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lundi, juin 16, 2025
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Ce samedi : Clara Morgane sera au Pall Center à Oberpallen !

Fan de Clara Morgane ? Pour ses films ou son talent de chanteuse ? 

Venez découvrir sa cuvée spéciale de Champagne Cazanove au Pall Center ce samedi 27 octobre.

L’ancienne mannequin, actrice de film X, reconvertie en chanteuse et animatrice TV fait désormais dans le Champagne. Pour les fans qui rêveraient de la rencontrer, une séance de dédicaces et une dégustation du Champagne auquel elle s’associe, sont prévus le samedi 27 octobre à partir de 14 heure à l’espace Chill&Eat du Pall Center à Oberpallen.

La dégustation de la cuvée spéciale rosée, gourmande… et fruitée se fera en sa présence. Une occasion pour vous de faire dédicacer les bouteilles mises en vente.

Nous avons bien dit les bouteilles, messieurs.  Et pour les plus chanceux, certains auront même droit à une photo avec elle. A vos agendas!

Arlon : le champion européen du food truck débarque ce dimanche !

Le champion européen du food truck fera une escale dans le chef-lieu ce dimanche 28 octobre et est bien décidé à vous faire saliver avec son Pulled Pork !

La nouvelle devrait ravir tous les amoureux de bonne chair et les gourmets de la région : le food truck Bammm BQ & Rôtisseur sera de passage à l’hôtel Van Der Valk ce dimanche 28 octobre. Champion d’Europe cette année, et double lauréat de l’award « Produit & Qualité », l’engin ambulant est spécialisé dans le barbecue spécial américain et plus particulièrement le Pulled Pork.

Le Pulled Pork, littéralement « porc effiloché », est une méthode de préparation du porc qui consiste à cuir les morceaux de viande à faible température sur une longue période de temps afin d’obtenir des pièces suffisamment tendres pour qu’elles puissent être effilochées. Chez Bammm BQ & Rôtisseur, cette spécialité américaine n’a plus aucun secret pour les chefs : la viande est cuite et fumée à basse température pendant 16h avec du bois de hêtre. À terme, la viande perd l’ensemble de sa graisse et est prête à être servie avec du coshloaw (choux blanc, rouge, etc) et une délicieuse sauce barbecue. Riche en goût, d’une tendreté extrême et fondante en bouche, le Pulled Pork des champions européens a déjà conquis les papilles de milliers de gourmands.

Pour atteindre un niveau d’excellence digne de ses récompenses internationales, le food truck travaille uniquement avec des ingrédients faits maison, de la préparation des épices à la préparation des plats.

 

Lors de son passage à Arlon, Bammm BQ & Rôtisseur proposera des formules à volonté :

  • De 12h à 15h : Brunch à volonté avec comme invité spécial le « Roast » et son délicieux Pulled Pork pour 33.50€.
  • De 16h à 18h : « Sunday Roast » avec une formule à volonté de 25€ qui comprend : le Pulled Pork, Salade, dessert.

Toutes les informations pratiques, ainsi que les coulisses de l’événement, sont disponibles sur la page Facebook de l’événement facebook en : CLIQUANT ICI

Réservation non obligatoire mais préférable par téléphone au : 063 23 32 22

Que se cache-t-il derrière la mystérieuse Zone 6700 ?

Une vidéo pour le moins étrange intrigue les habitants du Sud-Luxembourg depuis plusieurs jours sur Facebook et indique la présence d’une Zone 6700.

Depuis maintenant une bonne semaine, une mystérieuse vidéo circule sur Facebook et intrigue de nombreux citoyens de la région d’Arlon. Sur fond d’une musique angoissante, on observe un objet volant non identifié survoler la portion d’autoroute E411 entre la sortie Rulles et la sortie de Sterpenich. Si l’on ne voit jamais l’engin en question, celui-ci recouvre toute la région d’une ombre gigantesque et surprend même certains automobilistes médusés. À la fin de cette énigmatique vidéo, un message est adressé aux internautes : Zone 6700. Un lien renvoie par la suite vers le site web : EN CLIQUANT ICI , qui affiche un compteur géant pour prévenir d’un … atterrissage dans 29 jours. C’est-à-dire le 20 novembre prochain.

