L’apéritif gaumais La Tendera, qui avait annoncé l’arrêt définitif de sa production, a trouvé deux repreneurs. Il s’agit de deux amis originaires de Ethe et profondément attachés au terroir de leur région. Les deux comparses souhaitent pérenniser l’entreprise.
Au début du mois d’août, l’entreprise qui produit la boisson La Tendera, un apéritif à base d’aspérule, avait annoncé l’arrêt de sa production après quinze ans de bons et loyaux services. Le créateur Hugues Bernet souhaite en effet tourner la page, consacrer davantage de temps à sa famille et se concentrer sur son activité principale.
La nouvelle avait déçu de nombreux gaumais, habitués à siroter un verre et surtout inquiets de voir disparaitre une spécialité locale. Il faut dire que le breuvage, né en 2004 grâce à Hugues et son ami Kévin Hendrick, avait réussi à séduire le palais des amateurs grâce à ses arômes épicées et une plus grande douceur que son concurrent le Maitrank.
Deux gaumais pour reprendre la production
Mais l’inquiétude aura été de courte durée. Un duo de repreneurs est venu frapper à la porte pour sauver cette institution du Sud-Luxembourg. Deux Cassîdjes pure souche, Florent Baulard et Sébastien Arendt, poursuivront ainsi la production et la commercialisation de cette boisson aromatisée à l’aspérule. Très attachés à leur région et à ses produits locaux, c’était pour eux comme une évidence que cet apéritif devait trouver repreneur. Et c’est donc en toute logique qu’ils se sont portés volontaires afin de continuer la production.
Le but, dans un premier temps, sera de pérenniser la production de la boisson avant de peut-être augmenter celle-ci et faire voyager ses bouteilles en dehors de la Gaume. La Tendera a donc encore de beaux jours devant elle. La prochaine et première production sera disponible dès la mi-novembre maximum. La Tendera sera toujours à vendre dans les points de vente habituels et d’autres à venir.
Le Palais du Rire d’Arlon rempile pour une deuxième saison, avec une programmation plus riche et plus variée. Cette nouvelle saison comprendra neuf spectacles, au rythme d’un spectacle par mois, d’octobre 2019 à juin 2020.
Après une phase « test » largement réussie (3 spectacles, tous complets, d’avril à juin
2019), les organisateurs du Palais du Rire n’ont pas ménagé leurs efforts. Ils proposent cette fois une saison entière de spectacles dédiés à l’humour au public arlonais. Cette nouvelle saison comprendra un total de 9 spectacles, au rythme d’un spectacle par mois, d’octobre 2019 à juin 2020).
La programmation de cette nouvelle saison met à l’honneur des artistes dont les profils et
les humours sont variés : stand up, sketches, humour noir, tant belges que français et même un suisse. Certains enchaînent les dates dans les salles belges et françaises, apparaissent en
télévision, font des chroniques en radio, sont régulièrement primés dans des festivals d’humour reconnus tandis que d’autres ne demandent qu’à montrer leur talent au plus grand nombre.
Le 17 octobre, le Palais du Rire accueillera Les Jumeaux et leur spectacle « Grands Crus Classés » pour ouvrir avec beauté la nouvelle saison. Le mois suivant, c’est Farah qui foulera les planches. Working Girl dans la finance le jour, stand-upeuse la nuit, Farah démonte les stéréotypes et les clichés. Uette humoriste et chroniqueuse belge qui fait de l’humour noir mais didactique. Enfin, c’est Karim Duval, qui clôturera l’année. Il proposera un spectacle drôle, cynique et bourré d’auto-dérision, en se faisant le porte-voix de tous ces vingt-trentenaires, symboles d’une société en pleine mutation.
Des artistes reconnus et des découvertes
Le 16 janvier 2020, les spectateurs pourront découvrir Alexandra Pizzagali. Elle fera la part belle à ses textes acerbes et percutants où elle raconte et se raconte, sans filtre, sans mesurer la justesse, l’extravagance ou l’horreur du propos. En février, Seb Mellia sera présent avec son sourire de sale gosse pour livrer un stand up authentique, entre impros maîtrisées et anecdotes personnelles hilarantes. Guillermo Guiz sera quant à lui sur scène le jeudi 5 mars pour présenter son second one-man-show.
