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samedi, décembre 13, 2025
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Arlon : un nouvel établissement horeca dans le centre-ville !

Pause Gourmande à Arlon

Ce 21 septembre, l’établissement Pause Gourmande, mêlant restaurant, crêperie et sandwicherie, a ouvert ses portes dans le centre-ville du chef-lieu.

Crêpes salées ou sucrées, salades, burgers, plats végétariens ou végétaliens, sandwiches, produits sans gluten : ces mets sont ceux proposés par Pause Gourmande, le nouvel établissement qui a pris ses quartiers à la rue des Faubourgs. À la manœuvre, on retrouve Sylvie Simon, une spécialiste culinaire qui entend bien se distinguer grâce à ses produits faits maison et ses livraisons à domicile.

Traiteur de formation, et née dans une famille de boucher, Sylvie est baignée depuis sa tendre enfance dans les produits de bouche. Après plusieurs années, cette passionnée de cuisine a opéré une petite reconversion professionnelle pour réaliser son rêve : ouvrir son propre lieu de dégustation. « J’ai voulu créer un cadre, un cocon où on se sent bien quand on vient déguster » nous confie Sylvie le jour de l’ouverture. « Avec Pause Gourmande, nous souhaitons nous différencier des concurrents. Grâce à notre triple activité, nous proposons des produits originaux, que l’on ne trouve pas nécessairement ailleurs ».

 

Des crêpes, des sandwiches et des plats de brasserie !

Cet établissement se veut en effet résolument différent des autres. Pause Gourmande se démarque dans le paysage arlonais grâce à sa stratégie trois-en-un : une crêperie, une sandwicherie et un restaurant.

La crêperie offre aux gourmets un assortiment d’une quinzaine de crêpes salées et sucrées. Confectionnées avec de la farine de sarazin, les galettes respectent la tradition ancestrale bretonne. Sylvie n’a d’ailleurs pas hésité à suivre des cours avec un chef spécialisé :

« Je suis tombé amoureuse de la Bretagne et un chef breton m’a enseigné les recettes pour préparer de véritables crêpes bretonnes ».

Sur le temps de midi, les Arlonais, les travailleurs et les étudiants peuvent acheter des sandwiches faits maison, ainsi que des salades et ou des raviers de fruits frais, par exemple. Les étudiants sont d’ailleurs mis à l’honneur puisque plusieurs formules « plat du jour » sont proposées par l’établissement. Objectif : manger sainement à un prix abordable.

Enfin, le restaurant se positionne comme une petite brasserie où les produits frais, de saison et faits maison sont les seuls à être autorisés en cuisine. Les clients peuvent bien entendu se sustenter avec les crêpes salées, mais des plats de type « brasserie » agrémenteront la carte du restaurant. Il également possible de venir simplement se détendre autour des multiples cocktails proposés par la maison.

Un service traiteur pour les plus pressés

À côtés de ces activités bien chargées, Pause Gourmande a aussi mis sur pied un service traiteur pour le moins pratique. Chaque jour, des menus entrée-plat-dessert sont élaborés dans les coulisses et disponibles via le service traiteur de l’établissement. Si les commandes peuvent être retirées directement sur place, Sylvie et son équipe propose également un service de livraison gratuit dans la commune d’Arlon jusqu’à 22h. De quoi soulager les personnes qui n’ont pas eu le temps de préparer le repas du soir.

De l’emploi et des cours de cuisine !

L’ouverture de Pause Gourmande est une nouvelle positive pour le commerce et le développement économique du chef-lieu de la province de Luxembourg. D’autant plus que trois personnes ont été engagées pour seconder Sylvie dans ses tâches. Deux étudiants rejoignent également l’équipe de temps à autre pour apporter un coup de main bien nécessaire lorsque c’est le coup de feu en cuisine.

Si le restaurant fermera ses portes chaque lundi et mardi soir, Sylvie n’en profitera pas pour se reposer. La cheffe va lancer des cours de cuisine deux fois par semaine, lorsqu’elle n’est pas derrière les fourneaux. « Les cours seront organisés via des thèmes : les fêtes de fin d’année, la Saint-Valentin, Pâques, etc. À chaque fois, nous apprendrons à cuisiner un menu trois plats (entrée-plat-dessert) en concordance avec la thématique choisie » nous explique Sylvie. « À la fin du cours, les participants dégusteront leur création autour d’un verre. Ce sera convivial et bon enfant ».