Depuis l’apparition de la vidéo, de nombreux habitants de la région se posent une question bien légitime : mais que se cache-t-il derrière la mystérieuse Zone 6700 ? Nouvelle zone militaire secret défense, à l’instar de la mythique Zone 51 aux USA ? Débarquement extra-terrestres dans le Sud-Luxembourg ? Si toutes ces hypothèses vous inquiètent, rassurez-vous … Shootlux pense avoir le fin mot de l’histoire !

Ouverture du Ikea Retail Park ?

Selon nos informations, la vidéo qui circule sur Facebook ne serait ni plus ni moins qu’un coup de communication bien ficelé pour annoncer l’ouverture de l’Ikea Retail Park, la nouvelle zone commerciale développée par Ikea à Sterpenich. La « Zone 6700 » correspondrait en réalité au code postal d’Arlon, la commune où sera implantée le Retail Park, tandis que l’atterrissage symboliserait l’ouverture du zoning. La date de cet atterrissage coïncide en effet avec la période dans laquelle le nouveau complexe doit être inauguré, c’est-à-dire à la mi-novembre.

Le géant suédois construit, depuis plusieurs mois, un zoning commercial de 11.000 m² juste à côté de son magasin. Il accueillera six enseignes flambant neuves qui offriront des prestations complémentaires aux services proposés par Ikéa. Parmi celles-ci, les futurs visiteurs devraient retrouver Intersport, Extra, Plumart, Maison du Monde ou encore Light Gallery. Une aubaine pour le géant de l’ameublement, qui voit l’arrivée de ces grandes enseignes comme une opportunité de renforcer son attractivité à travers une synergie de shopping et de divertissement pour tous les visiteurs d’Ikea.

Pour rappel, l’association des commerçants de la commune d’Arlon n’est pas favorable à l’implémentation de cette nouvelle zone commerciale. Selon la présidente Catherine Arnold, « ces grandes enseignes vont encore renforcer l’attractivité de cette zone commerciale au détriment du centre, alors que nous mettons tout en œuvre pour le dynamiser “.

Toujours est-il que l’Ikea Retail Park réussit là une jolie opération de communication, qui devrait porter ses fruits et attirer la foule lors des premiers jours d’ouverture. Rendez-vous le 13 novembre pour en savoir plus !

Une réussite pour le premier salon du livre à Etalle !

Ce dimanche 21 octobre se tenait le 1er salon du livre d’Etalle organisé par la bibliothèque et le comité de jumelage de Etalle-Clérieux au complexe sportif et culturel. Au programme, de nombreux stands de livres, des dédicaces d’auteurs, la présence d’éditeurs, des conférences et animations tout public ainsi que des dégustations de vins. Le bar et des collations étaient également prévus. Les accros de livres mais aussi les curieux étaient aux rendez-vous pour leur plus grand bonheur. Nous y sommes également allés faire un tour.

Nous y avons rencontré Corine, une bénévole. Elle témoigne du succès de cette première édition des amoureux de la lecture. « Pour l’instant, on a bien 600 personnes qui sont déjà  passées. C’est superbe ! »

Un peu plus loin, entre deux stands, “Stédo”, dessinateur de «Boulard» et des «Pompiers», vient tout juste de terminer une heure et demi de dédicace. Il n’a plus de poignet. C’est dès lors au tour de Servais d’entamer les siennes pour la sortie de sa nouvelle bd «Le chalet bleu».

L’édition de cette année étant une réussite, Corine, la bénévole et amoureuse de lecture, se réjouit d’avance de la suivante.« D’autres auteurs BD sont intéressés de venir en dédicaces pour l’édition de l’année suivante. » Amateurs de BD et de livres, à vos agendas!

La nouvelle législation sur la vente d’alcool

Smirnoff, Bacardi, Desperados, Whisky Coca : désormais interdits aux mineurs !

La nouvelle législation sur la vente d’alcool aux mineurs vient d’entrer en vigueur. Désormais, seuls le vin et la bière seront autorisés à partir de 16 ans.