En mai, c’est une humoriste moins connue qui fera ses débuts au Palais du Rire. DENA est une Bruxelloise aux origines iraniennes qui a commencé l’humour, il y a trois ans. Elle s’est immédiatement faite remarquer grâce à ses anecdotes personnelles et ses observations frappantes. Enfin, c’est Charles Nouveau qui aura la charge de clôturer la saison en juin. Avec son spectacle Hors-Jeu, l’humoriste helvète d’origine franco-espagnole se consacre
entièrement au jeu du ballon rond et de son univers, à la façon stand-up. Seul en scène, il vous délivre plus d’une heure de vannes 100% foot, pour le plus grand bonheur des amoureux de ce sport, mais étonnamment aussi pour ceux qui le détestent.
L’humoriste Funky Fab, en juin dernier.
Rire dans la convivialité
La formule des spectacles proposés par le Palais du Rire reste inchangée. L’objectif est de
se retrouver dans une philosophie “Jeudredi” consacrée à l’humour. Dans cette optique conviviale, il est proposé au public de rejoindre le Palais dès 19h00 afin de déguster des produits régionaux dans une ambiance « Afterwork ».
Les spectacles débutent à 20h30 et ont lieu dans la salle de l’ancien Palais de justice
d’Arlon. Celle-ci est idéale afin de créer l’ambiance d’un Comedy Club avec un nombre de
spectateurs limité (120 places) permettant une vraie proximité entre le public et les humoristes. Le prix des places reste lui aussi inchangé : 16,99€ par spectacle, frais inclus. Des prix démocratiques auxquels les organisateurs sont attachés.
Pour rappel, le Palais du Rire a été créé au début de l’année 2019 par deux amis, Antoine et Jean-Baptiste. Shootlux les avaient d’ailleurs rencontré. Fervents amateurs d’humour de tous genres, ils ont remonté leurs manches afin de pallier au manque de possibilités de découvrir de nouveaux humoristes dans le Sud-Luxembourg. Le résultat : un Comedy Club mensuel dans un lieu intimiste favorisant une certaine proximité avec les artistes, le Palais à Arlon.
Les premiers spectacles se sont déroulés d’avril à juin 2019 et ont vu évoluer sur scène Tania Dutel, PE ainsi que Funky Fab et Louise. Ces 3 soirées ont été couronnées de succès et se sont toutes déroulées à guichet fermé.
L’arlonais David Schweicher, qui avait disparu dimanche avant d’être retrouvé sain et sauf, s’est à nouveau volatilisé. Le parquet du Luxembourg relance un avis de recherche.
Le soulagement aura été de courte durée pour les proches de David Schweicher. Le jeune homme de 26 ans, originaire d’Arlon, avait disparu de la circulation dimanche vers 17h à Namur, avant d’être retrouvé sain et sauf dans la région bruxelloise. Mais le parquet du Luxembourg annonce aujourd’hui que l’arlonais a de nouveau pris la poudre d’escampette. L’avis de recherche, diffusé à la demande du parquet, division Arlon, a été donc réactivé.
David mesure 1m85 et est de corpulence mince. Il a les yeux bleus et les cheveux châtains coupés court. Il porte des lunettes et a une barbe de plusieurs jours. Au moment de sa disparition, il portait un pantalon gris foncé, un pull blanc cassé et des chaussures noires. Dimanche, au moment de sa première disparition, il venait de quitter Grand Hôtel de Flandre, situé Place de Station à Namur.
Si vous avez des informations sur cette disparition inquiétante, veuillez contacter les services de police au numéro gratuit 0800/30.300.
Ce vendredi 20 et samedi 21 septembre 2019, à l’occasion de la rentrée littéraire, plus d’une trentaine d’auteurs et dessinateurs se rassembleront au Shopping cora Messancy. Il s’agira de la première édition du Salon Littéraire « A la page ».
Une occasion unique et originale de promouvoir le talent des auteurs de notre
belle région, mais aussi des quatre coins du pays et du Grand-Duché du Luxembourg. La particularité de cet événement est de regrouper différents styles de littérature. Des auteurs de roman bien sur, mais aussi des auteurs de littérature jeunesse et des dessinateurs de BD et de manga. Une sélection a été faite afin de présenter au public un large choix de
littérature.
Les rencontres d’auteurs et les séances de dédicaces rythmeront le salon dans l’ensemble du centre commercial, tous les jours de 10h à 19h. Tous les auteurs seront présents pour parler de leur livre, les dédicacer et les vendre. A noter, la présence de Jean-Claude Servais de 17h à 19h le vendredi 20 septembre. « Durant ces deux jours, notre centre commercial accueille un événement culturel important. Il mettra en lumière les auteurs et dessinateurs venus des quatre coins de la Belgique » nous explique Charles-Emmanuel Thirion, le responsable du Shopping Cora Messancy.