Alors, si vous avez désormais l’eau à la bouche, il ne vous reste plus qu’une seule chose à faire : vous rendre au 5, rue des Faubourgs. Sylvie et tout son équipe vous accueilleront les bras ouverts.

Marbehan : Beau succès pour le festival Hop n’roll Urban Edition avec Black M ! (Photos/vidéo)

Hop n'roll Urban Edition 2018 - #Festival #Marbehan #shootlux #blackm #sniper

Coup d’envoi réussi pour le festival le plus « décalé » de Belgique qui se déroule depuis 2004 dans le petit village de Marbehan.

Ce vendredi Hop n’roll Urban Edition ouvrait les hostilités, le public était au rendez-vous malgré un problème de timing dans la programmation du festival…

Hop n’roll Urban Edition 2018 – #Festival #Marbehan #shootlux #blackm #sniper

Après la prestation de Caballero & JeanJass, les figures montantes du rap Belge, Le public a eu droit à une petite surprise…

Le groupe SNIPER était eux aussi dans les bouchons sur l’autoroute !

« Vous savez les travaux sur l’autoroute, c’est pour tout le monde… même pour les artistes » commente Dominique Pairoux, l’organisateur du festival.

Malgré ce problème, l’organisation a réagi de manière rapide pour faire en sorte que l’ambiance reste au rendez-vous dans le chapiteau du festival de Marbehan.

Mission réussie pour le jeune DJ originaire de Mussy-la-Ville. DJ A.R.T a réussi à garder le public en haleine en attendant l’arrivée de l’emblématique groupe de rap/hip-hop français très connu avec le titre « Gravé dans la roche » qui aujourd’hui compte plus de 20 millions de vues sur Youtube. SNIPER a conquis le public avec un show assez impressionnant, les festivaliers ont eu l’occasion de profiter d’un vrai spectacle d’improvisation digne des plus grands rappeurs.

Pendant ce temps-là, attendu impatiemment par de nombreux festivaliers, Black M n’en pouvait plus d’attendre de monter sur scène pour mettre l’ambiance !

Il suffisait de voir l’agitation dans le carré V.I.P pour comprendre qu’un artiste devait y être ! En effet, Black M se baladait accompagné d’une armoire à glace à ses côtés dans l’enceinte du Festival. Un chouette moment pour de nombreux participants.

« C’est trop cool ! Il est très sympa, on a eu l’occasion de parler avec lui et même faire une photo » témoigne unE jeune festivalière avec le sourire !

L’avis de la rédaction sur cet événement :

Le festival de Marbehan, c’est toute une histoire ! Premièrement que dire d’une organisation aussi parfaite dans un petit village comme Marbehan ? C’est une très grande famille ce festival… Tous les bénévoles sont très sympa, et toujours prêt à faire en sorte que tout se déroule bien. Voir plein d’autres organisateurs, ou expert dans le domaine de l’événementiel mettre la main à la patte pour que tout se déroule bien, c’est génial pour notre région !

Nous gardons à chaque fois de bons souvenirs de ce festival auquel nous participons depuis maintenant quelques années. On rencontre toujours de chouettes artistes, et pour finir, l’ambiance à Marbehan c’est incroyable au final ! On rencontre des gens qui viennent de Liège, de Bruxelles c’est ça aussi qui est chouette.

Oberpallen: Guillaume ouvre une pâtisserie fine avec le Pall Center (+vidéo)

Ce 20 septembre, une nouvelle pâtisserie a vu le jour au Pall Center à Oberpallen.

Située à l’entrée de la galerie, cette pâtisserie concept se nomme “Taste. Lab”.

Éclair violette-chocolat, caramel-passion, fraise-basilic citron, spéculoos-framboise, moelleux au chocolat menthe fraîche, madeleine au miel,  ou encore tartelette pomme-spéculoos seront à la carte au Pall Center prochainement. Et celui qui ravira vos papilles , c’est Guillaume Chavée, un jeune entrepreneur de 26 ans, originaire d’Habay-la-Vieille.

Depuis maintenant 15 ans, la pâtisserie dont il est passionné, rythme ses journées. Rêvant d’indépendance depuis plusieurs années, il a trouvé un compromis en s’installant au Pall Center en collaboration avec madame Wickler.

