L’asbl clôture l’année sur un résultat record. Les donateurs se sont montrés particulièrement généreux en 2018. Les responsables espèrent faire encore mieux en 2019.

L’association Un Geste pour Evalentine aborde cette fin d’année avec le sourire aux lèvres. Et pour cause : les dons ont dépassé les plus folles attentes des bénévoles et l’asbl a battu son record. Après avoir récolté seulement 900€ il y a trois ans lors de la fondation de l’association, les dons atteignent cette année 15.291€. Une somme élevée, mais qui n’est malheureusement pas suffisante pour faire face à la maladie et payer les frais des recherches scientifiques.

Pour rappel, Un geste pour Evalentine est une association en l’honneur d’Eva et Valentine, deux jeunes filles victimes du cancer de l’enfant. L’association travaille en partenariat avec la Fondatioun Kriibskrank Kanner qui accompagne au quotidien les familles d’enfants atteints d’un cancer ou d’une maladie rare à danger vital. Elle soutient activement la recherche onco-pédiatrique avec un seul but : traiter mieux et plus.

« La page Facebook a été créée afin de venir en aide à la Kriibskrank Kanner. L’intégralité des fonds récoltés par notre page est directement versée à cette fondation luxembourgeoise qui accompagne au quotidien les familles (Luxembourgeoises et frontalières) d’enfants atteints d’un cancer ou d’une maladie rare à danger vital » explique l’asbl. « Eva et Valentine ont bénéficié de cette assistance avant de nous dire au revoir bien trop tôt ».

Un nouvel an en faveur de l’association !

Le 31 décembre prochain se tiendra la Shootlux New Year Party, dont la solidarité sera le fer de lance de cette soirée-événement. Chaque année, une partie des bénéfices est reversée à des associations locales qui luttent contre la pauvreté ou la maladie. En 2017, un chèque de 2.000€ avait été remis à « Soleil d’hiver », l’abri de nuit d’Arlon.

Pour l’édition 2018 du réveillon solidaire, Shootlux a retenu deux associations qui œuvrent pour le bien-être des enfants atteints d’une maladie grave, dont Un Geste pour Evalentine. La seconde association est HTAP Arthur, créée en l’honneur Arthur originaire d’Etalle, décédé à 4 ans d’une maladie orpheline, et qui œuvre afin d’aider la science dans sa recherche contre les maladies orphelines.

Toutes les informations pour la soirée sont disponibles en cliquant : ICI

Des ventes aux enchères contre la maladie !

Pour récolter les dons, l’association compte sur la générosité de ses donateurs et met en place des ventes aux enchères d’objets collectors ou de maillots sur Facebook. En novembre dernier, la mise en vente d’un maillot dédicacé des Diables Rouges, que l’école Saint-Bernard d’Arlon avait gagné à un concours quelques mois avant et que les élèves ont offert à l’association, a permis de récolter 1.500 euros.

Un autre exemple marquant est la mise sur pied l’opération « Tour de France pour Evalentine » afin de mettre en vente des maillots dédicacés de cyclistes professionnels et offerts généreusement par les coureurs ou les équipes. Les vareuses Dries de Bondt, Rémy Mertz, Gaëtan Bille ou encore Maxime Monfort ont permis d’amasser des milliers d’euros en faveur de la recherche contre la maladie.

Les pièces de collection font l’objet d’une publication sur la page Facebook et une mise de départ est déterminée. Des enchères sont alors placées en commentaires par toute personne qui souhaite remporter ce collector. « Nous prenons contact avec le gagnant via message privé et nous lui envoyons les coordonnées bancaires de la Fondatioun Kriibskrank Kanner afin qu’il verse le montant dû directement sur le compte de la KKK.  Nous convenons d’un “mode de livraison” pour le cadeau » détaille l’association.

Par la suite, les responsables restent en contact avec la Fondation et, dès confirmation de la bonne réception des fonds, reprennent contact avec le vainqueur pour la livraison de l’objet. « L’argent passe directement du compte en banque du vainqueur à celui de la Fondation sans intermédiaire. Le vainqueur reçoit quelques jours plus tard une attestation de don de la part de la Fondation » précise-t-on.

A l’heure de tirer le bilan de cette année 2018, les responsables de l’association n’ont qu’une seule chose à dire :

« Nous sommes fiers. Heureux. Épatés. Nous souhaiterions vous remercier tous, acheteurs, donateurs, « partageurs », « likers », … Vous êtes des héros ! Merci ! EVA et VALENTINE sont certainement fières de vous aussi ! »

Le restaurant Aal Schoul, situé à deux pas de Steinfort, change de nom et de style à partir du 3 janvier 2019.  Les menus vont se recentrer sur les viandes luxembourgeoises.

