13 C
Arlon
dimanche, juillet 6, 2025
Accueil Blog Page 37

Florenville : les assurances Verdun récompensent les jeunes conducteurs

Face à la difficulté pour les jeunes conducteurs de s’assurer, les assurances Verdun, situées à Florenville, proposent une offre exclusivement dédiée aux jeunes âgés de moins de 29 ans. Objectif : récompenser financièrement les bons automobilistes. 

Les assurances Verdun, bien connues dans le Sud-Luxembourg, viennent de lancer un nouveau produit à destination des jeunes conducteurs. Avec ce tout nouveau service, il est désormais possible de faire baisser la prime de son assurance responsabilité civile tous les mois. Une solution originale qui devrait ravir les jeunes qui doivent assurer une voiture et dont les finances sont limitées.

Concrètement, 123go est une assurance automobile couplée à une application mobile, qui récompense les bons conducteurs. Les utilisateurs qui souscrivent à cette offre sont invités à télécharger l’application 123go sur leur smartphone et la relier au système de Bluetooth de leur véhicule lors de chaque trajet. L’application calcule ensuite un score de conduite basé sur le respect des limitations de vitesse, l’usage abusif de freinage brusque, l’utilisation du GSM au volant et la manière de prendre les virages. Un éco-bonus est même offert pour les petits rouleurs qui parcourent moins de 1500km/mois.

Les facteurs qui influencent le score de conduite.
L’équipe des Assurances Verdun, située à Florenville.

Une prime qui évolue 

En fonction du score obtenu, la prime évoluera chaque mois à la hausse ou à la baisse sans pouvoir dépasser -30% ou +30% par rapport à la prime de base. Le pack de base comprend la responsabilité civile obligatoire, l’assistance en cas d’accident et la garantie Bob (si vous faites appel à un BOB pour vous raccompagner et qu’il cause un accident en tort, l’assurance couvre une partie des dégâts et les blessures éventuelles). D’autres options peuvent être ajoutées pour obtenir une assurance complète : protection du véhicule, protection des personnes et protection juridique.

L’assurance a été créée dans le but d’aider au maximum les jeunes conducteurs pour qui, l’achat d’un premier véhicule, ainsi que tous les frais qui s’y rapportent, n’est pas toujours aisé. Aussi, l’assurance 123go est réservée au moins de 29 ans qui ont le permis depuis au moins cinq ans. Si vous avez le permis depuis moins de cinq ans, il est toutefois possible de bénéficier de cette assurance si l’un des parents est assuré auprès des assurances Foyer.

C’est donc le conducteur qui est maître de sa prime d’assurance. Une nouvelle manière de conduire pour pouvoir gagner de l’argent tous les mois. Un tarificateur en ligne, permettant de comparer tous les tarifs jeunes conducteurs proposés sur le marché, a même été lancé pour faciliter la tâche des clients.

Pour des informations supplémentaires : 

Simuler votre tarif 

Assurances Verdun Florenville
Téléphone : 061 31 22 33
Email : info@verdun.be

Simulation d’un trajet en voiture avec l’application 123 GO.

Speed Marathon : souriez, vous êtes flashés ce mercredi !

Levez le pied si vous ne voulez pas ouvrir votre portefeuille ! C’est ce mercredi 21 avril que la police du royaume organise le 14e speed marathon. Des contrôles de vitesse intensifs qui ont débuté ce matin et se termineront demain à 06h00. 

Entre ces mercredi 21 avril à 6h et jeudi 22 avril à 6h, de nombreux contrôles de vitesse seront organisés au quatre coins du pays. Pour cette 14e édition du marathon de la vitesse, les polices fédérale et régionales seront sur le terrain à l’affut des excès de vitesse !

Le but de cette opération est de bien entendu sensibiliser à la vitesse excessive de certains automobilistes sur nos routes. La vitesse est, on le sait, non seulement un facteur déclencheur mais aussi un facteur aggravant.