Le plan alcool de la ministre fédérale de la santé Maggie De Block était attendu depuis longtemps par de nombreux observateurs de la santé publique. Il faut dire que les règles actuellement en place en Belgique étaient relativement floues. Jusque maintenant, les spiritueux obtenus par fermentation comme le vermouth étaient autorisés à partir de l’âge de 16 ans, contrairement à ceux obtenus par distillation. Un casse-tête insoluble pour beaucoup de spécialistes.

Mais dès aujourd’hui, tous les alcools seront purement et simplement interdits aux moins de 18 ans, à l’exception du vin et de la bière. Dans un communiqué issu de son cabinet, la ministre indique que « interdire pour interdire n’est pas la solution. Nous devons avant tout nous attaquer à la consommation problématique. Mais les règles relatives à l’alcool étaient trop complexes. Je veux clarifier les choses : entre 16 et 18 ans, seuls le vin et la bière seront autorisés ».

Cette nouvelle réglementation signifie donc que les fameux « pré-mixtes », ces boissons auxquelles on rajoute une autre boisson, un arôme alcoolisé ou un spiritueux, et dont raffolent certains fêtards, seront interdits à la consommation chez les mineurs. Les Desperados seront, par exemple, prohibés.

 

 La grogne du côté des associations

Si les nouvelles règles ont le mérite de clarifier la situation, les associations œuvrant dans le milieu de l’addiction n’accueillent pas favorablement le plan alcool. Dans un entretien au journal Le Soir, Martin de Duve, directeur d’Univers Santé et porte-parole du groupe Jeunes, Alcool et société, se montre déçu du nouveau plan : « Ce n’est pas une clarification réelle ».

« Nous avions proposé que si elle désirait garder deux paliers d’interdiction, 16 et 18 ans, on fixe à 16 degrés d’alcool la limite à ne pas dépasser pour les 16 et plus. C’est aisé et mnémotechnique. Ici, c’est flou, peu compréhensible, hors de portée des non-spécialistes. Comment un caissier de supermarché ou un tenancier de bar va-t-il utiliser cela ? C’est une fausse clarification » regrette-t-il.

«  Il n’y a rien de neuf. Ça ne change rien du tout »

Même son de cloche du côté de la province de Luxembourg, Marie Sainlez, coordinatrice du groupe alcool et loi dans le cadre du plan fête de la province s’étonne de cette nouvelle législation qui s’apparente plus un coup de communication plutôt qu’une réelle avancée. « Il n’y a rien de neuf sous le soleil. Ça ne change rien du tout à la situation actuelle et la loi n’a pas évolué d’un iota ! » Selon elle, le seul changement s’avère être l’interdiction de la desperados aromatisée à la tequila. «  Elle passe dans la catégorie des spiritueux. »

Le Maitrank interdit au moins de 18 ans !

« En soit il l’était déjà car il contenait du Cognac. Donc ça ne change rien. Enfaite, cette loi ne fait que compliqué les choses… Cette annonce est un coup de vent. Nous envoyons régulièrement des recommandations concernant la publicité pour l’alcool et plus de prévention, mais il y a un énorme lobbying derrière tout ça. » Travaillant depuis 12 ans sur ces sujet, Marie n’espère même plus voir de vraies avancées être mises en place. « Les recommandations existent depuis des lunes et rien n’est fait ! Quand on voit l’argent dépensé en publicité et celle en prévention, la différence est énorme. »  Selon elle, rien ne changera tant que le jury d’éthique publicitaire sera à la fois juge et parti. «  En effet, le jury d’éthique est composé de publicitaires, rien ne peux avancer en ce sens. »

Les alcopops, ces cocktails tout faits comme les canettes de Whisky-Coca, de gin tonic ou de vodka-citron, tombent également sous le coup de la nouvelle législation. Dans le registre des bières, les bières aux fruits, comme les Kriek, les Radler ou les Hoegaarden, resteront, elles, autorisées.

Voici la liste des boissons désormais sur liste rouge pour les jeunes en-dessous de 18 ans :

  • Les “pré-mixes” à base de bière auxquels a été ajouté un (arôme de) spiritueux
  • Les bières qui sont étiquetées, présentées ou commercialisées avec une référence à un spiritueux
  • Les “pré-mixes” à base de vin auxquels ont été ajoutés d’autres boissons ou produits.