Cette nouvelle pâtisserie concept, n’a d’ailleurs rien avoir avec les autres. Ici, les produits se veulent différents des autres, avec des goûts, des associations, des textures et des couleurs que l’on ne retrouve pas ailleurs. ” Je fais tout de A à Z, de la pâte à la crème pâtissière. Nous n’achetons aucun produit fini ou semi-fini. On part de la matière brut de base et on fait tout nous-même! Par exemple, nous achetons de vraies gousses de vanille alors que ce produit vaut de l’or maintenant, et que personne n’utilise par soucis de facilité.” De plus, la carte changera régulièrement et proposera des nouveautés, tout en suivant les saisons.

Favoriser le circuit court et les produits locaux ” On veut vraiment de la qualité !”

« Les produits utilisés, viennent principalement du Luxembourg et de Belgique, comme les pommes, les œufs, les fraises… C’est important pour nous de favoriser le circuit court et les produits locaux. De plus, ici au Pall Center, nous avons une serre qui nous permet de récolter nos propres produits, on peut aller se servir tous les jours c’est génial. Nous récoltons également notre propre miel, chose qui nous permet d’utiliser du sucre naturel et rendre certaines de nos pâtisseries moins sucrées. Et pour aller encore plus loin, nos boîtes en carton d’emballage sont biodégradables.»

Tout est fait maison, aucun arôme colorant n’est utilisé, aucune gélatine animale. De plus, des pâtisseries sans allergènes et sans gluten sont proposées. Tout est naturellement différent, comme l’indique si bien le slogan du Pall Center.

En tant qu’entrepreneur c’était un rêve d’ouvrir ta pâtisserie ?

Auparavant, Guillaume travaillait, comme second chef chocolatier chez Oberweis durant un an et demi, ensuite dans une pâtisserie à Bastogne et dernièrement, il a travaillé durant un an dans les centres de commissions européennes. Tout ceci s’est révélé être une belle expérience qui lui a permis d’acquérir beaucoup de technique et de maîtrise. Mais pour ce jeune qui en veut et qui aime pouvoir exprimer sa liberté et sa créativité, il y avait beaucoup trop de restrictions.

“J’ai toujours rêvé d’être indépendant, de pouvoir faire tout ce que je veux moi-même mais malheureusement en Belgique, c’est vraiment la galère pour se lancer. Plus aucune banque ne croit dans les projets de petits artisans. Je pense avoir trouvé ici le meilleur des compromis, avec le Pall Center. Nous sommes dans le même état d’esprit, nous voulons primer la qualité et les produits locaux. De plus, ici, je n’ai aucune limite, je peux vraiment faire tout ce que je veux au niveau de mes créations. Donc c’est vraiment tout ce qu’il me fallait, je ne pouvais pas rêver mieux.”

“Je crois que je peux même perdre un bras, je viendrais toujours travailler”

De l’originalité, Guillaume en a ! En passant par des madeleines à la lavande ou au thé matcha, et des tartelettes noix de coco, ananas, citron vert, il y a de quoi faire saliver, rien qu’à leur vue. Alors, si vous êtes amateur de sucré et de légèreté, votre cœur sera conquis  par ce jeune passionné!

Hondelange: Un cerf fait la course le long de l’autoroute avec une caravane! (vidéo!)

Qui a dit que ça ne roulait pas le dans le sud de la province sur l’E411 en direction de Luxembourg?

La preuve, un cerf a été filmé ce matin fonçant à tout allure le long de l’autoroute près de Hondelange.

Certains avanceront qu’il est probablement effrayé par la grippe porcine et qu’il veut tout simplement se réfugier au Luxembourg, loin de la maladie.
D’autres affirmeront qu’il montrait aux frontaliers un itinéraire bis pour se rendre au Grand-Duché, à vous de juger.

Arlon : c’est la rentrée à l’Académie des Beaux-Arts


La rentrée académique des Beaux-Arts a commencé.
Ouverte à tous, elle rassemble chaque semaine dans un cadre dynamique et convivial plus de 700 élèves de 6 à 80 ans autour d’une équipe de 17 professeurs tous artistes-pédagogues.

Seule académie organisant le domaine des Arts plastiques, visuels et de l’espace dans la Province de Luxembourg, elle accueille dans ses implantations d’Arlon, de Marche-en-Famenne et de Virton, des élèves provenant de toute la Province, mais aussi habitant les régions frontalières.

Cette académie très attractive, dont Véronique Henrot est la directrice à Arlon, nous informe que les inscriptions prendront fin le 30 septembre et il ne reste plus beaucoup de place !

Une multitude d’ateliers à prix réduit, sont proposés. En passant par des cours de formation pluridisciplinaire pour les enfants et adolescent à des cours plus particulier pour adultes tels que la gravure, la photographie, la sculpture, la peinture, … Ou des cours très originaux, tel que la création textile par exemple, qui s’avère être une chose très particulière dans  l’art et qui consiste à utiliser toute une panoplie de techniques autour du fil. L’embarras du choix s’offre à vous !