« Notre volonté est de créer un véritable point de rencontre entre les visiteurs ou amateurs de littérature et les auteurs afin de stimuler l’échange, le partage de leur histoire et la découverte de nouveaux romans, BD et autres livres. Tout cela dans une ambiance festive et décontractée ! ».
Des expositions littéraires
En complément, de nombreuses animations sont prévues pendant les deux jours. Vendredi et samedi, de 10h à 19h, les visiteurs pourront profiter de l’exposition “Passe-moi l’expression (belge si possible…)” inspirée de l’ouvrage de Michel Francard « Tours et Détours – Le Retour ». Sur les coups de 11h, une lecture sera organisée par Annie Wauthoz à partir de grandes illustrations présentées dans un théâtre en bois. La lecture est accompagnée de musiques et de bruitages, et est accessible aux enfants âges entre 3 et 11ans.
Le samedi de 14h à 18h, Laura Cech et Michelle Troupin seront présentes pour “Contes, histoires de femmes qui ont traversé les siècles“. A la même heure, les curieux pourront s’essayer à la calligraphie dans l’atelier d’Albert Kroëll-Clausse. Les petits seront quant à eux ravis avec l’atelier de gravure sur papier de l’artiste local Kroëll-Clausse.
Voici les listes des auteurs qui seront présents pour le plus grand plaisir des bibliophiles : Jessica Lefèvre, Philippe Conter, Lorraine Dossogne, Quentin Liffey, Dominique Billion, Maud Roegiers, Grégoire Maureen, Charlotte Bellière et Ian De Haes, Richard Jean-Jacques, Sylvain Laurent, Esmeralda Hermans, Nicolas Jacques, Patrice Thiry, Brice Mattivi, Fabienne Dumortier, Jean-Marc Loutsch, Martine Dehaut, Sabrina Kaufmann, Philippe Kieffer, Marie-Anne Goedert, Jean-Philippe Matthieu, Jean Boterberge, Guy Denis, Rémy Haas, Jean-Claude Servais, Marc Piret.
Un agent de la DNF, qui devait abattre des sangliers contaminés par la peste porcine, a commis une erreur. Il s’est trompé de cible et a tué par mégarde une vache. Le propriétaire de l’animal aurait été remboursé.
Depuis l’apparition du virus de la peste porcine africaine dans le Sud-Luxembourg, les autorités belges et le Département de la Nature et des Forêts sont sur le pied de guerre. L’objectif est d’abattre l’ensemble des sangliers présents à l’intérieur du territoire infecté et dans les zones limitrophes. Des chasses y sont organisées régulièrement pour y parvenir.
C’est au cours d’une de ces opérations qu’une erreur s’est produite. Durant une chasse nocturne menée près de la frontière française, un agent de la DNF a abattu par mégarde une vache au lieu d’un sanglier. L’homme était pourtant équipé d’un fusil avec lunette infra-rouge. Une arme qui permet d’avoir une vision assez précise lors des tirs de nuit, rapporte La Meuse Luxembourg.
L’histoire est d’autant plus rocambolesque que le bovidé qui ruminait tranquillement dans un champs était en réalité situé en territoire français. L’agent, ainsi que le collègue qui l’accompagnait, ont été suspendus provisoirement. L’administration aurait quant à elle dédommagé le propriétaire de l’animal. Les chasses ont repris depuis, notamment du côté de Messancy.
Le cora Messancy accueillera du 1er au 28 octobre prochains sa traditionnelle Foire aux Vins. Le lundi 30 septembre, les amateurs pourront déjà participer en avant-première à une soirée de dégustation. Trente-cinq vignerons seront présents sur place pour faire découvrir plus de 150 vins.
Les mois de septembre et d’octobre sont généralement synonyme de vendanges. L’occasion pour les producteurs de partager leur savoir-faire avec les amateurs de bons crus et de proposer au grand public leurs dernières cuvées. Dans le Sud-Luxembourg, le lieu de rendez-vous incontournable sera le cora Messancy. Du 1er au 28 octobre, le supermarché organisera sa 25e Foire aux Vins durant laquelle les meilleures bouteilles seront mis à l’honneur dans les rayons.
