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mardi, juillet 22, 2025
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Média : L’essentiel Radio fête ces cinq années d’existence !

Disponible sur l’ensemble du territoire luxembourgeois et sur les zones frontalières stratégiques, L’essentiel Radio occupe désormais une place de choix dans le paysage radiophonique luxembourgeois. Sans doute grâce à une stratégie de développement pertinente mise en place depuis 5 ans. Cinq bougies que la station fête ce lundi ! 

Lancée officiellement le 22 février 2016, cette radio est le résultat d’un constat simple : il n’existe alors aucune radio en langue française au Grand-Duché. Or avec une population luxembourgeoise et francophile, des résidents de nationalité étrangère (et notamment francophones) en forte croissance et des travailleurs frontaliers francophones toujours plus nombreux, il semblait logique et pertinent pour le média L’essentiel de compléter sa gamme de médias et d’être à l’initiative de ce projet. “La langue française est inscrite dans l’ADN de L’essentiel depuis toujours. Et tout comme le journal et le web sont venus répondre à une forte attente, la radio répondait à un besoin réel. Nous avons donc travaillé et fait le choix de nous associer pour créer ce nouveau média, avec le professionnalisme, l’enthousiasme et le ton qui nous caractérisent depuis le début”, précise Emmanuel Fleig, directeur de L’essentiel et administrateur délégué de L’essentiel Radio.

La troisième radio du GDL

Cette radio, dont les audiences la classe troisième au Grand-Duché, est donc venue compléter la marque L’essentiel. Grâce notamment à son style musical et ses équipes qui se succèdent à l’antenne durant la journée, la radio connait un franc-succès auprès des résidents mais également des frontaliers en quête d’information mais aussi de divertissements.

Frontaliers inclus, ce sont 156 700 auditeurs qui écoutent L’essentiel Radio chaque semaine, avec une couverture hebdomadaire de 21,2 % sur les résidents du Grand-Duché et de 29,5 % sur les frontaliers francophones.
Force est de constater que les auditeurs sont au rendez-vous, toujours plus nombreux et fidèles, y compris dans des périodes plus compliquées comme l’a pu l’être le premier confinement.

Cinq année et puis ?

La question reste posée ! Ce qui est sûr, c’est que la radio peut s’appuyer sur une équipe solide et motivée, des programmes appréciés par les auditeurs, et des projets de développement cohérents. Autant d’éléments qui permettent “d’aborder les prochains mois avec confiance et sérénité”, s’enthousiasme Sam Tabart, directeur et administrateur de L’essentiel Radio.

Tout d’abord, le développement du DAB+, en cours, permettra d’étendre encore plus la couverture de la radio au niveau national pour satisfaire les résidents francophones du pays, mais aussi auprès de l’audience frontalière, les cibles stratégiques de la radio.

En outre, le contenu des programmes, qui fait l’objet d’une révision régulière et qui est ancré dans un processus d’amélioration continue, poursuivra son adaptation pour répondre aux attentes des auditeurs, avec notamment la création de tranches horaires dédiées au divertissement les week-ends.

Une nouvelle identité graphique

Enfin, cet anniversaire est l’occasion pour cette radio de dévoiler une nouvelle identité visuelle, repensée pour donner plus de caractère à un média en pleine expansion, qui a trouvé sa place sur le marché luxembourgeois.
Tout en conservant les codes de L’essentiel, l’équipe a souhaité offrir à ce média en pleine croissance une image unique et personnalisée pour marquer le positionnement “Hits & News” (slogan de la station), entre musique et divertissement. Ainsi, un nouveau logo et une nouvelle charte graphique ont été déclinés.

“Un logo rond qui rappelle une enceinte. C’est une forme apaisante, qui représente l’unité et qui vient «boucler la boucle» des médias complémentaires proposés par L’essentiel. La conservation du bleu, évocateur de confiance, liberté, jeunesse” apprend-on du côté du groupe.

Ils poursuivent : “une charte graphique volontairement étoffée et qui reprend les couleurs bleu, blanc et rouge du drapeau luxembourgeois, pour bien appuyer le caractère national de notre radio. Elle fait également la part belle aux animateurs qui sont mis en avant afin de créer une affinité et une identification plus forte avec les auditeurs.”

Et pour clôturer cette cinquième année, un nouveau site web dédié à la radio sera mis en ligne prochainement.