Pour s’assurer que la nouvelle loi soit respectée, les commerçants ou les serveurs devront redoubler de vigilance en demandant une pièce d’identité en cas de doute sur l’âge du consommateur. La Ministre de la santé lance également un appel aux parents, qui ont un rôle à jouer dans l’adoption d’une consommation d’alcool responsable. « Cette limite d’âge n’empêche pas l’abus d’alcool. Nous devons expliquer aux jeunes quels sont les risques liés à l’alcool. Dans ce domaine, les parents remplissent un rôle important et, de manière plus générale, aussi dans le choix de boissons et d’aliments sains. Faire de la bière et du vin des fruits défendus les rend encore plus attrayants »

Un Arlonais présélectionné pour « N’oubliez pas les paroles » !

Et si un Arlonais devenait bientôt le nouveau maitre de N’oubliez pas les paroles ? C’est en tout cas l’espoir de François Perpète, qui passera devant le jury de l’émission le 30 avril à Metz.

Dans la vie professionnelle, il est agent de sécurité chez Vigicore. Mais dans le cadre privé, François Perpète voue une passion sans borne à la musique. À tel point que le jeune homme de 32 ans, originaire d’Arlon, a décidé de franchir une étape et de s’inscrire au casting de la célèbre émission « N’oubliez pas les paroles », diffusée tous les soirs sur France 2. Une idée qui lui a souri puisqu’il a été présélectionné et invité à se présenter à Metz pour la deuxième partie du processus de sélection.

« Ça s’est fait un peu par hasard. Un ami m’a contacté pour me dire qu’il a été auditionné et qu’ils ont validé sa participation. Il m’a proposé de tenter ma chance, et je me suis dit « pourquoi pas » » nous explique François.

Pour ce mélomane averti, c’est une grande première. Il n’a jamais participé à une émission télévisée. « C’est la première fois ! Tout simplement parce que j’ai une partie de ma personnalité qui est plutôt timide et que sur les précédents castings, je n’ai pas osé tenter ma chance. Cette fois-ci, je me suis dit “Essaye, tu n’as rien à perdre » nous confie-t-il.

Un long parcours

Avant de fouler le plateau de France 2 au côté de Nagui, un long parcours attend François. Il faut dire que les équipes de la production doivent respecter des conditions strictes avant d’envoyer un candidat à la plaine Saint-Denis pour le tournage de l’émission. « Déjà, pour être présélectionné, il faut appeler “N’oubliez pas les paroles”. Une charmante jeune femme prend ton appel et rempli un dossier de candidature. Ensuite, elle teste ta voix et ton niveau de chant. Tu dois chanter une chanson de ton choix au téléphone » nous dit François en rigolant.

« C’est assez particulier comme exercice, chanter au téléphone. Pour quelqu’un que tu ne connais pas du tout. Personnellement, j’ai choisi “Déjeuner en paix” de Stephan Eicher. Je me sens plus ou moins à l’aise dessus. Et ça a marché ! ».

L’Arlonais se rendra en effet à Metz le 30 avril prochain pour rencontrer la production et participer à plusieurs épreuves. Un questionnaire écrit, reprenant des textes à trou de chansons du répertoire français, permettra de juger le niveau de connaissance générale du candidat. S’il réussit ce premier examen, François devra chanter un morceau acapella devant l’ensemble des participants du casting, puis passer seul devant le jury, où une chanson imposée attend les personnes retenues jusque-là. Finalement, les derniers rescapés devront chanter face caméra, dans les conditions réelles d’un tournage, pour analyser leur gestion du stress et leurs aptitudes à être à l’aise sur un plateau. Si toutes ces épreuves sont réussies haut la main, le ou les candidats partiront à Paris pour le tournage de l’émission. Autant dire que le chemin est long, très long …

De Cabrel à La Fouine !

Si François Perpète est très heureux d’avoir été présélectionné, il ne fait pas de plan sur la comète pour autant et prendra les étapes les unes après les autres. « De base, j’ai plutôt une assez bonne mémoire. Le karaoké m’a pas mal aidé à connaître des chansons par cœur. Ceci dit, tu peux tomber sur Amel Bent, comme sur Gainsbourg ou sur Céline Dion. Autrement dit, c’est impossible de tout connaître sans se tromper » explique-t-il.