C'est la rentrée académique aux Beaux-Arts d'Arlon. Il reste des places, Dépêchez-vous!

Publiée par Véronique Henrot sur Jeudi 20 septembre 2018

L’objectif de l’académie des beaux-arts rencontre les trois finalités de l’enseignement secondaire artistique à horaire réduit. En effet, l’enseignement qu’elle propose vise à contribuer à l’épanouissement des élèves en promouvant une culture artistique par l’apprentissage des divers langages et pratiques artistiques. Il donne aux élèves les moyens et formations leur permettant d’atteindre l’autonomie artistique suscitant une faculté créatrice personnelle. Et, enfin, il offre un enseignement préparant des élèves à rencontrer les exigences requises pour accéder à l’enseignement supérieur artistique.

L’enseignement dispensé vise à favoriser la pluridisciplinarité et le décloisonnement des spécialités artistiques dont l’apprentissage est organisé en ateliers de pratiques artistiques. Il développe la curiosité des élèves, leur permet la découverte d’un large éventail de savoir-faire et l’acquisition de compétences propices au développement d’une créativité et d’une identité artistique singulières. Les thèmes de travail, de recherches et d’études sont proposés par les enseignants de manière à instaurer dialogues et partages permanents avec les élèves autant individuellement que collectivement.

Afin d’élargir encore les horizons artistiques et culturels, l’équipe pédagogique propose régulièrement l’accueil d’intervenants, l’organisation de stages et de conférences ainsi que des visites de galeries, foires, musées et expositions tant en Belgique qu’à l’étranger.

Les ateliers pluridisciplinaires pour enfants et adolescents, sont gratuits jusqu’à l’âge de 12 ans. On y retrouvera du dessin, de la peinture et du travail de volume. Véronique Henrot, nous explique que cela leur permet d’évoluer personnellement et de développer leur personnalité. Aucun enfant ne dessinera comme un autre enfant nous précise-t-elle !
Ces cours se donnent par tranche d’âge, 6-8 ans / 9-11 ans / 12-14 ans / 15-17 ans.
Le tarif adolescent est de 74€ par an et pour les adultes, 184€ par an.
Les cours se donnent une fois par semaine et un vaste choix d’horaires s’offre à vous.

 

Pour plus d’informations:
Site web: CLIQUEZ-ICI !
Page Facebook: CLIQUEZ-ICI!

Un Arlonais dénonce le manque d’infrastructures aux abords d’une école !

Un Arlonais dénonce le manque d’infrastructures pour les piétons et cyclistes aux abords de l’école de Barnich-Sterpenich

François Goergen habite Autelbas et dépose tous les jours sa fille de 4 ans à l’école de Barnich-Sterpenich. Il profite de la récente rentrée des classes pour dénoncer dans une vidéo la dangerosité de la route qui mène à l’établissement scolaire.

Chaque matin, c’est le même rituel pour François Goergen : déposer sa petite fille à l’école avant de partir travailler. Mais force est de constater qu’il ne s’agit pas toujours d’un long fleuve tranquille pour ce jeune père de famille. Dans une vidéo ludique sur YouTube visionnée près de 3000 fois, l’Arlonais dénonce le manque d’infrastructures réservées aux piétons et aux cyclistes entre les deux villages et l’école communale, et alerte sur la dangerosité de la situation. « Depuis Autelbas, le passage est tellement étroit que lorsque deux voitures se croisent, le cycliste ou le piéton se retrouve dans une situation très inconfortable ». De l’autre côté, depuis Sterpenich, le papa indique qu’il n’existe tout simplement pas d’aménagement prévu pour les parents et enfants qui désirent parcourir à pied ou à vélo les quelques centaines de mètres qui séparent le village de l’école. « Si on veut s’y rendre à pied ou à deux roues, on est obligé d’emprunter une zone à 90 km/h ! ».

Une situation déplorable pour cet éducateur physique : « Que l’on parte d’Autelbas ou de Sterpenich, cette route est dangereuse dans les deux sens. Le danger n’est pas que pour les cyclistes, c’est également le cas pour les piétons. Je suis convaincu que si rien ne change, il finira par y avoir un accident » confie-t-il dans des propos rapportés par Sudpresse. Selon le principal intéressé, il existerait bel et bien un projet pour remédier à cette problématique : un chemin qui relierait les deux villages pour que cyclistes et piétons puissent se rendre à leur école.