1 accident mortel sur 3 est dû à la vitesse

En 2020, 70 vies auraient pu être épargnées sur les routes wallonnes, alors que l’on y dénombre plus de 1000 accidents corporels, tous directement liés à la vitesse. Et ce, malgré une diminution de 22 % du trafic en cette année particulière.

Près de 1 accident mortel sur 3 est principalement dû à la vitesse et elle intervient dans 10 à 15 % des accidents de la route.
17 % des Wallons se disent prêts à diminuer leur vitesse sur la route, pour améliorer la sécurité routière.

Le conducteur belge continue à rouler trop vite, malgré les contrôles, les amendes infligées et, surtout, le danger que représente une vitesse excessive sur les routes, constate l’institut Vias. Une étude datant de 2019 a même montré qu’une hausse de la vitesse de 10 km/h accroît le risque d’accident corporel de 80% et le risque d’accident mortel de 120%. “Pourtant, un conducteur belge reçoit en moyenne un P-V pour excès de vitesse tous les deux ans”, constate l’institut dans un communiqué.

Ainsi, en 2019, un peu plus de quatre millions de P-V ont été envoyés pour excès de vitesse en Belgique, ce qui représente une hausse de 8% par rapport à 2018.

Selon une enquête européenne menée également en 2019, 68% des Belges (moyenne européenne de 62%) avaient dépassé la limitation sur autoroute au cours du mois écoulé. En agglomération, ce sont six conducteurs sur 10 (62%) qui avouaient avoir dépassé la vitesse maximale autorisée contre 56% dans le reste de l’Europe. “Bref, le conducteur belge a un peu plus tendance à rouler vite que ses homologues européens”, résume Vias.

L’institut rappelle l’utilité des marathons de contrôle de vitesse. Lors de l’édition qui avait eu lieu fin 2018, une baisse de la vitesse de 3 à 7% en moyenne avait été constatée sur les routes belges le jour du marathon ainsi qu’une diminution du nombre de véhicules en infraction jusqu’à 25%

La Table Ronde d’Aubange lance la deuxième édition du Tablathon

En mai 2020, la Table Ronde 106 d’Aubange lançait le “Tablathon”. Un challenge sportif et caritatif qui consistait à parcourir la distance de 21 kilomètres sur une période fixée de 9 jours. Avec pas loin de 2.000 participants, le défi dépassait toutes les attentes en récoltant plus de 18.000 euros ! Fort de ce succès qui a dépassé largement les limites de notre territoire, le service club aubangeois lance une nouvelle édition qui se tiendra entre le 8 et le 16 mai prochain.

L’année 2020 a bousculé les habitudes et obligé la société à penser différemment. Si le monde était à l’arrêt, les personnes en difficultés ont néanmoins plus que jamais besoin d’actions de solidarité. C’est dans ce contexte particulier que la Table Ronde d’Aubange a mis sur pied son premier challenge sportif et caritatif : le “Tablathon”. Soutenu l’an dernier par différentes personnalités à l’instar notamment de Philippe Albert (ancien Diable rouge) ou de Julien Lapraille (ex-candidat de Top Chef), l’évènement avait rencontré un succès inespéré. Forts de cette expérience, les Tableurs aubangeois ont donc décidé de renouveler l’expérience. L’édition 2021 démarrera le 8 mai et se terminera le 16 mai prochain.

De nombreuses surprises

Le principe n’a pas changé, il faudra toujours réaliser la distance de 21 kilomètres sur une période de 9 jours. À pied ou en courant, le défi s’adresse aux petits et grands sportifs. Aucune contrainte de lieu ou de temps, les participants réalisent l’épreuve à leur rythme. La seule condition ? Relier sa participation à l’application gratuite Strava.