Cette Foire sera précédée en avant-première, le lundi 30 septembre, d’une soirée de dégustation. Cet événement unique en Belgique offrira l’occasion d’échanger pendant 2h30 avec 35 vignerons passionnés, issus des plus belles régions de France et d’ailleurs. Au total, plus de 150 vins seront disponibles en dégustation libre. En cas de coup de cœur, les clients pourront repartir directement avec leur caisse de vin sous le bras. Le magasin sera en effet ouvert exceptionnellement de 21h à 23h.
De nombreuses animations annexes
La soirée-événement fera la part belle à tous les types de vins. Les millésimes réputés raviront les œnologues en herbe tandis que les bouteilles méconnues, mais dont la finesse et la délicatesse n’ont rien à envier aux meilleurs, pourraient bien surprendre les papilles des amateurs. Rouge, blanc ou rosé : il y en aura pour tous les goûts et pour toutes les bourses.
Durant la soirée, diverses animations seront proposées par le cora Messancy pour le plus grand plaisir des invités. Un marché des producteurs sera par exemple installé pour faire la part belle aux produits locaux. Plusieurs producteurs voisins seront présents, dont Michel Boreux, l’incontournable chef de Rochehaut. Les convives pourront aussi compter sur la présence de l’entreprise gaumaise Servimur, qui produit des vins à base de mûres. Ou encore de Traditions Wallonie, qui fera découvrir ses propres liqueurs, vins de fruits et vins pétillants.
Les organisateurs auront également l’honneur d’accueillir Valériane, la finaliste du Meilleur Pâtissier 2018. Entre 20h30 et 22h, la spécialiste des préparations sucrées proposera un cooking show pour apprendre à confectionner et décorer de succulents fingers. Elle partagera quelques-unes de ses astuces et répondra aux questions des spectateurs. Et si les fins gourmets ont encore une petite faim, ils pourront ensuite déguster les pâtisseries fines réalisées par les pâtissiers du cora.
Comment participer à la dégustation
Enfin, pour apporter de l’énergie pendant cette soirée, c’est le chanteur et guitariste local Julien Michel qui sera en charge de l’animation musicale. Le candidat de The Voice Belgique 2017 montera sur scène pour interpréter quelques morceaux de sa composition, aux consonances folk et pop-rock. Sa tessiture de voix, un brin cassé, devrait ravir les invités.
Pour des raisons pratiques, la soirée se déroule uniquement sur inscription. Un droit d’entrée de 20 € par personne sera demandé lors de votre arrivée. Chaque participant recevra un verre à dégustation et trois bons de réduction d’une valeur totale de 25 €. L’inscription aux dégustations vins cora se fait sur le site officiel en cliquant ici. Vous pouvez également réserver par téléphone au 010/86.82.50, du lundi au vendredi entre 10h et 17h. Inscription ouverte jusqu’au 24 septembre.
La ville de Libramont accueillera une épreuve des Air Games le dimanche 29 septembre. La course est accessible à partir de 12 ans et promet de longues heures de rigolade entre amis ou en famille.
Qui n’a jamais rêvé de retourner en enfance à la vue de château gonflable ? C’est ce que propose Air Games, une course d’obstacles de châteaux gonflables qui s’étale sur près de cinq kilomètres. Après s’être rendus à Bruxelles, Mons, Namur, Liège ou encore Luxembourg, les organisateurs de cet événement unique en Belgique poseront leur parcours à Libramont le dernier dimanche du mois de septembre.
L’objectif des participants est de parcourir un circuit de 5km en traversant des boudins géants, en sautant sur des plateformes gonflables ou encore se laissant glisser sur des toboggans géants gonflés à l’air. Le jeu de saute-mouton, le château Indinia Jones, les obstacles aquatiques ou encore le tourniquet valent notamment le détour.
Au total, ce sont 10 attractions gonflables géantes qui devront être franchis pour voir la ligne d’arrivée. Le parcours, qui peut être effectué aussi bien en marchant qu’en courant, est accessible à tous. Seule condition : avoir minimum 12 ans. Pas besoin donc d’être un triathlète. Entre amis, entre collègues ou en famille, chacun en aura pour son compte.
De l’amusement avant tout
Heureusement, il n’y a pas de chronomètre à surveiller, et il n’y a pas de vainqueur. C’est amusant et sportif, mais accessible à presque tout le monde. Le fil conducteur de cette journée est l’amusement. La musique diffusée dans les enceintes, les échauffements déjantés, les animateurs enjoués : tout est mis en place pour que les participants en prennent plein les yeux.