Souvenez-vous : en mars 2017, le chef Thomas Murer avait surpris tous les observateurs en annonçant son départ du restaurant Aal Schoul. Après deux ans de bons et loyaux services aux manettes du restaurant qui rencontre un succès fulgurant, l’ancien finaliste de la septième saison de Top Chef avait expliqué ressentir le besoin de voler de ses propres ailes et de prendre les commandes de son propre établissement en compagnie de son épouse Emeline.

Une décision qui se répercute aujourd’hui sur l’identité et le style du restaurant. Guy Kirsch, le boucher bien connu des luxembourgeois et premier actionnaire du restaurant, a décidé de profiter du départ du chef Murer pour réaliser un rêve : offrir encore plus de
produits carnés, mettre davantage en valeur sa viande de bœuf maturée, ses charcuteries et tout ce en quoi il croit. En réalité, il rêve d’offrir un endroit où tous les carnivores pourront se faire plaisir, tout simplement.

Le paradis de la viande

C’est la raison pour laquelle le restaurant Aal Schoul va changer de style à partir du 3 janvier 2019, et recentrer sa carte sur la viande luxembourgeoise, fournie par … Kirsch le boucher, bien entendu. Re-baptisée “Aal Schoul, l’école du boucher”, c’est une cuisine authentique qui attend non seulement les amateurs de bonne viande mais aussi tous ceux qui partagent la philosophie “du champ à l’assiette”, avec une carte qui fait la part belle aux producteurs locaux.

Les équipes derrière les fourneaux se veulent rassurantes. La philosophie du restaurant est intacte. “Du champ à l’assiette, c’est ainsi qu’Aal Schoul a toujours défini sa façon de faire. L’école du boucher poursuit sur la même voie. Parce que les circuits courts sont les meilleurs, c’est la richesse du terroir luxembourgeois qui inspire la cuisine proposée, avec des produits sélectionnés directement chez les producteurs locaux” explique le restaurant.

Des produits frais qui inspirent le chef luxembourgeois Gilbert Welter, membre de Euro Toques qui se fait un devoir de proposer une carte qui les respecte. Et si la viande est à l’honneur, pas de panique, le chef a sous le coude des suggestions pour satisfaire tout le monde, même si vous êtes végétarien ou vegan.

Le cadre exceptionnel d’Aal Schoul reste le même, mais le restaurant renforce son ancrage boucher. Dans un vrai comptoir de boucherie seront présentées les viandes sélectionnées pour vous quotidiennement par Kirsch le boucher.

“Chaque morceau de viande de boeuf labellisé Lëtzebuerger Rendfleesch – produit du terroir luxembourgeois – montrera sa propre carte d’identité, en totale transparence. Dans le restaurant également, un frigo de maturation exposera les morceaux de viande de boeuf, en train de bonifier, et qui se retrouveront sans doute un jour dans votre assiette” concluent les équipes, impatientent de se lancer dans cette nouvelle aventure … carnée !

Aal Schoul, l’école du boucher
33A, Grand-Rue
L-8372 Hobscheid
(+352) 28 85 09 – aal-schoul.lu

Les promoteurs du projet de réaménagement de la Place Léopold ont présenté ce lundi soir les détails techniques du futur chantier.

La projet de réaménagement de la Place et du Parc Léopold est dans les tiroirs de l’administration communale depuis de nombreuses années. Le chantier, qui a fait couler beaucoup d’encre lors de la dernière campagne électorale, semble toutefois validé. Du côté d’Arlon, on précise en tout cas qu’on ne fera pas machine arrière.

Ce lundi soir, les auteurs du projet se sont vus confier la délicate mission d’informer et convaincre les riverains et les commerçants du centre-ville du bien-fondé de ce réaménagement. Comme le rapporte nos confrères de TV Lux, les auteurs ont détaillé pendant près d’une heure les contours du futur parking souterrain et ses aménagement en surface. Histoire de séduire l’audience, les responsables avaient préparés une série de clichés en 3D et une vidéo futuriste pour se plonger dans le centre du chef-lieu en 2022.

La Place aux piétons ?

Dans cette vidéo, on y découvre une Place Léopold entièrement réaménagée avec du mobilier urbain moderne, et réservée aux piétons. L’architecte Pierre Ebbelinck, développe alors toute sa force de conviction, exhortant les Arlonais à s’approprier la future place Léopold. “Un espace libre est une invitation à y circuler ce qui n’est pas le cas actuellement. On ne sait pas jusqu’où l’appropriation va aller mais pour l’instant la ville manque de lieux emblématiques. Vous avez une chance énorme ici à Arlon d”avoir un tel espace aussi qualitatif”.