Bien décidée à continuer à surprendre, la Table Ronde d’Aubange réserve de nombreuses surprises aux participants de cette édition. Challenges intermédiaires, parrains et marraines de renommées, le service-club, à l’instar de l’an dernier, compte bien surprendre et récompenser les participants. Les différentes surprises seront dévoilées en primeur au fil des jours sur le site tablathon.be, mais aussi, et surtout sur la page Facebook.

Trois projets soutenus en 2020

Médiatisé par tous les plus grands journaux nationaux en 2020, le Tablathon s’est fait une belle renommée dans le monde des challenges virtuels au point de devenir une référence. Ce statut a permis l’an dernier de récolter plus de 18.000 euros. Grâce à cette somme, la Table Ronde 106 a pu venir en aide aux épiceries solidaires de la Croix Rouge en province de Luxembourg. Mais elle a également offert des massages afin de soulager des enfants gravement malades via l’ASBL “Mes Mains Pour Toi” et également financé une structure de jeux à “CAPAL-ASBL” qui vient en aide aux enfants autistes. Les appels à la solidarité continuent de se multiplier, le service-club continuera donc à financer des associations qui viennent en aide aux enfants.

Pour cette édition 2021, les Aubangeois auraient aimé faire rimer solidarité avec proximité et festivité. Conscient du contexte sanitaire encore incertain, il sera demandé comme l’an dernier aux participants de respecter les normes sanitaires en vigueur.

Le Tablathon 2020 en chiffres

1.821. Le nombre de participants au Tablathon 2020. Un chiffre qui a dépassé toutes les espérances des organisateurs.

1.242. Le nombre de Tablathoniens à avoir été au bout de l’effort et à avoir mérité leur médaille de finishers.

45.984. Le nombre de kilomètres parcourus par les Tablathoniens. Pour vous faire une idée précise de l’exploit réalisé, cela correspond à un tour du monde fait en 9 jours !

18.000 euros. Le montant récolté et qui a été intégralement reversé à trois associations : la Croix Rouge, CAPAL-ASBL et l’ASBL Mes Mains Pour Toi.

335,2. Le nombre de kilomètres parcourus par Mathieu Galerin, le vainqueur du challenge distance.

10. Le nombre de nationalités participantes. Une majorité de Belges et Luxembourgeois. Mais aussi beaucoup de Français (de Paris jusqu’à l’île de la Réunion), mais aussi un participant originaire du Groenland !

Informations et inscriptions sur : https://tablathon.be/

Virton : le centre de vaccination met en place de nouveaux canaux d’inscription

Image : ville de Virton

S’il y a quelques semaines (et même ces derniers jours) c’étaient aux doses de vaccins à se faire attendre dans les différents centres de vaccination, ici ce sont les volontaires aux vaccins qui manquent à l’appel. Au centre de Virton, de nombreuses plages horaires restent libres par manque d’inscriptions alors que les doses sont prévues. Le public concerné pourrait rencontrer des difficultés lors de l’inscription. 

La campagne de vaccination bat son plein actuellement en Wallonie et entre, d’ailleurs, dans un rush prévu puisqu’elle tourne actuellement (ou presque) à son plein régime ! On pourrait donc penser que les centres sont pleins et que les plages horaires mises à disposition afin d’accueillir les volontaires sont remplies. Ce n’est vraisemblablement pas le cas !

Passés les erreurs d’envois des convocations, la lenteur du démarrage de la campagne ou encore le lancement hasardeux de la plateforme Q-Vax, on pensait que la vaccination était lancée et entrait, dès lors, dans une longue ligne droite devant nous mener jusqu’à la ligne d’arrivée promise par nos gouvernements. C’était sans compter le manque de volontaires aux vaccins comme c’est le cas dans le centre de Virton, censé accueillir les Gaumais en quête d’une piqûre. De nombreuses plages horaires restent disponibles dans le centre de vaccination hébergé dans l’ancien Garage Opel François, situé au Val d’Away où on constate que le public a dû mal à s’inscrire.

Ainsi, voyant que des doses vaccinales utiles dorment au frais, les responsables du centre ont décidé d’élargir les vecteurs de communication et d’inscription.

