut, les contacts sociaux là où il n’est pas possible de porter un masque en permanence.
Au niveau du sport, les activités seront limitées à quatre personnes en extérieur, les salles de sports et les piscines fermeront leurs portes (excepté à l’école et pour les sportifs d’élite)
Concerts, activités culturelles, théâtres seront également suspendus. On note toutefois une une exception pour les musées, les galeries ou la bibliothèque nationale qui resteront ouverts, des endroits où la distanciation reste possible. Les lieux culturels comme les cinémas et théâtres doivent eux aussi fermer, ainsi que les aires de jeux en intérieur.
À l’église et dans les autres lieux de cultes, il faudra respecter les distances.
Des mesures qui seront votées par la Chambre et qui seront d’application dès ce jeudi et jusqu’au 15 décembre ; le couvre-feu étant prolongé jusqu’à la même date.
Ce samedi soir, la présence policière sur le terrain de la province de Luxembourg a été renforcée dans le cadre d’une opération de police intégrée. Ainsi, à Offagne (Paliseul), les équipes de police ont mis fin à une fête clandestine réunissant près de 70 personnes venant d’un peu partout dans le pays et également de Hollande.
La police a été amenée à intervenir samedi peu avant minuit dans le village d’Offagne dans une gîte car une fête, interdite dans le contexte actuel de Covid, s’y déroulait. La capacité maximale du gîte en temps normal est déjà de 14 personnes. Mais les policiers de la zone Semois & Lesse se sont retrouvés face à 70 personnes.
Des fêtards venant également des Pays-Bas
L’intervention a visiblement été compliquée car certains ont pris la fuite. Mais 42 participants ont néanmoins pu être identifiés. L'”organisateur”, soit l’homme qui avait loué le gîte, s’est déjà vu sanctionner sur le champ par une perception immédiate de 750 euros. Pour les autres, l’amende peut monter jusqu’à 250 euros. Le parquet devrait envisager des suites.
L’homme qui avait loué le gîte est un habitant de Dilbeek né en 1996. Les participants venaient d’un peu partout, y compris des Pays-Bas. Il semblerait que le bouche à oreille concernant cette fête a fonctionné, ce qui explique un si grand nombre des participants réunis finalement au même endroit.
Le propriétaire du gîte pourrait être entendu afin de l’interroger sur les conditions de location.
Le gouvernement luxembourgeois a annoncé, ce vendredi matin, que les premiers vaccins contre le Covid-19 arriveraient au Grand-Duché dans le courant du mois de décembre, probablement aux alentours de la Noël. Le Conseil de gouvernement a également confirmé que le salaire minimum sera augmenté de 2,8% au 1er janvier.
Serait-ce le début de la fin pour l’épidémie de Covid-19 au Grand-Duché de Luxembourg ? Si le pays se prépare à adopter de nouvelles mesures pour lutter contre la hausse du nombre d’infections, le premier ministre Xavier Bettel a en tout cas annoncé ce vendredi, à l’issue du conseil de gouvernement, que les premières doses de vaccins arriveraient au Luxembourg à la mi-décembre. Aucune information n’a filtré concernant le laboratoire retenu, mais selon les premiers bruits de couloirs, les autorités politiques privilégieraient plusieurs vaccins.
La première cargaison de vaccins sera petite, puisqu’elle ne devrait contenir que 46.000 doses. De quoi traiter 23.000 citoyens, dans la mesure où une double injection sera requise pour protéger le patient. Quant à la question de savoir quand débutera la campagne de vaccination, non-obligatoire selon les dires du premier ministre, impossible à dire. Les autorités travaillent actuellement d’arrache-pied pour mettre en œuvre un programme de vaccination le plus rapidement possible.
Nouvelle hausse du salaire minimum
Malgré la crise sanitaire sans précédent que traverse le pays, le gouvernement a bel et bien confirmé que le salaire social minimum augmentera de 2,8% dès le 1er janvier prochain.
Un travailleur de 18 ans et plus, qualifié, gagnera désormais, au minimum, 2.642,36€ bruts/mois.
Un travailleur de 18 ans et plus, non-qualifié, gagnera désormais, au minimum, 2.201,96€ bruts/mois.
Le REVIS et l’allocation de vie chère subiront également la même hausse. Selon Xavier Bettel, c’est une manière de prouver qu’au Luxembourg, personne n’est laissé pour compte.
Enfin, les autorités ont profité du Conseil de gouvernement pour approuver une aide non remboursable de 500 euros par salarié pour les secteurs les plus affectés par la pandémie à savoir le tourisme, l’horeca, l’évènementiel, le commerce, les centres de formation et les entreprises du secteur culturel.