Du côté de la commune d’Arlon, on temporise. Selon André Ballon, l’échevin de la mobilité du chef-lieu, une voie piétonne avait été pensée et intégrée dès le départ dans le projet initial de la construction de la nouvelle école. Mais suite à plusieurs couacs indépendants de leur volonté (ce sont les chemins de fer qui devaient s’en charger) l’aménagement a été reporté. Il promet toutefois que les habitants pourront profiter de cette voie dans les deux ans qui arrivent : « Lors de l’installation de la station d’épuration le long du ruisseau de Barnich, on va en profiter pour installer un piétonnier pour 2020 » conclut l’échevin.

Pour l’auteur de la vidéo, ce problème est d’autant plus regrettable que l’école, elle, présente bien des atouts : « C’est une très belle infrastructure. Il y a même un système de contournement et un parking pour les voitures afin que les parents puissent déposer les enfants en toute sécurité » admet François Goergen. En somme, il ne manque qu’une voirie dédiée aux usagers faibles pour que l’établissement scolaire devienne un modèle du genre en matière de mobilité.

Arlon : Une grande surface va s’installer près de l’Hydrion !

En début d’année, nous apprenions que l’ancien garage Volkswagen Mazzoni était racheté par le groupe LLorens et déménageait provisoirement ses quartiers dans le zoning de Weyler – Arlon, à proximité de Garisart dans le cadre de son grand projet multimarque.

Aujourd’hui, nous apprenons que le magasin Lidl prendra sa place en face de l’Adeps à Arlon.

Un magasin LIDL flambant neuf sortira de terre en face de l’Adeps et à seulement quelques mètres du centre commercial de l’hydrion.

La chaine de distribution low cost LIDL prévoit en effet de quitter son emplacement actuel à la rue de Neufchâteau pour construire une nouvelle enseigne face au bâtiment de l’Adeps. Pour y parvenir, le groupe allemand aura besoin d’un espace suffisamment grand pour y aménager un magasin ainsi qu’un parking dédié à la clientèle. Et force est de constater qu’ils ne passeront pas par quatre chemins : pour dégager l’espace nécessaire, Lidl rasera l’ancien garage ainsi que trois maisons situées à proximité et qui ont été rachetées par l’entreprise. Le célèbre hard discounter a bel et bien confirmé l’achat des terrains afin de développer ses activités. La chaine se garde pourtant de tout excès d’optimisme et se montre prudente.

Par ailleurs, l’ancien garage VW s’est lui, offert un Show-room et un atelier provisoire en conservant les mêmes services (Vente, réparation mécanique/carrosserie) pour la marque VW près de Garisart en attendant la fin du chantier du projet multimarque prévu pour fin 2018. Ce jeux des chaises musicales transforme un peu plus le paysage urbain Arlonais mais s’inscrit dans une suite logique. Les magasins de grande distribution se voient renforcé leur emplacement dans le centre-ville tandis que le garage VolksWagen, racheté par Le groupe LLorens, déménage ses quartiers, comme la plupart des vendeurs automobiles, vers la périphérie de la ville dans un zoning industriel. Ce qui était le seul garage encore présent dans le centre-ville, n’est plus au profit du Lidl.

Un emplacement stratégique ? Une bonne chose pour le centre-ville ?

Si le projet venait à aboutir, il pourrait s’agir d’un joli coup commercial pour la firme allemande, qui désire se positionner durablement dans le sud de la province de Luxembourg. Et la zone repérée pour le nouveau magasin pourrait parfaitement convenir aux exigences de la marque. Grâce à une position stratégique, au cœur du carrefour commercial d’Arlon, l’emplacement se veut stratégique.

En s’installant près du complexe de l’Hydrion, Lidl pourra compter sur une meilleure visibilité et sur la fréquentation importante du centre commercial de l’Hydrion pour attirer un flux de consommateur à la recherche d’un supermarché de cette gamme et offrant des facilités d’accès.

Le festival Génération 80 à Marbehan : 140.000€ de budget !

Le 21 et 22 septembre prochains, le festival de Marbehan sera de retour pour sa 15e édition. Organisé par une équipe de bénévoles avec un budget de 140.000€, la tenue de l’événement relève chaque année du challenge.