On recherche des volontaires ! 

C’est d’ailleurs via les réseaux sociaux, entre autre, que le centre essaie d’attirer les candidats aux vaccins. Comme le prévoit le protocole, des vaccins destinés encore au public des plus de 65 ans et invité ainsi à se faire connaître : “Vous avez plus de 65 ans, vous souhaitez vous faire vacciner mais vous n’avez pas reçu votre convocation ? Vous l’avez perdue ? Votre code n’est plus valable ? Vous pouvez dès lors prendre contact avec le centre de vaccination où vous aurez l’opportunité de prendre un rendez-vous (dans la mesure des stocks disponibles).”

Une communication de centre de Virton afin d’accueillir un maximum de personnes. Et si vous vous retrouvez dans les cas énumérés ci-dessus, vous pouvez prendre contact avec le centre

Par téléphone entre 10h et 17h : 063 24 53 26
Par mail : inscriptionsvirton@gmail.com

Ou en vous rendant sur place où un helpdesk a été mis en place

Aucune dose jetée ! 

Alors que toutes les personnes de plus de 65 ans en Province de Luxembourg ont reçu leur convocation, le problème pourrait vraisemblablement résider en partie dans la perte de cette convocation (encore) ou simplement dans la difficulté rencontrée par le public lors de l’inscription sur la plateforme renseignée. Ainsi, le centre virtonais a mis en place plusieurs canaux d’inscription à la vaccination et se tient à disposition afin d’aiguiller au mieux les candidats au vaccin.

Quoi qu’il en soit, si la population Gaumaise se montre frileuse quant à l’administration dudit vaccin, le centre refuse de jeter des doses prévues. Ainsi, toutes les personnes de plus de 65 ans sont invitées par le centre à fixer un rendez-vous avec le personnel via les différents canaux à disposition.

La plateforme Q-Vax pourrait également venir au secours du centre virtonais mais le dispositif pourrait montrer ses limites quand on connait les différents impératifs liés au protocole de vaccination (programme de vaccination, contre-indication, livraisons des doses, etc…)

Gouvy : la Lupulus bientôt disponible en canette

Alors que certains avaient imaginé la trappiste Orval en canette pour en faire leur poisson d’avril, à Courtil, siège de la Brasserie Lupulus, on ne rigole pas avec ça ! Quelques breuvages créés en leurs murs sortiront bien dans des contenants métalliques. Une canette qui traine pas mal de clichés bien loin de la réalité puisqu’elle est l’emballage le plus adéquat pour ce type de boisson !

Anciennement appelée “Brasserie des Trois Fourquets”, la Brasserie Lupulus est installée depuis 2007 dans le village de Courtil (Gouvy). De fil en aiguille, ou plutôt, de bière en bouteilles, elle ne cesse d’accroître ses volumes de production en proposant ponctuellement de nouvelles bières sur le marché brassicole belge.

Alors que la pandémie frappe de plein fouet le secteur, les équipes de la Lupulus ne chôment pas en ces temps compliqués ! Puisqu’en ce mois d’avril 2021 viennent d’être conditionnées des canettes de bière sortie tout droit de leurs brassins.
Et si la brasserie gouvionne n’est pas encore équipée afin de mettre ses bières dans des contenants métalliques, elle a fait appel à une société extérieure hollandaise pouvant pallier à ce manque.
Ainsi quelques bières estampillées Lupulus sortiront tout prochainement dans des canettes mais ne seront pas forcément disponibles dans notre verte province. Ces emballages métalliques, pratiques pour le transport notamment, seront destinés de prime abord à l’exportation.

Trois canettes et deux nouvelles recettes

Comme l’explique Sudpresse, seulement trois variétés de bières seront mises en canettes, des bières presque inconnues du grand public. En effet, il ne s’agit pas des boissons telles que l’Organicus, l’Hopera, ou encore la Fructus, boissons houblonnées bien connues des amateurs régionaux. A l’occasion de cette nouvelle arrivée sur le marché de la canette, de nouvelles recettes ont donc été crées.