Du côté de la mobilité, la vidéo montre qu’une dizaine de places de parking seront installées le long du palais provincial, tandis que le parking souterrain sur deux niveaux disposera de 192 places (contre 167 actuellement). Les promoteurs ont longuement insisté sur cette partie du projet, tant cette question est la préoccupation numéro une des commerçants, en grande difficulté depuis plusieurs années.

Lors de la réunion, TV Lux rapporte qu’un commerçant a fait part de son désarroi. Selon lui, on devrait laisser davantage de places en surface car sinon, cela risque d’accentuer la raréfaction des endroits de stationnements à Arlon. D’autres boutiques avancent l’idée de créer un niveau souterrain supplémentaire pour augmenter l’offre de parking. Un solution techniquement réalisable, mais qui n’est pas prévue dans le plan.

Prochainement un débat ?

Selon l’architecte Jacques Davin, les travaux devraient débuter à la mi-2020 et dureront deux grosses années. Les promoteurs indiquent par ailleurs que le chantier ne se fera pas à ciel ouvert durant toute cette période. L’enceinte du parking, les piliers principaux et la pose de la dalle en surface seront réalisés avant le début du souterrain. De cette manière, l’excavation et la construction se fera sous le couvert de la dalle et permettra de libérer le stationnement en surface durant une grande partie des travaux. Mieux, les nuisances sonores et la poussière du aux travaux devraient être réduits.

En fin de soirée, plusieurs résidents ont mis en avant les questions de mobilité en vélo, la sécurité des étudiants pendant le chantier ainsi que l’accès à la pleine de jeu adjacente à la Place. Le bourgmestre Vincent Magnus a réagi en indiquant que les remarques seraient prises en considérations. Il a également confirmé, en réponse à une question, qu’il y aurait bel et bien un parking de substitution.

Dans l’assemblée, certains Arlonais(es) et élus de l’opposition regrettent l’absence d’un débat citoyen, notamment sur le coût du projet qui avait déjà animé la campagne électorale. Une thématique qui reviendra, à coup sûr, en séance du conseil communal.

Les habitants de la commune pourront toutefois se faire entendre via la plateforme (Arlon CVOUS -Citizen Lab) assure Vincent Magnus, bourgmestre de la ville d’Arlon.

La chaine publique belge a consacré vendredi dernier un reportage à la boisson mythique d’Arlon. Mais force est de constater qu’ils n’y ont pas été avec le dos de la cuillère pour décrire les habitants de la province.

L’émission “On n’est pas des pigeons”, qui permet de décrypter les codes marketing pour que le consommateur puisse faire son choix sans se faire berner, est partie faire une petite excursion dans les contrées lointaines de la province de Luxembourg. Un exploit en soi, puisque généralement, la Belgique s’arrête au niveau de Namur pour les chaines de télévision.

Pour la rubrique humoristique sur la gastronomie belge “C’est bon, c’est belge”, Samy Hosni et son acolyte sont partis à la découverte du Maitrank avec une seule question en tête “Comment boire du Maitrank sans avoir mal à la tête ?”. Débarqués au beau milieu d’Arlon, les deux hommes sont allés à la rencontre de Betty, qui tient un café rue des Faubourgs, et Francis Dubois, le Grand Bailli du Maitrank.

Mais pour l’équipe de la RTBF, la boisson à l’aspérule odorante, c’est un verre mais pas deux car “c’est un truc de Luxo”. Ce qui n’est pas entièrement faux. Mais où cela dérange, c’est la séquence qui suit. Sur un ton volontairement provocateur et second degré, les luxembourgeois sont décrits avec peu de respect. “Les luxos, ce sont les luxembourgeois. Si vous regardez les séries belges, elles sont souvent tournées au Luxembourg. Généralement, on vous montre de jolies vues aériennes de forêts de sapins … et des gens pas tous nets !” commence le journaliste. “Costauds, résistants au froid, ils ont des voitures affublées d’un autocollant de sanglier”. Pour voir la vidéo c’est ici !

Comment boire du maitrank sans avoir mal à la tête ?

Au menu de “C’est bon c’est belge” : la nouvelle série humoristique sur la gastronomie belge, on vous sert du maitrank. L’apéro ardennais par excellence. A Arlon il y a même de la choucroute et de la confiture au maitrank. Côté recette : du vin de…

Par la suite, le reportage indique que la province possède quelques attraits touristiques : “le championnat d’Europe de pizza, des sapins, le pâté gaumais et … des sapins”. Un reportage humoristique, qu’il ne faut pas prendre au pied de la lettre, mais qui démontre une nouvelle fois le peu d’estime envers la plus grande province du pays et la méconnaissance totale du patrimoine qui la compose. Sans rancune !