Depuis maintenant 2004, le festival Génération 80 est devenu incontournable dans le sud de la Province de Luxembourg. Chaque année, l’événement propose une affiche éclectique et festive. Pour le cru 2018, les têtes d’affiche seront une nouvelle fois au rendez-vous, tant pour la soirée Hop n’roll Urban avec Black M, Sniper ou Caballero & JeanJass, que pour la soirée années 80 avec Plastic Bertrand, Lio, Partenaire Particulier ou encore Jean-Luc Lahaye.

Mais ce que le grand public ne sait pas nécessairement, ce que la préparation et la mise en place de l’événement représentent un véritable challenge pour les équipes.

Une organisation entièrement bénévole

Chapeauté par l’asbl Génération 80, le festival de Marbehan dispose d’un budget global compris entre 130 et 140.000€, dont un peu plus de la moitié est réservé uniquement aux cachets des artistes. Mais si le festival le plus décalé de Belgique peut aujourd’hui compter sur une belle réputation dans la Grande Région pour attirer un public toujours plus nombreux, il n’existerait tout simplement pas sans l’investissement de centaines de bénévoles. Grâce à leur temps et leur énergie, ces petites mains de l’ombre parviennent à mettre sur pied un événement qui bénéficie désormais d’une belle notoriété.

« Le festival de Marbehan, c’est entre 100 et 120 bénévoles pendant le week-end. Nous avons également une équipe de 20 personnes qui collaborent bénévolement avant et après la tenue de l’événement pour préparer l’édition suivante » nous confie Dominique Pairoux, le directeur du festival

Au fur et à mesure des éditions, l’asbl est aussi passée maître dans l’organisation d’un tel dispositif, en privilégiant une atmosphère et des relations conviviales avec le public et les artistes. Agnes, la mamie des bénévoles, nous confie ainsi que lorsque les célébrités arrivent, elles les considèrent comme ses enfants et les gâtent en conséquence. Une approche profondément humaine qui contribue indéniablement au succès de cet événement depuis plus d’une décennie.

Autre pierre d’achoppement pour les organisateurs : le prix des tickets. Avec un budget si limité, le prix des entrées est un débat qui revient régulièrement sur la table. D’ailleurs, en prenant en considération la logistique, le travail préparatoire nécessaire en amont du festival et la qualité de l’affiche, le public s’attend généralement à des tarifs élevés. Pourtant, une soirée au festival coûte souvent moins cher qu’un concert d’une heure et demi. Pour l’asbl, l’objectif est de maintenir le bon équilibre entre le prix des billets et le spectacle offert : « Par exemple, Sniper est venu dans une salle de concert au Luxembourg et le prix d’entrée était de 27€. Cette année à Marbehan, les spectateurs ont droit à 7 concerts pour 35€, y compris ceux des grosses têtes d’affiche comme Black M ».

Un exploit pour la province

Par ailleurs, la situation géographique de Marbehan a toujours représenté un challenge pour les organisateurs. « Pour les artistes, Marbehan n’est pas toujours une date très importante dans leur tournée car nous sommes situés dans le sud de la province » admet Didier Orban, le directeur artistique du festival Génération 80.

Le comité organisateur se démène toutefois depuis maintenant quinze ans pour signer des artistes et des groupes d’envergure. Une démarche qui porte ses fruits puisque le public répond présent en masse lors de chaque édition. Cette année, plus de 3.500 personnes sont attendues sous le chapiteau qui sera monté pour l’occasion.

Parvenir à réunir une telle foule dans un si petit village est un réel défi mais représente une belle vitrine pour la province et un magnifique exemple d’une manifestation qui allie à merveille culture et divertissement.

« Marbehan dynamise la Province de Luxembourg à une grande échelle. Le festival est même un pôle culturel pour la commune d’Habay, avec tous les autres événements de la région qui s’y déroulent » Dominique Pairoux.

Du côté des organisateurs et des bénévoles, on croise déjà les doigts pour que cette 15e édition soit un nouveau succès populaire, condition sine qua non pour conserver cette événement mythique lors des prochaines années.

Événement : CLIQUEZ-ICI!

Tarif
 :   Hop n’roll Urban Edition | 35€
Festival generation 80 | 35€ // Prévente VIP | 80€
Pass 2 jours (limité) | 50€
+ frais éventuelle

Infos pratiques :
– Adresse du festival : Rue des prés, 6724 Marbehan
– Comment accéder au site ? CLIQUEZ-ICI!
– Horaires :  vendredi 21 |19h00 à 02h30
samedi 22 |  16h00 à 02h30

Acheter vos billets en ligne : CLIQUEZ-ICI!