Les aficionados de N’oubliez pas les paroles savent en effet mieux que quiconque la difficulté du jeu. Plusieurs champions se sont déjà cassés les dents sur une bête faute. François pourra toutefois se rassurer en comptant sur ses grandes connaissances musicales et sur l’éclectisme de son répertoire.

« Je passe de la chanson française, au rap, au Punk-Rock très facilement. Je suis un passionné de musique, de guitares et de… Francis Cabrel. Ça “choque” souvent car ce n’est pas ma génération, mais pour moi c’est l’artiste le plus complet. Quand tu aimes la guitare et les jolies phrases, tu ne peux pas passer à côté de Cabrel sans ressentir quelque chose » raconte François, sourire aux lèvres.  « Sinon, Goldman, Michel Berger, Balavoine, ce sont pour moi des génies musicaux. Dans la musique plus actuelle, j’apprécie certains textes de La Fouine, Soprano et de Tunisiano ».

Chez Shootlux, on souhaite bonne chance à François et toute l’équipe est déjà prête devant son poste de télévision. Au cas où …

Fauvillers : un salon du mariage innovant !

Le petit village de Wisembach, près de Fauvillers, accueillera un salon du mariage qui fait chaud au cœur ce dimanche 21 octobre. Celui-ci mettra en valeur les personnes à mobilité réduite : une première dans la région.

Mettre en valeur la différence : tel pourrait être le leitmotiv de la première édition du Salon du Mariage de Wisembach. Organisé par Rita Gabriel, chef et traiteur gastronomique de la salle de banquets « Un Brin de Saveur », le salon entend se distinguer des autres événements du genre en valorisant les personnes à mobilité réduite, souvent laissées pour compte dans le microcosme de la mode. Ainsi, ce dimanche, la beauté n’aura pas d’handicap : les robes de mariées et les costumes seront présentés lors du défilé de mode par des mannequins valides et non valides, et par des hommes et femmes aux morphologies différentes. Un projet rendu possible par la présence de partenaires spécialisés dans l’habillement des personnes à mobilité réduite, comme la Maison Schmit Beaufays Men et la styliste Sandrine Dauchot, qui fera honneur de sa présence.

À travers ce défilé, Rita Gabriel souhaite populariser le travail de fond de l’association Back to Sport. « Il s’agit d’une asbl créée par des kinésithérapeutes et ergothérapeutes qui œuvrent bénévolement à l’intégration de personnes présentant un handicap physique, dans des défis sportifs » confiait récemment Rita.

« L’idée est de montrer que cette diversité et cette différence nous enrichit. Ce n’est pas parce qu’une personne est en fauteuil roulant ou unijambiste qu’elle ne peut pas être élégante ». À terme, Rita aimerait changer le regard des gens sur les standards de beauté.

Un salon intimiste 

En dehors du défilé, les visiteurs pourront arpenter les allées du salon et aller à la rencontre de nombreux spécialistes en prestation de mariage. Photographe, coiffeur, habillement, expert en décoration, professionnels de la restauration : toutes les composantes nécessaires à l’organisation d’un mariage seront représentées et prêtes à fournir des conseils avisés aux futurs mariés. Sont d’ores et déjà annoncé pour cette première édition : l’institut de beauté Carpe Diem, Schmit pour Elle, Chaussure Jack Line, Il était une fleur, Boulangerie Stouvenaker, La cave des Sommeliers, Coiffure Hair Box, le photographe Eric Devillers et Sergio Animation.

Le salon n’a pas la prétention de se positionner comme le plus grand rassemblement de professionnels du mariage. Au contraire, il s’agit avant tout d’une réunion à taille humaine, où l’ensemble des partenaires ont été sélectionné pour la qualité de leurs services et leur confiance. « Il s’agit de notre première édition et notre but est surtout de faire de cette journée, un beau moment de partage et de tolérance » conclut Rita.