Province : “SOS jeunes en détresse !”, le cri d’alarme des Maisons de Jeunes

Les Centres de Jeunes (CJ) – qui regroupent les Maisons de Jeunes, les Centres de Rencontres et d’Hébergement et les Centres d’Information des Jeunes – lancent un cri d’alarme concernant la détresse dans laquelle se trouvent les jeunes ! Une grande action en Wallonie est prévue ce mercredi 24 février. 

En effet, isolement social, décrochage scolaire, voire décramponnage, anxiété, oppression familiale et états dépressifs sont des situations dramatiques dans lesquelles les jeunes se trouvent depuis le début de la crise sanitaire, il y a bientôt un an maintenant, et qui s’aggravent au fur et à mesure que le temps passe.

“Face à cette situation alarmante dénoncée depuis de nombreux mois par les acteurs de terrain, la majorité des responsables politiques interpellés de toutes parts restent silencieux, trop silencieux !”, dénonce la maison des jeunes d’Arlon qui se fait ici écho de toutes les autres.

Les jeunes sont essentiels !

Aujourd’hui, les Centres de Jeunes désirent pouvoir agir grâce aux compétences des équipes d’animation afin de permettre aux jeunes d’être hors de chez eux mais dans des espaces où ils peuvent être accompagnés, recréer des liens, se poser, être écoutés, partager, prendre des initiatives citoyennes, envisager des perspectives, se projeter dans cette société post-Covid-19.

“Les jeunes sont essentiels ! Les CJ sont essentiels ! Nous plaidons donc pour la possibilité de travailler, d’être présents aux côtés des jeunes et ce, tout en respectant les mesures sanitaires évidemment, car il faut au plus vite réinvestir dans le lien qui est particulièrement protecteur pour les jeunes, leur bien-être et leur construction identitaire”, explique la MJ d’Arlon.

Rappelons que les Centres de Jeunes ont pour mission de favoriser le développement d’une citoyenneté responsable, active, critique et solidaire, principalement chez les jeunes de 12 à 26 ans, par une prise de conscience et une connaissance des réalités de la société, des attitudes de responsabilité et de participation à la vie sociale, économique, culturelle et politique ainsi que la mise en œuvre et la valorisation de pratiques socioculturelles et artistiques.

Une journée d’actions ce mercredi 

C’est pourquoi, ce 24 février, les Centres de Jeunes organisent une journée d’actions diversifiées sur tout le territoire francophone. “Une manière de conscientiser la classe politique sur le caractère urgent de la situation et de porter les paroles des jeunes !!”

Sur le territoire de la Province de Luxembourg, les Maisons de Jeunes situées à Arlon, Athus, Bastogne, Bertrix, Etalle, Florenville, Gouvy, Libramont, Marche, Sainte-Ode, Saint-Hubert et Virton se mobiliseront avec des cartes postales écrites par les jeunes et qui seront envoyées aux responsables politiques, des masques que les jeunes porteront symboliquement et seront mis en avant sur les réseaux sociaux. Il y aura aussi des portraits de jeunes, des affiches de sensibilisation, etc.

L’ensemble des actions sur le territoire de la FWB se retrouve ici.

Dans le respect des règles sanitaires, il s’agira d’une mobilisation dans l’espace public et sur les réseaux sociaux. La parole de nombreux jeunes sera alors relayée. “Parce qu’il est grand temps de permettre aux jeunes de reprendre le chemin de leurs vies dans le respect de tout un chacun !”, termine la MJ d’Arlon.

Pour plus de renseignements, veuillez contacter Doriane Coupez, coordinatrice de la MJ Arlon :

Tél. : 063/21.90.51
GSM : 0460/95.18.21
coordination.mjarlon@gmail.com

Luxembourg : les prix du diesel et de l’essence au plus haut depuis un an

Ce vendredi, tous les carburants repartent à la hausse. Des prix qui n’avaient jamais été aussi élevés depuis un an, la crise du coronavirus faisant plonger les prix. C’est la dixième hausse consécutive depuis la fin du mois d’octobre pour le diesel ! 

Les prix sont à la hausse depuis un bout de temps ! Alors qu’ils n’avaient jamais été aussi bas depuis 2018, diminuant en dessous de l’euro pour le diesel, les prix ne font qu’augmenter depuis la fin octobre.

Ainsi, de nouvelles hausses sont prévues à la pompe ce vendredi !