Tout d’abord, la Lupulus Neipa : une bière de style “New England IPA”, variante du style IPA, déjà bien connu dans le milieu craft, qui vient principalement des Etats-Unis. On retrouvera également la Lupulus Hoppy Wheat, une bière de froment, houblonnée à cru, très proche de la Lupulus Blanche ainsi que que la Lupulus Cryo Sabro qui contiendra quant à elle la traditionnelle Lupulus Triple.

Mais pourquoi en canette ?

Tout simplement parce que c’est l’emballage parfait pour la bière !

Alors que la canette traîne de très nombreux clichés, parfois reliés aux bières de mauvaise qualité, au goût aussi horrible que le geste de ceux qui les balancent dans les talus de nos campagnes, elle commence à s’imposer auprès des brasseries et devient le contenant privilégié.

Et si ces canettes métalliques ne sont pas encore bien présentes sur les étals de nos boutiques, il n’en reste pas moins que dans d’autres régions du globe, elles remportent un franc-succès. Attention, si les industriels la propose déjà depuis pas mal d’années, il s’agit ici d’une nouvelle tendance qui arrive auprès de micro-brasseries artisanales.

“Non, pas en canette, la bière sent le métal !”, combien de fois a-t-on déjà entendu cela ? Sortez-vous cette idée de la tête, elle est tout simplement fausse ! Pas question pour les canettes mises actuellement sur le marché d’altérer le goût de la bière. D’une nouvelle génération, elles préservent même bien mieux les arômes des boissons de par son opacité, ne laissant pas passer la lumière mais aussi de par son côté plus hermétique, alors qu’une capsule pourrait laisser s’échapper un peu de gaz. On parle d’une isolation totale du produit.

Le contenant parfait !

La canette est également plus pratique que les bouteilles, car elle est plus légère, empilable (coût et empreinte écologique moindres), presque incassable mais surtout compactable et donc recyclable, ce dernier argument auquel tient la Brasserie Lupulus ! En effet, elles sont 100% recyclables, tout comme le verre, mais le métal possède un cycle de remise sur le marché très rapide : cela prend au maximum 60 jours ! Et celui-ci est recyclable à l’infini.

Alors finalement, pourquoi ne pas mettre nos boissons régionales, comme la Lupulus, en canette ? Peut-être une question d’habitude mais aussi un point de vue psychologique que la brasserie Lupulus a décidé de balayer en proposant ce nouvel emballage !

Florenville : on lui vole 46 vaches salers en pleine nuit !

C’est un fait extrêmement rare qu’on nous rapporte ce weekend. Alexandre Lavigne, agriculteur de la région de Florenville a été victime d’un vol peu banal ; celui de 46 vaches de race salers. Les faits se sont déroulés dans la nuit de vendredi à samedi ! 

“Qui vole un oeuf, vole un boeuf !” Une expression connue de tous mais qui fait certainement moins rire ce cultivateur de Martué (Florenville) victime de ce vol peu banal.

Il est aux environs de 16h30 ce samedi quand cet agriculteur se rend compte, avec stupéfaction, que 46 vaches salers manquent à son troupeau, probablement volées à l’intérieur même de l’étable pendant la nuit. Les faits se sont déroulés entre le vendredi 21 h 30, moment où l’agriculteur a quitté ses bêtes rentrées à l’étable, et le samedi 16 h30 lorsqu’il s’est rendu compte de la disparition de ces 46 salers.

Loin de nos frontières

Alors que ce vol hors du commun aurait peut-être pu éveiller les voisins de part son ampleur et le bruit qu’auraient pu faire les ravisseurs mais également les bovins, il n’en est rien. De la lumière aurait cependant été aperçue dans l’étable aux alentours de 4 heures du matin comme l’indique le Parquet suite une enquête de voisinage. Fait étonnant lorsque l’on sait que la salers est une vache assez sauvage.