Points de vente : CLIQUEZ-ICI!

De plus, dormir sur place, c’est possible !
Le Camping Alaska se situe juste à côté du site, il vous suffit de réserver votre emplacement au (+32) 495 54 32 32. CLIQUEZ-ICI !

Travaux E411 Stockem-Sterpenich : des solutions ?

Hier matin, il fallait prendre son mal en patience, avec plus d’une heure d’embouteillage et 19km de bouchon. La raison ? la construction d’une troisième bande de co-voiturage et la rénovation du revêtement. Plusieurs citoyens se sont sentis désemparés et appréhendent beaucoup les mois à venir. Voici la réaction de certains d’entre eux….

Pour Manu, les travaux vont coûter beaucoup d’argent.
« J’ai passé 6 heures dans les embouteillages,ces travaux doivent durer au minimum 3 mois, si les conditions météos le permettent, et bloquent le matin et le soir les 43.000 personnes qui se rendent au Grand-Duché du Luxembourg pour travailler. Depuis l’ouverture, il y a deux jours, j’ai passé personnellement 6 heures dans les bouchons, en partant à 6h30 du matin. Cerise sur la gâteau, la SNCB a été totalement incapable de faire partir ses trains vers Luxembourg. Nous sommes donc piégés à la merci d’un licenciement pour faute si cette situation devait perdurer. Si on valorise les heures perdues, 2 à 3 heures par jour à 35 euros de l’heure, on peut raisonnablement estimer le coût réel à 3 millions par jours. À cela ajouté le mécontentement des résidents luxembourgeois dont toutes les routes secondaires sont saturées…. »

«Les travaux mal pensés coûtent simplement 3 millions par jour à la société. »

Quelles solutions ?

  • Pour Pierre, l’idée d’un chantier 24 heures sur 24 serait une solution pour accélérer la cadence.

  • Envisager des voies qui changent de sens en fonction des besoins du trafic ? 
    3 voies vers Luxembourg le matin, 3 voies vers la Belgique le soir ? Comme cela existe en Allemagne, et aux Pays-Bas.
  • Le télétravail comme solution temporaire ?
    Malheureusement, les jours fiscaux sont limités à 24 jours pour les belges. Et par ailleurs, le télétravail est très souvent proscrit pour le secteur bancaire en raison de ses risques liés à la confidentialité, alors que ce secteur est un des employeurs majoritaires au Luxembourg.
  • Utiliser les transports en commun ?
    Dans la théorie, ceux-ci ne devraient être plus efficaces en ces temps d’embouteillages répétés, mais comme le rappelle une internaute, encore faudrait-il que la SNCB tiennent ses engagements. 

 

  • Un itinéraire bis pour le Kirchberg, devenir le roi de Google maps ?

Certains proposent tout simplement l’idée de travailler… en Belgique.

Et vraiment… pour les plus téméraires : Prendre son vélo !

Par ailleurs, si vous avez des questions concernant les travaux entre Stockem et le poste frontière, sachez qu’une boîte mail a été mise en place pour recueillir vos messages : dgo1-32@spw.wallonie.be

Bon courage à tous les frontaliers ! 

HISTOIRE INCROYABLE : Starsky et Hutch parcourent le monde depuis 2006 pour l’environnement

Ce week-end avait lieu la journée du  « World Clean Up Day », en français, la journée mondiale du nettoyage du monde. A l’occasion, nous avons rencontré Starsky et Hutch, les explorateurs de l’environnement du 21ème siècle qui étaient de passage à Arlon.

Hutch, de son vrai nom Martin Hutchinson, parcourt le monde depuis 2006 afin de sensibiliser les gens à la cause environnementale. Après 34.000 kilomètres à pied, il a rencontré Starsky, un chien pas comme les autres qui l’accompagne désormais avec son vélo hors-normes.  Les deux explorateurs en sont à 14.000 kilomètres en deux roues et ont posé leurs valises à la caserne des pompiers d’Arlon ce week-end. Nous les avons rencontrés.

« Je suis sur la route depuis 12 ans maintenant et j’entame ma 13 ème année », nous raconte Martin, originaire de Manchester. C’est la troisième fois pour lui qu’il est en Belgique. « J’ai marché 34.000km à travers 21 pays en Amérique Latine. L’idée de la marche est de ralentir et observer la planète sur laquelle nous vivons. C’est une planète incroyable ! Mais plus je l’observe et plus je constate sa destruction. » Son but est donc de sensibiliser les personnes qu’il rencontre à la beauté de la planète et ô combien il est important de la préserver. Avec son chien Starky, qu’il a adopté au Portugal alors que celui-ci avait été abandonné près d’un canal, Hutch, comme il se surnomme a déjà visité plus de 600 écoles pour sensibiliser les plus jeunes « avec les moyens du bord ».