Pour le diesel, la hausse est de 1,8 cents pour un prix atteignant 1,136€/litre.

En ce qui concerne le Super 95 et le Super 98, dès ce vendredi, le SP95 va grimper de 2,4 cents et s’affichera à 1,222€/litre tandis que le SP98, qui va augmenter de 2,2 cents, va s’afficher à 1,292€/litre. 

E411 : changement de règle pour la bande de covoiturage

Enfin du changement concernant la bande de covoiturage sur le tronçon entre Arlon et Sterpenich ! Après l’évaluation de celle-ci par le ministre Henry, elle sera bientôt ouverte pour les véhicules avec au moins deux personnes à bord, tout comme le tronçon entre Wavre et l’entrée de Bruxelles. Autre nouveauté sur la table, la possibilité de l’ouvrir également pour les motos.

Ce sont des travaux qui ont déjà fait couler beaucoup d’encre depuis leur mise en œuvre. Ouverte il y a plus d’un an après une période de travaux jugée trop longue par les utilisateurs de cette partie d’autoroute, cette bande de co-voiturage est censée fluidifier la circulation sur la E411 entre Arlon et la frontière luxembourgeoise, utilisée par près de 40.000 véhicules chaque jour.

Ouverte à 2+ et non plus 3+ 

Mais soyons clair ! Les règles entourant son utilisation sont terriblement difficiles à respecter. Ainsi, accessible aux voitures avec trois personnes à bord minimum, elle peine à trouver ses utilisateurs. Nonobstant ce fait, elle reste également limitée à 50km/h et se termine une fois le poste frontière de Sterpenich franchi. Une ineptie pour bon nombre d’utilisateurs. Mais selon Sudpresse, les règles devraient être bientôt modifiées après son évaluation par la ministre en charge de la mobilité, Philippe Henry.

Ces bandes pourraient être ouvertes pour les voitures avec à leur bord deux personnes au moins. Une autre nouveauté concerne l’ouverture de la bande de covoiturage luxembourgeoise aux motos suite à l’avis favorable de la fédération des motards. Mais d’autres vérifications de sécurité devront être faites avant que cette ouverture soit possible.

De l’argent public dépensé à la hâte 

Bien entendu, des travaux de modification à cette bande devront être apportés. Ils concerneront notamment les panneaux mais aussi le marquage routier et seront réalisés dès que les conditions météorologiques seront plus clémentes, aux alentours de la mi-avril probablement. 

Toujours selon Sudpresse, des parkings de covoiturage aux alentours de la frontière seraient également à l’étude. La cabinet du ministre étudie le fait d’occuper les aires de stationnement des grandes enseignes dont la capacité est trop grande les jours de semaine.

Dans son intervention au Parlement, le ministre n’a pas manqué d’apporter des informations complémentaires à ce dossier, notamment concernant l’utilisation de cette bande par les bus et autocars. Malheureusement celle-ci serait trop étroite pour ceux-ci selon le ministre qui déplore également la manque de réflexion quant à son utilisation par les transports en commun en général ajoutant que beaucoup d’argent public avait été dépensé à la hâte par son prédécesseur afin de réaliser cette bande de covoiturage.

Une autre information concernerait la prolongation de cette bande au Grand-Duché du Luxembourg qui permettraient aux frontaliers de continuer leur route, eux qui déplorent cet arrêt brutal dès la frontière passée !

D’abord annulé par les autorités, le set live “Dead or Alive” aura bien lieu à Habay !

Vous étiez nombreux hier soir à réagir à cette annonce de cet événement live Facebook annulé par les autorités. Hier à travers une vidéo, un DJ à la base du projet “Dead or a live” dénonçait une situation dans laquelle on interdisait le collectif des trois DJ a organiser cette séance de musique live en direct d’un restaurant habaysien. Finalement, le live Facebook pourra avoir lieu comme il était prévu à la base ! 

Nous devons bien l’avouer, nous-même à la rédaction de Shootlux, nous ne comprenions pas la raison de cette interdiction qui provenait, il semblerait, du cabinet du Gouverneur.
Alors que ce nouveau collectif de DJ voulait organiser un live Facebook présentant un set en direct d’un restaurant habaysien, on leur a signifié que cela leur était interdit ! 