Toute les informations pratiques sont disponibles sur le site officiel du salon : EN CLIQUANT ICI 

Steinfort : le Top Chef Thomas Murer ouvre son propre restaurant !

Photo : PIERRE OLIVIER/M6

L’ancien candidat de Top Chef Thomas Murer va ouvrir son premier établissement le 31 octobre prochain. Il y proposera une cuisine raffinée et bistronomique, mais accessible.

Le plus célèbre chef cuisinier du Grand-Duché va prochainement se lancer dans une nouvelle aventure : ouvrir son premier restaurant. Après deux ans de bons et loyaux services aux manettes du « Aal Schoul », Thomas Murer a en effet ressenti le besoin de voler de ses propres ailes et de prendre les commandes de son propre établissement en compagnie de son épouse Emeline. « L’école est finie ! » a expliqué Thomas Murer dans une vidéo Facebook.

Situé au cœur de Steinfort, l’établissement proposera une cuisine où se mélangeront plats classiques et gastronomiques, mais à des tarifs accessibles pour toutes les bourses. Les clients pourront déguster une entrée entre 10 et 20 euros, et des plats de résistance à partir de 22 euros. « Nous travaillerons avec des produits du terroir. Mon but est de pouvoir faire plaisir aux gens avec un rapport qualité-prix raisonnable » confiait récemment Thomas Murer.

Photo : Thomas MURER Top Chef

Le restaurant se nommera An Der Villa et prendra ses quartiers dans la sublime villa Collart, mise à disposition par la commune. « C’est un travail de titan et je suis fier de pouvoir travailler dans cet endroit magnifique » explique le chef, qui espère pouvoir ouvrir les portes dès le 31 octobre. « Tout ne dépend pas de moi. Les différents corps de métier travaillent d’arrache-pied, mais il est vrai que sur une bâtisse aussi grande, les travaux sont très importants et les retards s’accumulent. Il est sûr et certain que dès le début novembre le restaurant sera bel et bien ouvert ». Il faut dire que la conservation du patrimoine architectural et historique est prise très au sérieux par la commune de Steinfort. Dans cette optique, plusieurs bâtiments anciens sont en train de faire peau neuve. La magnifique Villa Collart en fait partie, mais la « transformation prend du temps ».

Si les préparatifs se déroulent comme prévu, le bal des réservations devrait débuter dès le 23 octobre. Le chef donne déjà rendez-vous sur sa page Facebook officielle pour toutes les informations pratiques : EN CLIQUANT ICI 

Un parcours de rêve

Thomas Murer est une figure bien connue dans la région. En 2016, l’homme originaire d’Alsace avait marqué la septième saison de l’émission culinaire Top Chef en atteignant la demi-finale grâce à des plats signatures originaux mettant en valeur les produits. Depuis, il officiait derrière les fourneaux du restaurant « Aal Schoul » à Hobscheid, où sa personnalité médiatique et surtout ses talents de chef ont permis à l’établissement d’acquérir une belle notoriété. L’an dernier, Thomas Murer était repris dans la catégorie « Découverte Gault et Millaut », avant de faire une entrée fracassante au guide Michelin il y a quelques mois.

Tintigny : Goldaze remixe un titre de Henri PFR !

Goldaze frappe un nouveau coup ! Après deux tubes qui bourdonnent encore dans toutes les têtes, l’artiste natif de Rossignol sort aujourd’hui son tout premier remix officiel. Il s’est confié à l’équipe de Shootlux sur ce nouveau projet ! 

Dans le milieu de la musique électronique en Belgique, Brice Plainchamps, alias Goldaze, n’est plus à présenter. Propulsé sous la lumière des projecteurs il y a deux ans avec le tube « Lights Of My Hometown », en featuring avec Florent Brack (gagnant de The Voice 2015 et originaire d’Herbeumont), le Luxembourgeois a encore tourné sur les ondes cet été avec le morceau « Color ».

Aujourd’hui, la carrière artistique de l’actuel régisseur du Centre Culturel de Rossignol prend une nouvelle tournure, et peut être même un tremplin. Goldaze a sorti son tout premier remix officiel après avoir été repéré par Henri PFR pour remixer son dernier titre Catching Butterflies. Son morceau sera diffusé sur toutes les plateformes via Universal à partir de ce 17 Octobre 2018 !