L’adoration des choses matérielles, la cause de notre perte…

À 57 ans, Martin dénonce l’éloignement que nous avons avec notre planète et l’adoration aux choses matérielles que nous portons. « Nous ne voyons plus la beauté qui émane de la Terre. Nous en sommes déconnectés et c’est la raison pour laquelle nous ne la respectons plus. Pourtant, c’est la plus belle chose au monde. Elle donne la vie, mais nous n’avons d’yeux que pour les choses matérielles.  Je veux d’abord apprendre aux gens à respecter la planète, car quand vous avez du respect pour quelque chose ou quelqu’un, vous en prenez soin ! »

Starsky, abandonné, adopté et maintenant au service de l’environnement!

Shootlux

D’ailleurs, Hutch prend soin depuis quelques mois de Starsky, son fidèle compagnon de voyage.  Starsky l’aide dans sa quête en ramassant les déchets et les mettant à l’arrière du vélo, jusqu’à ce que Hutch prenne le relais et qu’il trouve une poubelle pour les jeter.  « C’est un chien merveilleux. Il pense que c’est un jeu pour lui de ramasser les bouteilles vides ! »

Shootlux

«Le type de déchet ramassé en dit long sur la société… « 47 CANETTES de bières sur moins de 100 mètres en Belgique »

Les jours précédents, Martin descendait la province de Luxembourg en venant de Bastogne vers le sud. Il a constaté que d’innombrables déchets jonchaient les routes, comme sur la N4 par exemple. Pour lui, les déchets jetés sauvagement sont universels. Au Pérou par exemple, les autorités jetaient des camions entiers de déchets dans l’Amazone, cela l’avait particulièrement touché.

« Sur mon vélo couché, je vois les choses différemment, je suis à ras du sol. J’aimerais bien voir des fleurs et plus de nature le long des routes, mais il y a de plus en plus de détritus. Et ce qui m’inquiète en Belgique c’est le nombre de canettes de bières le long de la route. Cela montre que les gens boivent et conduisent en même temps. La beauté des déchets, c’est que vous pouvez y voir au travers l’attitude de la société dans laquelle vous êtes. Sur moins de 100 mètres, j’ai ramassé 47 canettes de bières ». Mais nous ne sommes pas les tristes gagnants du concours de déchets. Martin a également été particulièrement choqué au Portugal où sur moins d’un kilomètre, il a ramassé 431 bouteilles de plastique sur un seul côté de la route.

La Belgique aux yeux de Martin l’explorateur

« C’est un pays très intéressant du point de vue philosophique et social avec ses deux communautés qui essayent de vivre ensemble. Sur le plan de l’environnemental, je trouve que dans le sud c’est beaucoup mieux que dans le nord vers Anvers. J’ai une impression personnelle que c’est une influence de la France car ils font très attention à la propreté de leur environnement. En France, ils ont plus d’arbres, de fleurs dans leurs villages, surtout dans le centre du pays. » Avant de quitter notre plat pays, Martin a décidé de nettoyer les alentours de la caserne, et plus particulièrement les alentours du ruché. Il y a ramassé 36 canettes de bières dans les fourrés.

« Les gens laissent leurs déchets derrière eux alors qu’ils devraient être plus responsables et les reprendre avec eux. C’est juste une canette ici, mais vous allez  regarder autour de vous et c’est plein de déchets. Du coup, je ramasse et fais le travail de quelqu’un d’autre alors que les gens devraient le faire d’eux-mêmes. Quand vous prenez une canette, elle est lourde, une fois finie, il suffit de l’écraser, la ramener à la maison et la mettre à la poubelle.

Aujourd’hui, les explorateurs de l’environnement ont pris la route de Luxembourg. Ils passeront dans tous les pays d’Europe avant d’aller vers le Moyen-Orient, l’Inde et l’Asie. D’ici 2030, leur voyage devrait s’achever en Australie. Leur cause est noble.

« Les gens pensent que j’ai eu une expérience choquante qui m’a poussé à agir, mais non. J’étais pompier. Aujourd’hui, j’ai 57 ans. Je regarde en arrière et j’ai eu énormément de bons moments à découvrir cette planète et je veux que les gens aient la même opportunité ! »

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