Un premier live samedi dernier

Depuis quelques semaines, ces trois DJ dont on vous parlait dans cet article, veulent à nouveau faire tourner leurs platines afin de montrer qu’ils existent encore alors que la crise sanitaire les remise au second plan depuis plus d’un an.

Voulant également se montrer solidaire envers les acteurs de la nuit et de l’horeca durement touchés également par cette pandémie et les mesures prises afin de contrer celle-ci, le groupe “Dead or a live” veut dans ce cadre, diffuser des Facebook live en direct d’établissements subissant de plein fouet la crise du Covid. Ainsi, la semaine dernière, c’est en direct du dépôt des établissements Daune, distributeur de boissons, que les trois DJ ont entamé leur “tournée” virtuelle. Un événement qui a rencontré un réel succès puisque plus de 1000 personnes l’ont suivi.

Interdiction formelle d’organiser l’événement

Cette semaine, un accord avait été trouvé avec le patron de l’établissement habaysien “L’enfant terrible” afin que les DJ’s se produisent en direct de ce bar branché bien connu de la région.

Mais stupéfaction de la part des organisateurs ! Une interdiction est prononcée par les autorités dans la journée de mercredi. Des raisons floues, nous devons bien le dire, sont alors évoquées. C’est l’incompréhension pour cette petite équipe, qui ne comprend pas les raisons invoquées. “C’était du jamais vu. On nous interdisait de produire notre musique en live, sans public puisque de manière virtuelle”, nous confie le collectif Dead or a live. “La situation dans laquelle on est, elle est déjà désastreuse. Mais nous priver de diffuser notre musique par passion, c’était comme un coup de grâce qu’on a reçu hier on prenant connaissance de l’interdiction.”

Très vite l’info circule sur les réseaux sociaux et provoque l’incompréhension également sur la toile. “Nous avons reçu beaucoup de messages de soutien mais également de gens qui ne comprenait pas pourquoi on nous interdisait ce live puisqu’il n’y avait aucune raison de la faire”, poursuit le collectif. Dans la foulée, une vidéo est publiée par le célèbre DJ de la sono “BreakOut” qui est également partagée rapidement des milliers de fois et dans laquelle il expose son étonnement, son incompréhension mais également son ras-le-bol face à la situation dans laquelle le secteur se trouve et de la façon dont il est considéré par les autorités.

Rendez-vous ce jeudi à 18h ! 

Disons que c’est peut-être ça qui a fait réfléchir les autorités à la base de cette interdiction. Puisque ce jeudi matin, nous apprenons que l’événement virtuel est finalement autorisé ! Comme on peut le lire sur la page de l’événement Facebook : “Parce que ce pays n’est pas (si) fou … Parce qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis … Parce que vous êtes si nombreux à nous soutenir, nous, l’horeca, les gens du monde culturel, les DJ’s et tous les secteurs impactés par cette crise … Parce que HORECA IS NOT DEAD ! L’événement est maintenu suite à la réflexion de monsieur le gouverneur et des différentes autorités sur le ridicule de la situation, et sur la nécessité de montrer leur soutien à ces secteurs qui ont un genou à terre …”

On pourrait penser que cette histoire est une tornade dans un verre d’eau mais force est de constater que ces secteurs sont vraiment à bout essayant tant bien que mal de survivre pendant la période ô combien difficile pour bon nombre de citoyens. Hier c’était, pour eux, la goutte qui faisait déborder le vase qui ne cesse d’être rempli depuis plus d’une année où ce secteur de l’événementiel n’aperçoit aucune perspective de reprise.

Quoi qu’il en soit, le collectif Dead or a live, rejoint cette semaine par Djaydeniz Labong, entend bien ce soir vous faire passer un excellent moment à l’aide de leurs platines qui chaufferont à l’occasion d’un set exclusif en direct de “L’Enfant Terrible”.
Vous pourrez le suivre, virtuellement donc comme prévu, dès 18h sur la page Facebook Event’s Dead Or Alive – Ed.2 – L’enfant Terrible 

Arlon : Mobile Repair, la réparation de votre smartphone où et quand vous désirez (+vidéo)

C’est un nouveau service que propose dorénavant la boutique Mobile Repair d’Arlon ; la réparation de votre smartphone à domicile !

Avec une camionnette sillonnant le sud-Luxembourg et le Grand-Duché, cette société vient jusqu’à vous et remplace batteries, écrans, connecteurs jack et autres docks de charge au moment et à l’endroit que vous choisirez sans même devoir rentrer dans un bâtiment ; les réparations se font à l’intérieur de la camionnette spécialement aménagée !