Peu connue chez nous, la salers est une race bovine française caractérisée par sa robe de couleur rouge bordeaux. Vache maigre à engraisser, elle produit à la fois du lait et de la viande de qualité.
Du fait que cette race soit peu courante et que les voleurs n’aient pas emporté les papiers d’identification du cheptel, les enquêteurs suspectent que ceux-ci soient déjà bien plus loin que nos frontières.

Malgré tout, la zone de police de Gaume reste sur ses gardes et lance un appel à toute personne ayant des informations sur ces faits inédits. Des renseignements utiles peuvent donc être transmis à la zone de police.

Libramont : John Roose, une inspiration divine pour la peinture (+vidéo)

Dans le cadre de “En piste les artistes !”, le projet culturel de mise en avant d’artistes habitant la commune de Libramont, nous sommes partis à la rencontre de John Roose, fleuriste bien connu mais également peintre autodidacte à ses heures perdues. Des œuvres bien plus qu’originales puisque le libramontois s’adonne à la création ou à la copie d’icônes religieuses. 

Si la peinture est un art que beaucoup pratiquent, parfois dans le plus profond secret, la passion qui anime John Roose depuis quelques années est aussi originale qu’elle n’est rare. Pour la commune de Libramont, il paraissait important de mettre en lumière cet artiste au domaine bien particulier, la peinture (ou écriture) d’icônes religieuses. En effet, depuis près de dix ans, ce fleuriste de l’Avenue d’Houffalize s’adonne à la copie ou à la réinterprétation mais aussi à la création de ces dessins représentant des personnages saints de la tradition chrétienne.

Et pourtant autodidacte…

“La peinture est quelque chose qui est venue avec le temps même si j’ai toujours eu un attrait pour cet art”, nous précise d’entrée de jeu John. “Il y a quelques années, suite à de gros travaux entrepris dans le rue où mon commerce se situe, j’ai eu un petit plus de temps pour moi. Ayant envie de peindre depuis un bon bout de temps, je me suis lancé. C’était le moment où jamais sinon j’allais déprimer”, nous confie John. Et pour ce fleuriste, cela a été plus qu’une révélation puisqu’à partir de ce moment, dès que quelques minutes se présentent à lui, c’est à l’aide de ses pinceaux et de ses créations colorées qu’il aime s’exprimer, cela s’apparente d’ailleurs à un besoin essentiel.

Alors que John n’avait jamais peint ou dessiné auparavant, c’est désormais un art auquel il s’adonne tous les jours ou en tous cas, dès que son emploi du temps lui permet. Un art particulier. “Je ne connais personne d’autre que moi qui peint ce genre d’œuvres”, explique ce fleuriste de métier. “C’est encore moins courant de nos jours d’ailleurs mais je suis porté par la foi.” Et s’il n’avais jamais tenu un pinceau dans ses doigts, John Roose a toujours aimé la peinture et le dessin, principalement tout ce qui touche au réaliste comme l’expression des visages même s’il nous avoue également apprécier l’art abstrait et le figuratif. Mais c’est à la suite d’une épreuve personnelle qui a marqué sa vie que John a trouvé la force dans la foi et la religion : “une de mes amies est tombée gravement malade et c’est à ce moment que je me suis tourné vers la foi. Cela m’a donné de la force qui m’a permis de l’épauler et de surmonter cette épreuve difficile”, nous confie-t-il.

Des créations qui interpellent 

Si les sujet religieux l’inspirent principalement, ce ne sont pas les seuls sujets sur lesquels John aime prêter ses pinceaux. C’est également l’environnement qui l’entoure qui inspire cet artiste autodidacte : “la nature m’inspire beaucoup au même titre que les fleurs, cela ne s’invente pas, je suis quand même fleuriste”, commente-t-il en rigolant. “Par exemple, une de mes dernières créations est née lors des chutes de neige cet hiver. Je ne me cantonne finalement pas qu’à l’art religieux.”