Chaque personne recevra un dossard, un t-shirt officiel et une médaille pour sa participation. Sur place, des ravitaillements seront disponibles pendant et après l’épreuve. Sur le plan pratique, des consignes seront mises à disposition gratuitement pour déposer ses effets personnels, tandis qu’une confort zone sera accessible pour changer sa tenue et se reposer après le parcours.
En Belgique, les Air Games se comptent sur les doigts de la main. Seules quelques villes ont la chance d’accueillir une manche. C’est la raison pour laquelle les places se vendent comme des petits pains. Les informations pratiques, ainsi que le module de réservation, sont disponibles sur le site officiel en cliquant ici ou sur la page de l’événement Facebook. A noter que les étudiants bénéficient d’une ristourne de 20% en s’inscrivant ici.
Le traditionnel week-end de la fête de Hondelange aura lieu cette année les 13, 14 et 15 septembre. De nombreuses nouveautés sont au programme pour fêter comme il se doit la neuvième édition.
L’ASBL Les Associations Hondelangeoises, qui regroupe le Club des Jeunes Hondelange, le Cercle Royal Concordia, l’Harmonie l’Amicale, les Ondes de l’Ange et le Club de tennis de table, organise entre le 13 et le 15 septembre leur célèbre fête villageoise. Il s’agira déjà de la neuvième édition. Comme à l’accoutumée, les organisateurs ont prévu un programme riche et varié pour divertir les invités. Les festivités débuteront dès le vendredi sur les coups de 20h avec l’incontournable soirée Pekets et le Bal des Wallos, animé par le DJ local A.R.T et la Sono BreakOut.
Dans une ambiance digne des fêtes de Wallonie, les amateurs pourront déguster dix goûts de pekets artisanaux et du cidre Somersby au fût. Des bracelets tissés seront distribués aux premiers arrivés, ainsi que des goodies offerts par les partenaires tout au long de la soirée. Les préventes sont disponibles au café Back to the Pipeline à Messancy, à l’Insomnia à Arlon ou auprès de tous les membres du CDJ.
Les 300 premiers arrivés auront en outre la chance de pouvoir participer à la roue de la fortune. Deux billets d’avion Luxair, pour une destination au choix, seront à gagner. Mais d’autres lots seront également mis en jeux pour récompenser un maximum de participants. “Notre week-end s’adresse à tous les publics et c’est ce qui en fait se grande force” nous explique Rémy Biren, l’une des chevilles ouvrières de l’organisation.
“C’est un regroupement de générations qui fait plaisir à voir”
Grande soirée Oberbayern le samedi
Le lendemain, celles et ceux qui ont encore un peu d’énergie pourront participer à la grande soirée Oberbayern. La fête débutera dès 17h00, avec un concert du groupe « Die Kameraden Musikanten » composé de 11 musiciens et chanteurs, ainsi que la percée du premier fût, qui fera office d’apéritif gratuit pour les participants. Chapiteau décoré, costumes traditionnels, demi-litre de bière, ambiance garantie. Venez vivre une ambiance digne de l’Oktoberfest en avant première à Hondelange.
“L’an dernier, nous avons accueilli entre 1300 et 1400 personnes sur le week-end. Ce qui est déjà une franche réussite pour nous” continue Rémy. ‘D’un avis personnel, aller au-delà de 2000 personnes serait déjà une très bonne chose. Il faut savoir être optimiste. Nous avons essayé de nouveautés, et il faut simplement que le public nous suivent. Cela nous encouragera à développer ce week-end au fur et à mesure des années”.
Du jambon et de la musique au soir
Vers 18h, les participants seront invités à se mettre à table pour partager le Souper de la fête. Plusieurs menus s’offrent seront disponibles : jambonneau sauce moutarde, boulettes sauce tomate (également en portion -12ans) ou choucroute garnie (4 viandes). En accompagnements, il sera possible d’avoir des pommes de terre au lard et des crudités. Un café et un dessert seront également proposés.
L’inscription au repas est obligatoire moyennant la somme de 20€ pour les adultes et 9€ pour les enfants de moins de 12 ans. Mais cerise sur le gâteau, les entrées pour la soirée Oberbayern et le bal années 80-90 sont offertes en cas de participation au repas. Réservations au +32497/10.66.09 avant le 11/09. Paiement anticipatif obligatoire sur le compte BE64 7320 4747 1952 avant le 11/09.
Enfin, le week-end se terminera en beauté avec le bal dédié aux musiques des années 1980 et 1990. Les animations visuelles et musicales seront une nouvelle fois assurées par la Sono BreakOut. Elle mettra tout en œuvre pour que la fête se clôture sous les meilleurs auspices.