« Sortir un remix officiel pour artiste connu et reconnu, c’est clairement une super opportunité. Je vais bénéficier d’une couverture médiatique assez importante grâce à Henri PFR. Cela va me permettre de me faire découvrir par un nouveau public. C’est aussi une belle reconnaissance car cela valide mon travail » nous explique Brice, plein d’enthousiasme.

La mise en relation entre les deux artistes belges s’est réalisée de manière très simple, à travers les réseaux sociaux. Après avoir été contacté directement par Henri sur Instagram pour collaborer sur son dernier morceau, Goldaze est parti le rencontrer au MPA Festival à Dampicourt où les deux jeunes hommes partageaient justement l’affiche. S’en est suivi une discussion technique et passionnée, qui débouche donc aujourd’hui sur un remix officiel. Les deux acolytes n’exclus d’ailleurs pas de collaborer à nouveau ensemble dans le futur. « Je vais d’office lui proposer mes nouveaux tracks » nous dit Brice.

Du plaisir et un nouveau single

Si cette prestigieuse collaboration est assurément un coup de pouce bienvenu, l’artiste électro ne fait pas de plan sur la comète pour autant. Brice préfère progresser étape par étape et se laisser porter où son talent peut l’amener : « D’un point de vue de ma carrière, je n’ai pas vraiment de plan précis. Je prends les choses comme elles viennent. Mon objectif, c’est avant tout de m’amuser et de prendre du plaisir quand je suis en studio ou sur scène ».

À moyen et long terme, l’objectif du musicien est de faire grandir son projet. « Le but, c’est de faire grandir mon projet et de proposer de la qualité. Faire des bons morceaux et des bons mix. Si la qualité est là, le reste suivra » nous explique-t-il. « C’est derniers mois, je me suis fait des contacts solides dans le milieu. Mon réseau s’étoffe et ce sera très utile pour mon prochain single ». 

En attendant, Goldaze travaille activement sur son nouveau projet musical. En exclusivité pour Shootlux, l’artiste nous confie « que ce sera une voix féminine qui chantera sur le morceau ». Programmé pour une sortie fin d’année, le titre sera assez frais avec des touches de funk et de disco très énergique. La nouvelle création musicale reflétera une nouvelle fois le style caractéristique de Brice : « Trouver son style, c’est ce qui a de plus difficile dans la musique. Mais j’ai le sentiment d’avoir trouvé mon créneau ces derniers mois. J’oscille entre deep-house et future-house avec une couleur disco-funk. Mon remix de Catching Butterflies se situe dans ce style là aussi »

Goldaze nous rassure d’ailleurs sur un point : ces prochains tubes respireront la joie de vivre ! « J’essaye maintenant de faire des morceaux plus optimistes car j’avais tendance à composer dans un registre un peu mélancolique ! ». 

La province de Luxembourg, parent pauvre de la culture ?

Enfin, si le succès de Goldaze mérite d’être mise en avant de la sorte, c’est aussi parce qu’il se produit dans un contexte très particulier. La province de Luxembourg dispose en effet de très peu de moyens pour venir en aide aux jeunes talents à la recherche d’un soutien leur permettant de passer un cap dans le développement de leurs projets.

D’ailleurs pour Brice Plainchamps, notre région est loin d’être un eldorado professionnel. « Honnêtement, ce n’est pas facile. Il y a peu de structure au niveau des musiques électroniques. La province de Luxembourg est le parent pauvre de la culture de manière générale. Toutes les rencontres importantes qui m’ont permis d’avancer ce n’est pas ici que je les ai faites. Heureusement qu’internet existe, ça permet tout de même de se mettre en relation avec pas mal de monde.»

Une situation d’autant plus incompréhensible que la province verte regorge d’hommes et de femmes qui portent des projets innovants. « C’est dommage qu’il n’y a pas plus de structure alors qu’on a des artistes de qualité. Je pense notamment à DJ ART » conclut Brice.

Arlon : l’école L-Danse fête ses 1 an !