Un très grave accident de la route s’est produit ce mardi matin dans la commune de Virton. Les pompiers ont été dépêchés sur place.

Il est 6h du matin lorsque Lionel Marson, un jeune homme de 25 ans, perd le contrôle de son véhicule à la rue de l’Église, dans le petit hameau de Saint-Remy (Virton). L’embardée se termine quelques mètres plus loin dans le ravin à proximité du passage à niveau, note nos confrères de l’Avenir. A l’heure actuelle, nous ne savons toujours pas pour quelle raison l’automobiliste n’a pas réussi à maitriser sa voiture.

Les services de secours, les pompiers de Virton ainsi que les policiers de la zone Gaume, appelés par un résident de passage, se sont immédiatement rendus sur les lieux de l’accident.

Très grièvement blessé, Lionel Marson est décédé de ses blessures.

L’école Hénallux Arlon organise actuellement une grande opération caritative en faveur de l’ASBL Les Samaritains. Les dons peuvent être déposés jusqu’au 20 décembre.

C’est une opération qui fait chaud au cœur : le campus arlonais de la Haute École Namur-Liège-Luxembourg et ses élèves d’assistant social en première année organisent une collecte de dons en faveur de l’association Les Samaritains. Cette grande mobilisation de générosité a débutée le 10 décembre dernier et durera jusqu’au 20 décembre.

Les Samaritains est une association sans but lucratif qui a été créée en 1994 par Claude Vander Elst, dans le but d’aider par une distribution hebdomadaire de soupe et sandwichs en été, et d’un repas chaud en hiver, les sans-abris et autres déshérités de Bruxelles. Les bénévoles essayent aussi de leur fournir des couvertures et des sacs de couchage et cela en fonction des dons qui nous parviennent.

Chaque année à l’approche de Noël, les Samaritains lance l’opération Shoe Box (autrement dit, boites à chaussures) afin de récolter un maximum de dons, qu’il s’agisse de cadeaux ou de vivres non-périssables. Les boîtes sont ensuite emballées comme des cadeaux de Noël et offertes aux plus démunis de la capitale, y compris des enfants.

“Parce que tout le monde à droit à un cadeau de Noël”

Le principe d’une opération Shoe Box est simple : vous prenez une ancienne boite à souliers, et vous la remplissez des produits que vous désirez offrir. Vous emballez ensuite le tout, et vous déposez votre colis dans le local prévu à cet effet. Les organisateurs se chargent alors d’apporter les dons à l’asbl partenaire.

Photos de l'opération Shoe Box des Samaritains en 2017

1 de 9

La liste des produits acceptés

“De nombreuses écoles ont déjà participé à cette opération. Elles l’ont fait de différentes manières. Soit en passant le mot aux parents d’élèves, qui ont préparé des boîtes à la maison, soit en rassemblant les boîtes et les vivres et en les emballant avec les enfants” détaille-t-on du côté de l’asbl. “Certains organisent même la production et la vente de confitures pour acheter le contenu des boîtes, tout en y ajoutant un dessin réalisé ou un petit mot rédigé en classe par les enfants”.

Du côté d’Arlon, l’opération menée par Hénallux est basée sur ce principe de la Shoes Box. Les dons peuvent être déposés au sein du campus Callemeyn, dans la salle des Colonnes, au pied du sapin de Noël. La salle est ouverte entre 7h30 et 18h. La coordinatrice de l’abri de nuit d’Arlon viendra chercher les boites en fin de matinée vendredi.

Afin que les dons puissent être offerts au plus grand nombre, voici les produits ou objets qui sont acceptés par l’association :

• Denrées non-périssables prêtes à être consommées (conserves, fruits secs, sardines en boites, etc), et dont l’ouverture est facile
• Boissons non alcoolisées
• Cadeaux en tout genre, comme les jouets. Ceux-ci doivent être en bon état et ne présenter aucun dégât qui pourrait mettre en danger un enfant.
• Cartes de vœux

“Les donateurs peuvent également spécifier, sur leur(s) boite(s), pour quel public (enfant ou adulte) sont destinés leurs cadeaux” précise Elise Bernard, la responsable communication et événements de l’école.

En 2006, 2.850 boites avaient été récoltées. L’an dernier, l’association avait atteint le chiffre record de 32.643 boites. Les élèves arlonais d’Hénallux espère bien, à leur échelle, participer à l’établissement d’un nouveau record. On compte sur vous !

Des informations complémentaires sur l’asbl sont disponibles sur leur site officiel ou sur le site web de l’opération Shoe Box.