Malgré son talent reconnu actuellement, John n’a pas exposé directement ses œuvres au grand public dès le début de sa passion. “Au départ, je peignais pour moi sans jamais imaginer faire une exposition. En fait, cela s’est imposé avec les années. Et quand la bibliothèque m’a proposé ma première exposition, je me suis lancé et j’ai reçu beaucoup d’encouragements à la suite de celle-ci, ce qui me pousse à continuer !”
Depuis, John a déjà exposé à deux reprises. Des moments qu’il apprécie réellement tant les échanges avec le public peuvent être encourageants mais également enrichissants. “J’aime interpeller les gens via mes créations, les entendre dire que l’art religieux n’est plus au goût du jour ! Mais je peins avant tout avec le cœur et avec beaucoup de plaisir”, ajoute-t-il.

En pour conclure notre entretien, John Roose lance une invitation :” à tous ceux qui font un peu de peinture ou de sculpture à leur niveau dans leur coin qu’ils ne doivent pas avoir peur de se montrer et d’exposer. C’est partager et montrer ce que l’on sait faire. Il y a tout à gagner réellement.”
Son histoire le prouve, même en étant autodidacte, John continue à créer et à exposer ses œuvres. Des œuvres qu’il ne signe pas, car ce type de créations ne le permette pas, un vrai signe d’humilité.

Freylange : avez-vous vu le wallaby de Lora, évadé dans la nature depuis samedi ?

Mauvaise surprise ce weekend pour une citoyenne de Freylange, Lora Labbé. Avec son compagnon, ils possèdent un élevage de plusieurs wallabys depuis quelques années. Samedi matin, ils ont découvert avec stupéfaction que la clôture de leur parc avait été forcée laissant une femelle wallaby et son bébé prendre la poudre d’escampette dans la nature. Ouvrez l’œil !

“Un grand merci à la/aux personne(s) mal intentionnée(s) qui a/ont forcé la clôture de notre parc et qui a/ont laissé s’échapper une de nos maman wallaby qui portait un bébé. Elle est partie de Freylange en direction de Viville.” 

Voici le message que Lora Labbé a laissé sur les réseaux sociaux ce weekend. C’est en allant nourrir les animaux samedi matin que les jeunes habitants de Freylange ont découvert que la porte de l’enclos des wallabys avait été forcée. Il n’en fallait pas moins pour qu’une femelle portant son petit se fasse la malle, probablement en direction du village de Viville. Ce marsupial de petite taille est très rapide ce qui lui a permis de filer sous les yeux de ses propriétaires.

Ce mardi, l’animal n’avait toujours pas regagné son enclos malgré qu’il ait été aperçu sur des caméras de surveillance de la région. La femelle wallaby est donc toujours en vie. En ce qui concerne son bébé, si elle ne l’a pas perdu à cause du stress, il pourrait encore se trouver dans la poche ventrale l’abritant depuis sa mise au monde.

Que faire si vous croisez l’animal ? 

Lora explique : “si vous la voyez n’hésitez pas à m’envoyer un message ou à me téléphoner au 0497332935 ou au 0478769147. N’essayez pas de l’approcher elle est assez craintive et risquerait de s’échapper à nouveau.”

 

Arlon : le Faubourg 101 repris par Lucas et Milan Milano à la suite du décès de leur maman

C’était en mars dernier. Nataël Hatert, gérante de l’établissement arlonais “Faubourg 101”, décédait inopinément lors d’un voyage au Sénégal. Comme nous l’apprend Sudpresse, ses deux enfants, Lucas et Milan Milano ont décidé de reprendre le flambeau de leur maman prenant les rênes du restaurant tout prochainement. 