On ne se trompe sûrement pas en disant que c’est déjà arrivé à bon nombre d’entre nous, un moment d’inattention et c’est le grand plongeon vers le sol pour notre smartphone. Ces petits bijoux de technologie auxquels on tient et pour lesquels on a dépensé une belle somme d’argent sont parfois (ou souvent) victimes de petits accidents du genre amenant fissures des écrans et pannes diverses telles que le port jack qui dysfonctionne ou le dock de charge qui fait des siennes.

Alors dans une société où l’industrie des smartphones se montre particulièrement polluante, quoi de mieux que de réparer nos appareils au lieu de les jeter ? Surtout qu’au niveau du prix, une réparation est bien plus intéressante par rapport à l’achat d’un nouvel appareil. C’est dans cet esprit que depuis près de cinq ans, Mobile Repair vous accueille en plein centre d’Arlon afin d’effectuer ces quelques réparations utiles à nos smartphones.

Une expérience de près de dix ans

“Dès mon adolescence, j’étais passionné des nouvelles technologies. Un jour, ayant un GSM cassé, j’ai décidé de le réparer moi-même”, nous explique Maxime Havelange, fondateur de Mobile Repair. “C’est via des tutoriels YouTube notamment que je me suis formé et grâce aux réparations sur le terrain que j’ai pu acquérir les compétences nécessaires.” 

Cela fait près de 10 années maintenant que Maxime s’occupe des smartphones, commençant d’abord par la réparation de modèles appartenant à ses proches pour ensuite arriver à l’ouverture d’une boutique à Arlon. Et comme nous le confirmait ce jeune entrepreneur, la demande est bien là. Mais bien loin de s’endormir sur ses lauriers, Maxime lance désormais un nouveau service à destination de sa clientèle ; la réparation de ces smartphones à domicile.

Une réparation à domicile mais sans contact

C’est un concept qui existait déjà comme nous l’expliquent Maxime & Arthur. “La grosse différence avec notre société, c’est qu’on ne rentre pas chez le client. On répare le smartphone dans notre camionnette, nous ne sommes pas intrusifs !”
Et c’est vrai que la différence est notoire, notamment en cette période de Covid. “Les échanges sont très courts et il n’y a presque pas de contact”, détaille Maxime.
“La réparation de smartphones évolue avec son temps. C’est désormais fini de se déplacer jusqu’en magasin et d’attendre pour faire réparer son smartphone.”

A vrai dire, le système est assez simple grâce à ce nouveau service. Sur le site internet Mobile Repair, le client prend un rendez-vous dans un lieu de son choix et à l’heure qui lui convient le mieux. Que ce soit à la maison, sur son lieu de travail, la camionnette se rend sur place et l’équipe se charge alors d’effectuer la réparation du téléphone au sein du “repair truck”, spécialement aménagé pour les opérations du genre.
C’est donc un service itinérant que vient de mettre en place cette société basée à Arlon et qui propose désormais une large zone de réparation : “notre équipe se déplace dans un rayon de 25 km autour d’Arlon ainsi qu’autour de Steinfort. Si la réparation se situe hors de la zone, une offre personnalisée est possible”, précise Maxime Havelange.

Réparation rapide, de qualité et garantie

Si la réparation se fait à domicile grâce à ce repair truck, il n’en reste pas moins qu’une garantie de 12 mois est offerte pour toute intervention sur les smartphones : “nous effectuons la réparation et nous vérifions soigneusement chaque opération. De plus, notre intervention est garantie un an”, intervient Maxime.

Et il faut dire que les réparations que proposent Mobile Repair sont nombreuses ; changement d’écran, changement de batterie, réparation de l’appareil photo, du micro ou encore du connecteur jack, c’est tout un panel d’opérations que réalisent ces réparateurs ambulants. “Généralement, les réparations ne sont pas longues, on parle de 15 à 30 minutes. Un stock de matériel utile est prévu dans la camionnette. Le client peut donc continuer son activité pendant que nous effectuons les réparations dans le repair truck.”