L’institut pour la sécurité routière a révélé que c’est en province de Luxembourg que le pourcentage de conducteurs sous l’influence de l’alcool est le plus faible. Cela ne doit toutefois pas occulter les dangers d’une conduite en état d’ivresse.
Selon une enquête menée par l’Institut VIAS (anciennement IBSR), six automobilistes belges sur 10 ont déjà dû un jour souffler dans un éthylotest. Le risque est le plus élevé en Flandre. Presque 65% des automobilistes ont été contrôlés (contre 54% en Wallonie et 40% à Bruxelles). Les hommes sont plus nombreux à avoir dû souffler (69%) que les femmes (50%).
Mais si le risque de se faire contrôler est un peu moins élevé dans le sud du pays, une province se démarque des autres : la province de Luxembourg ! C’est en effet dans la province verte que le pourcentage de conducteurs ayant déjà été contrôlés est le plus élevé. Plus de 3 conducteurs luxembourgeois sur 4 (77%) disent avoir soufflé un jour dans un éthylotest. C’est le pourcentage le plus élevé sur l’ensemble du pays. La moitié d’entre eux (49%) ont même déjà été contrôlés plusieurs fois (contre seulement 35% au niveau national).
Mieux : c’est aussi dans notre province que les usagers de la route sont les plus responsables en matière d’alcool au volant. Lors de la campagne Bob d’hiver de l’an dernier en Wallonie, le pourcentage de conducteurs en état d’ébriété était le plus faible dans la province de Luxembourg (2,45%). Ce n’est pas un hasard. L’enquête montre que le risque de se faire contrôler y est précisément le plus élevé.
Bientôt une tolérance zéro ?
VIAS rapporte également que contrairement à une idée reçue, les contrôles ne sont pas plus fréquents le week-end. Les périodes pendant lesquelles les conducteurs ont été contrôlés sont, dans l’ordre, la journée en semaine (42%), suivie par les nuits de week-end (24%), les jours de week-end (20%) et les nuits de semaine (14%).
Si on se plonge plus en détail dans l’enquête de VIAS, on remarque que la majorité des belges ne prennent pas encore conscience de la dangerosité d’une conduite sous l’influence de boissons alcoolisées. Moins d’1 Belge sur 2 (46%) déclare ne pas boire du tout d’alcool avant de prendre le volant. Dans ce domaine, les femmes sont meilleures élèves (55% ne boivent pas) que les hommes (38%).
L’opinion publique est très partagée quant à la possibilité d’instaurer la tolérance zéro en matière d’alcool au volant. Environ 48% sont pour et 43% sont contre. Le pourcentage de partisans est un peu plus important en Flandre (50%) qu’en Wallonie (45%).
Enfin, l’Institut VIAS rappelle que l’an dernier, 4210 accidents avec tués ou blessés ont impliqué au moins un conducteur sous l’influence de l’alcool. Ce qui représente 1 accident environ toutes les deux heures. La preuve s’il en faut que le travail de prévention est toujours bien nécessaire.
Selon les statistiques compilées par Eurostat, ce n’est pas le Grand-Duché de Luxembourg qui propose les prix les plus intéressants dans la Grande Région pour l’alcool. Les prix pratiqués en Allemagne sont plus abordables.
Au fil des ans, les frontaliers ont pris l’habitude de se rendre au Grand-Duché de Luxembourg lorsqu’ils désirent s’approvisionner en boissons alcoolisées. Mais selon Eurostat, l’agence européenne chargée de l’information statistique à l’échelle communautaire, il serait plus avantageux de faire ses courses en Allemagne.
Dans une récente étude relative au prix moyen de l’alcool (bières, vins et spiritueux) dans l’Union Européenne, l’institut révèle que le Luxembourg n’affiche pas les prix les plus bas de la Grande-Région. C’est en réalité l’Allemagne qui décroche la première place parmi les pays limitrophes. En se basant sur la moyenne européenne, cette dernière valant “100”, les résultats sont les suivants :
La Belgique est incontestablement le pays où les prix sont les plus élevés, avec un score de 106 (6 points de plus que la moyenne européenne)
La France arrive en seconde position avec un score de 94 (6 points de moins)
Le Luxembourg monte sur la dernière marche du podium un score de 93 (7 point de moins)
L’Allemagne affiche quant à lui un score de 89 (11 points de moins)