La terrible nouvelle n’avait pas tardé à provoquer un vif émoi dans le chef lieu arlonais. Lors d’un voyage au Sénégal en mars dernier, la patronne du “Faubourg 101”, Nataël Hatert, perdait la vie inopinément, secouant le monde de l’Horeca et des commerçants arlonais. Situé en face du Palais de justice, à la rue des Faubourgs justement, cet établissement bien connu dans la région perdait sa patronne, à la sympathie et au dynamisme extrêmes.

Reprise des plats à emporter cette semaine

Quelques semaines après le départ soudain de leur maman, Lucas et Milan Milano ont décidé de reprendre les rennes de l’institution arlonaise. La même équipe mais une carte réhaussée de quelques petites touches personnelles !

Comme l’explique Lucas Milano à Sudpresse : “je travaillais déjà avec ma maman. Cela me semblait tout naturel de reprendre l’établissement. Avec tout ce qu’elle avait mis en place, avec tout l’investissement qu’elle avait réalisé, c’était pour moi comme une obligation.” Le jeune homme motivé à l’idée de poursuivre l’œuvre de sa maman sera épaulé par son frère Milan dans la gestion quotidienne de l’établissement.

Si la date du 1er mai est attendue impatiemment pour tout un secteur, les deux frères espèrent réellement pouvoir ouvrir à nouveau les portes de la maison familiale rapidement. Quoiqu’il en soit, si l’attente est longue, les frangins Milano ne restent pas les bras ballants ; le service des plats à emporter reprendra dès cette semaine !

Aussi, c’est un côté plus “street-food” qui sera ajouté à la cuisine proposée, des plats à manger au bureau par exemple. Des nouveautés qui seront proposées dans une carte qui devrait évoluer quelque peu dans le futur. “On va garder les bases comme les burgers, les pâtes, etc. mais nous allons aussi renouveler les choses, histoire d’apporter notre touche personnelle”, explique le jeune homme.

Province : plusieurs rassemblements de personnes interrompus suite à des dénonciations

Ce weekend, quelques rassemblements de personnes ont été interrompus par la police suite à des dénonciations du voisinage. Le Parquet du Luxembourg parle de plusieurs infractions aux règles de confinement. Des rassemblements minimes et bien loin de ceux déjà organisés ces derniers mois dans notre province (Tintigny, Virton, Manhay, …)

Les habitants de la province dénonciateurs ? A en croire les quelques “lockdown party” interrompues par la police à la suite de dénonciations ce weekend, on pourrait penser que oui. Peut-être également le ras-le-bol de tout un pan de la population face aux mesures jugées contraignantes qui s’exprime de cette manière en pensant de même qu’il est utile que tout le monde participe à l’effort collectif afin de sortir de cette situation qui n’a que trop duré !

“Allo police ? Je vous signale que …” 

Quoiqu’il en soit, la police est donc intervenue à près de cinq reprises ce weekend pour mettre fin à des rassemblements aux quatre coins de la province sur base de dénonciations.

Ainsi samedi, à Manhay, la police est intervenue afin de stopper une petite fête d’anniversaire. Un rassemblement avec peu d’adultes mais de plusieurs enfants qui ont du retourner prématurément à leur domicile respectif. Des amendes ont été distribuées aux participants.

A Arlon, c’est une dizaine de jeunes en train de faire la fête qui se sont vus remettre une contravention pour non respect des règles anti-covid.

Même cas de figure dans le Centre-Ardenne où la police a dû intervenir auprès de neuf personnes en train de faire la fête.

Enfin, à Libramont, six mineurs, âgés de 15 ans, se trouvaient dans un jardin en train de discuter sans faire de bruit comme l’explique le Parquet. A l’arrivée des policiers, ils ont tenté de s’enfuir par les champs, mais ont été finalement attrapés. Une dénonciation qui proviendrait d’un voisin proche de l’habitation sur fond d’un conflit de voisinage.

Des situations qui soulèvent pas mal de questions et où chacun trouvera sa réponse. De vrais cas de conscience quoiqu’il en soit !

Derniers Articles