Alors si votre compagnon du quotidien s’évade avec fracas de votre poche en s’offrant quelques dommages, plus besoin de s’en chercher un nouveau ! Mobile Repair se charge de lui redonner une seconde jeunesse en pansant les plaies ! Et si la batterie faiblit, la société combat l’obsolescence programmée : “nous avons aussi un but écologique puisque nous remplaçons presque tous les composants, pas besoin de jeter son téléphone défaillant au profit d’un nouveau. Mobile Repair, c’est un gain de temps mais aussi d’argent”, concluent ainsi Maxime Havelange & Arthur Colaux.

Vivalia : baisse du nombre des hospitalisations, retour à la phase 1A, la moins élevée

Réuni ce mercredi, le Comité de direction élargi de Vivalia a fait le point sur la situation et constaté que l’évolution favorable du nombre de personnes contaminées hospitalisées dans nos hôpitaux généraux permet de redescendre en phase 1.A, la moins élevée du plan Surge Capacity Covid-19.

Réuni ce mercredi, le Comité de direction élargi de Vivalia a fait le point sur la situation et constaté que l’évolution favorable du nombre de personnes contaminées hospitalisées dans nos hôpitaux généraux permet de redescendre en phase 1.A, la moins élevée du plan Surge Capacity Covid-19. En effet, aujourd’hui, moins de 25% des lits réservés aux patients Covid en unités de soins intensifs sont occupés.

Ce passage en phase 1.A signifie une réduction de près de 50% du nombre de lits réservés au COVID dans les hôpitaux de Vivalia. Les différents établissements comptent donc désormais :

– 11 lits de soins intensifs COVID (contre 21 en phase 1.B) :

– 2 à Marche et 2 à Bastogne ;

– 3 à Libramont ;

– 4 à Arlon ;

– 44 lits COVID d’hospitalisation classique (contre 84 en phase 1.B).

Ce matin, Vivalia comptait 4 patients Covid en soins intensifs (tous aux CSL) et 18 hospitalisés en unité Covid classique (8 aux CSL, 3 au CHA, 9 à l’IFAC dont 6 à Marche et 3 à Bastogne).

Ce passage à la phase 1.A est rendu possible par l’évolution favorable de la situation mais il faut continuer d’observer une certaine prudence face au virus.

L’intercommunale de soins rappelle que l’activité opératoire non-urgente qui n’utilise pas les soins intensifs a repris depuis début décembre, de même que les hospitalisations classiques et hospitalisation de jour. Par contre, les conditions sanitaires ne permettent toujours pas d’autoriser les visites dans nos sites hospitaliers sauf exceptions (2 parents de la même bulle en pédiatrie, le papa en gynécologie/obstétrique, les proches des patients en phase critique ou en fin de vie, un accompagnant en cas de réelle nécessité pour les consultations ou examens nécessaires).

Vivalia tient à remercier une fois encore toutes ses équipes pour leur professionnalisme et leur engagement durant cette deuxième crise du Covid.

Hotton : les moutons ont été attaqués par un loup !

La semaine dernière, plusieurs attaques contre des moutons ont été constatées notamment à Hampteau (Hotton) mais aussi à Marcourt (Rendeux) et à Ochamps. Des tests sur les morsures ont été réalisés afin de déterminer de quel animal provenait l’attaque. A Hotton et à Rendeux, ce sont bien des loups qui ont perpétré ces attaques ! 

Quelques troupeaux de moutons ont été victimes d’attaques la semaine passée dans le nord de la province de Luxembourg. Ochamps (Libin), Marcourt (Rendeux) et Hampteau (Hotton) ont été les théâtres de ces attaques, provoquant la mort de près de 10 moutons.

Au lendemain de ces attaques troublantes, la question était de savoir si elles étaient l’œuvre de loups ou bien de chiens errants. Afin de déterminer de quel animal provenait les morsures, des prélèvements ADN ont été réalisés sur les plaies constatées par le Réseau Loup (SPW) et la DNF.

Après quelques jours de test, les résultats sont tombés. Selon le communiqué envoyé par le Service public de Wallonie ce sont bien des loups d’une lignée “germano-polonaise” qui sont à l’origine de la mort de ces moutons à Hampteau et à Marcourt !

Pour le reste des attaques, les résultats sont toujours attendus mais il se pourrait bien que le loup soit également l’acteur de ces égorgements.

Selon le SPW, le retour du loup en Wallonie est confirmé depuis 2016. Pour le moment, Akela (nom donné au loup établi en Wallonie depuis au minimum juin 2018) est considéré comme le seul loup territorial de Wallonie. Situé dans les Hautes Fagnes, il semble désormais avoir trouvé une femelle. Le couple de loups devrait désormais former sa meute. Les premiers louveteaux pourraient arriver dès l’automne 2021.