Spectacle L-Danse 2018 - #shootlux

L’école de danse L-danse vient de souffler son premier anniversaire. À l’aube de la prochaine saison, nous sommes allés à la rencontre des deux passionnées qui ont créé un espace unique au cœur d’Arlon.

Il y a tout juste un an, Marjorie Gentilini et Olivia Marchand ouvraient l’école L-Danse au cœur de l’Espace Callemeyn à Arlon. Les deux complices y enseignent la danse classique, moderne, contemporaine, le jazz, le hip hop, la psychomotricité, pilates, le stretching et la gymnastique douce. Au sein de deux salles modernes et entièrement remises à neuf, les élèves découvrent une discipline qui mêle art et sport, qui aide à travailler la musculature, développe le sens du rythme et qui fait la part belle à la souplesse, l’équilibre, à la grâce et la maîtrise du corps.

Ceci dit, l’ouverture de l’établissement ne s’est pas réalisée en un claquement de doigt. Elle a nécessité beaucoup d’investissement humain et un travail rigoureux pour se donner toutes les cartes en main. « Nous avons du tout apprendre en même temps : la gestion d’une école de danse demande beaucoup de cordes à son arc, comme la comptabilité, le secrétariat et le nettoyage. Tout ça en plus de la préparation des cours » expliquent les deux jeunes femmes.

Aujourd’hui, Marjorie et Olivia tirent un bilan positif de cette première saison. « Au départ, nous avions un peu peur de nous lancer. Car c’était un grand saut dans le vide. Mais on a été entourées des bonnes personnes pour ouvrir l’école et elles nous ont aidées à mener à bien notre projet. Aujourd’hui, nous en tirons un bilan positif, d’autant plus que cette première année a été très chargée en événements avec la préparation du spectacle. Nous nous entendons toujours aussi bien et ne regrettons pas notre choix de travailler ensemble » nous confient-elles.

Les deux passionnées désirent développer encore davantage leur studio et mettre sur pied de nouveaux projets. Il faut dire que les deux jeunes femmes ont une expérience longue comme un bras : diplômées d’État à Paris (l’une en jazz, l’autre en danse contemporaine), elles font leur apprentissage à l’école de danse Nicole Aimont à Arlon, où elles ont enseigné pendant plus de dix ans et joué un rôle primordial au sein de cette école renommée pour la qualité de ses cours; mais aussi à l’ADEPS, où elles enseignent la danse, toujours en binôme lors de stages complets en un temps record.

Des invités internationaux

L’une des particularités de L-Danse, c’est la possibilité de participer à des stages en présence de professeurs invités, très souvent réputés dans le milieu de la danse. « Nous essayons de faire connaitre d’autres styles à nos élèves, qu’ils aient la chance de travailler avec des professeurs de renommée » nous explique-t-on.

Une approche qui est amenée à se poursuive dans le futur, tant le succès est au rendez-vous. Après avoir reçu Maëlle Dufour, la danseuse de Loïc Nottet, et Pascal Loussouarn, L-Danse continuera d’accueillir de nouvelles têtes. Fin avril 2019, l’école recevra la visite de Béatrice Buffin, professeur de danse contemporaine, diplômée d’état, danseuse et chorégraphe.

Les bienfaits de la danse

Avant de quitter Olivia et Marjorie, nous leur avons demandé comment elles décriraient leur passion et comment elles initieraient une personne à la danse. « Pour initier quelqu’un à la danse nous parlerions : d’évasion, et d’expression des émotions au travers du mouvement, de l’ambiance bonne enfant qui règne dans l’école et une réelle cohésion entre les élèves sans compétition comme ça peut être le cas dans ce milieu.

« Les bienfaits sont nombreux : confiance en soi, gestion des émotions ainsi que les bienfaits corporels, se sentir bien dans son corps » ont-elles conclut avec enthousiasme.

Sur leur page Facebook, un fan disait très justement : « L-Danse, mais surtout L-Rayonne, L-Brille, L-Imagine ». On ne peut que lui donner raison !

Pour les plus curieux, les informations pratiques relatives à l’école L-Danse à Arlon peuvent être consultées soit via la site officiel : EN CLIQUANT ICI ou via la page Facebook : EN CLIQUANT ICI 

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