Virton : “Votre mère nature”, une boutique et un webshop pour les amoureux du fait maison

Faire son savon vaisselle, sa poudre lave vaisselle ou encore son déodorant, son démaquillant et autres cosmétiques du genre, la tendance du “fait maison” n’a jamais rencontré autant de succès ! C’est d’ailleurs dans ce cadre que Justine Lallouette a décidé d’ouvrir une boutique à Virton et un webshop proposant toutes les matières premières nécessaires à la fabrication de vos produits maison. Et si vous ne savez pas comment les réaliser, Justine vous propose également des ateliers ménagers et cosmétiques.

Voilà certainement encore un des effets de la pandémie que nous subissons tous depuis plus d’un an maintenant ! La tendance du fait maison est en plein essor. On constate d’ailleurs un réel engouement sur les cosmétiques et les produits d’entretien “homemade” depuis nos confinement successifs. Le fait de passer plus de temps à la maison notamment en télétravail poussent certainement le Belge à nettoyer plus régulièrement son intérieur en privilégiant les produits d’entretien maison.

Une boutique virtonaise

Cette tendance, Justine Lallouette l’avait déjà remarquée depuis quelques temps. C’est ainsi qu’en septembre, la jeune entrepreneuse a décidé de lancer son commerce en plein cœur de Virton. Une boutique qui devait servir, au départ de l’aventure, à dispenser quelques ateliers afin de guider les personnes désireuses de créer leurs propres produits maison : “j’ai lancé les ateliers dans le but de proposer mes conseils dans ces démarches de fait maison et où j’exposais également les produits nécessaires pour les confectionner”, nous explique Justine. “Mais au fur et à mesure, je me suis aussi rendu compte que certaines personnes voulaient acheter les matières premières sans faire les ateliers.” 

C’est ainsi qu’est né le magasin “Votre mère nature”, une boutique ouverte maintenant à des horaires fixes. “Au départ, je publiais mes horaires de semaine en semaine mais la clientèle était demandeuse de plus de clarté aux niveau des ouvertures”, souligne la jeune entrepreneuse. “Et si la boutique porte ce nom, c’est bien pour souligner qu’il faut rendre à la nature tout ce qu’elle nous donne de si précieux !”

Ainsi, vous pourrez y retrouver de quoi fabriquer vos produits cosmétiques ou ménagers, que ce soit des argiles, des hydrolats, les accessoires utiles, des huiles et autres bases pour des produits 100% fait maison.

En plus de la boutique située à Virton, Justine vient de lancer dernièrement un webshop en ligne proposant tous les produits disponibles : “j’y travaille depuis quasiment le début de mon projet et cela m’a pris beaucoup de temps vu que je ne suis pas experte dans ce domaine”, explique Justine Lallouette. “Avec le corona, la boutique en ligne était nécessaire vu que mon commerce était considéré comme non-essentiel. En cas de nouveau confinement, cela permettra aux clients de commander et de venir retirer en Click&Collect ou alors de se faire directement livrer à domicile !”, poursuit la jeune femme.

Des ateliers cosmétiques et ménagers 

L’idée première de la jeune entrepreneuse était de lancer sa propre gamme de cosmétiques, une idée à laquelle elle travaille toujours. Après quelques rendez-vous auprès de personnes référentes dans le milieu de la création de nouvelles entreprises, Justine se rend compte que l’idée de proposer des ateliers afin de créer ses propres produits pourrait séduire la clientèle. Il n’en fallait pas moins pour que la jeune entrepreneuse se lance dans sa nouvelle aventure !

Durant ces ateliers remplis de bonne humeur nous dit-elle, vous pourrez apprendre à confectionner des produits cosmétiques et ménagers pendant lesquels Justine vous dispensera les bases à connaître sur les produits maison, notamment leur mode de conservation. Vous aborderez également l’hygiène à respecter, les perturbateurs endocriniens, ce qu’implique l’utilisation d’huiles essentielles et vous vous serez informés sur tout ce qu’il y a à savoir sur les labels bio.

Et pas de crainte à avoir, tout est mis en place afin de respecter les règles Covid. “A l’inscription, un document expliquant les règles Covid est envoyé à la personne ayant réservé son atelier”, explique Justine. “Pour le moment, j’ai le droit de prendre deux personnes en même temps afin de bien respecter les règles (plus d’1,5m entre chaque personne). On peut donc participer à mes ateliers seul ou en duo.”

Une passion devenue un métier

Esthéticienne de formation et ayant travaillé plus de quatre ans dans des instituts de beauté, c’est après des années à utiliser des produits industriels nocifs que Justine réalise l’impact important, sur la santé mais également sur la planète, des produits cosmétiques et ménagers industriels, “je me suis documentée et j’ai commencé à réaliser mes produits ménagers puis cosmétiques maison. Cela marquait le début d’une nouvelle vie, plus écologique et moins matérialiste pour moi”, nous explique-t-elle. “Lorsque je suis tombée enceinte de mon premier enfant, faire de ce qui était devenu ma passion un métier m’est venu comme une évidence.

Plus tard, c’est avec une formation de préparateur en cosmétiques et produits naturels qu’elle ajoutera une corde à son arc. Et à la croire, les avantages du fait maison sont nombreux : “effectivement, d’un point de vue écologique cela à un bel impact et de plus, contrairement à ce que l’on croit, cela est économique ! On chouchoute sa peau avec des produits sans perturbateurs endocriniens et dont on connait l’origine. Le petit plus c’est que ce sont de chouettes activités à faire avec ses enfants”, termine Justine.

Et Justine d’emprunter une citation de Michel de Montaigne : “Nature peut tout et fait tout.”

Vous trouverez toutes les informations utiles sur le site internet de la boutique ou sur la page Facebook Votre mère nature.

 

Football : le Royal Excelsior Virton a bien déposé sa demande de licence professionnelle

Suite de la saga virtonaise consacrée au football ! En effet, les clubs professionnels avaient jusqu’à ce lundi pour transmettre un dossier de demande de licence professionnelle afin d’évoluer la saison prochaine, peut-être, en D1B. Les avocats du RE Virton l’ont fait hier en fin de journée et le confirme par voie de communiqué.

Le RE Virton a bien déposé hier sa demande de licence professionnelle.

Hier, conformément au calendrier prévu par le règlement de l’URBSFA, le RE VIRTON a transmis sa demande de licence professionnelle (D1B) aux instances compétentes.

Le RE VIRTON a mis un soin tout particulier à préparer ce dossier.

Pour rappel, dans sa décision du 19 novembre 2020, le Collège de l’Autorité Belge de la Concurrence a décidé ce qui suit: “Ordonne à l’URBSFA de mettre en œuvre toute mesure permettant à RE VIRTON d’être en capacité de soumettre son dossier de demande de licence professionnelle et de remplir les conditions de cette licence professionnelle pour la division 1B dans le cadre de la procédure d’examen par la Commission des licences appelée à débuter en février 2021, en vue de jouer la saison complète 2021-2022 en division 1B. Cette procédure d’examen par la Commission des licences à partir de février 2021 se déroulera alors même que l’équipe première du RE VIRTON n’aura en tout état de cause pas joué la saison 2020-2021 et avec l’injonction d’une part, de ne pas faire usage des clauses du règlement et de la Publication du 14 octobre 2019 de l’URBSFA qui auront été jugées prima facie contraires au droit de la concurrence, en particulier les points 9 e), 9 f) et 17 de ladite Publication et, d’autre part, d’assimiler sur le plan réglementaire RE VIRTON à un club de Nationale 1 postulant à l’obtention d’une licence permettant d’évoluer en D1B”.

Le RE VIRTON ne doute pas que l’URBSFA veillera à se conformer scrupuleusement à cette décision, en abordant l’examen du dossier du RE VIRTON de manière objective, impartiale et constructive, ce qui contribuera à rétablir une certaine confiance entre les parties.

Une fois la licence obtenue, le RE VIRTON mettra tout en œuvre afin de relancer les activités sportives et commerciales du club, tant au niveau des jeunes que de l’équipe première, avec pour objectif d’être pleinement compétitif et ambitieux dès le début de la prochaine saison.

Fin de communiqué

Il faudra cependant faire preuve de patience pour les supporters de l’Excel ! En effet, si la licence sera examinée en détails dans quelques jours par le manager des licences et ses assistants, ce n’est que plus tard que la commission rendra son verdict. Il pourrait tomber, au plus tard, le 14 avril.

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