Amateurs de Rap, c’est à l’Entrepôt qu’il vous faudra vous rendre ce 20 mars à l’occasion d’un concert organisé par Romain et cinq de ses camarades scolarisés en réthos à l’INDA dans le cadre de la création de leur mini-entreprise. L’événement est organisé en collaboration avec l’Entrepôt d’Arlon et l’ASBL LJE. Les bénéfices de la soirée serviront à financer les frais de la mini entreprise et notamment le cachet des artistes.
A l’affiche : MAZ jeune rappeur Luxembourgeois de 19 ans, il est le moteur d’une génération HipHop véridique et profonde, il incarne en soi un sentiment d’une vie courageuse et empathique avec une vision du futur. Son style musical très moderne et teinté d’influence old-school se démarque par son flow aussi rapide que technique, accompagné par des basses lourdes et fortement imprégné d’une ambiance mélancolique.
MOJI X SBOY Âgés de 19 ans, ces deux amis d’enfance ont commencé le rap il y a un peu plus d’un an : il ne leur en aura pas fallu davantage pour se distinguer lors d’un freestyle pour 1minute2 rap sur Instagram. Conscient de n’avoir rien à perdre, et au contraire, tout à gagner, ce talentueux duo liégeois compte bien montrer qu’il n’est pas là pour plaisanter. Après un passage remarqué au festival Les Ardentes cet été, le groupe est en préparation de son premier projet.
And last but not least,
GUIZMO À 28 ans, presque dix ans de carrière, des millions de vues et près d’une décennie à ausculter ses vices, ses hauts, ses bas, stylo à la main, Guizmo continue de plonger en lui-même.
Le rappeur le plus mature de sa génération revient aujourd’hui avec son neuvième projet GPG 2 (07 Juin 2019 – Y&W) ! En 2019, le rappeur originaire de Villeneuve-la-Garenne réserve trois belles surprises ! En effet, avec le clip de « Gentleman » sorti le 29 Mars dernier, Guizmo annonçait la sortie de son double album GPG2 , composé d’un disque de 14 titres et d’un autre de 16 titres.
Cerise sur le gâteau pour promouvoir son album, Guizmo nous dévoile un court-métrage de 20 min intitulé Yusuf où il y joue son propre rôle à travers un personnage sombre, déchiré entre la drogue et l’alcool, mettant en détresse son entourage.
« Emouvant et touchant » France Inter
« Guizmo au sommet de son art » Les Inrocks
« Guizmo, l’ancien bad boy de Villeneuve-la-Garenne devenu rappeur conscient » Le Parisien
Infos pratiques :
Horaire : le vendredi 20 mars à 20h30
Entrée : 20 €
Ce 20 mars, le Summer Fashion Show investira les espaces de l’hôtel Van Der Valk. Le défilé indépendant, « petit frère » de la Lux Fashion Week, aura lieu pour la deuxième année consécutive à l’initiative de Marie Schweistal.
Fort du succès de leur collection automne-hiver présentée à la Lux Fashion Week, c’est tout naturellement que les créateurs se sont associés pour créer le Summer Fashion Show lors duquel ils vous présenteront leur collection Printemps-été. Voici une présentation des cinq créateurs qui vous feront rêver par leurs collections tout au long de la soirée.
Bastien Sebillot
Ce couturier Belge originaire de Virton est passionné de création depuis son plus jeune âge. Formé au métier de comédien au célèbre cours Florent à Paris, il finira par abandonner les planches pour se consacrer à une autre de ses passions : la mode. Autodidacte, il découvre les matières, effectue plusieurs stages, apprend l’art de la couture et laisse libre cours à son imagination et a ses rêves dans le but de sublimer les corps.
Marie Schweistal
Cette créatrice diplômée de l’HELMo Mode à Liège présente chaque année deux collection de prêt-à-porter made in Belgium. Célèbre pour ses robes de mariées « haute couture », ses pièces uniques aux lignes souples subliment la femme. Cette année, Marie présente une collection élégante et confortable composée de pièces festives et légère de nuit comme de jour invitant à aller danser dans une ode à la fête. « La vie est une fête, habille-toi pour ça. » Audrey Hepburn.
BENU
Est un collectif basé à Esch-sur-Alzette créé par Georges Kieffer, il s’agit de la première marque de mode inspirée de l’Upcycling en Grande Région. BNU prône l’excellence écologique, la production locale, la responsabilité sociale et la transparence. Chaque pièce proposée par le collectif est unique et créée à partir de vieux vêtements soigneusement sélectionnés et transformés. Le duo vous présentera une collection dans un style casual/chic ou féminité et grâce seront mis en avant.
Sophie
Cette créatrice est une touche à tout, après des études de stylisme, elle s’essaye au monde de la décoration d’intérieur et revient rapidement à sa première passion : la mode. C’est alors qu’elle créé des accessoires sur mesure et des pièces originales pour ses amies. Fort du succès rencontré, elle ouvre en 2013 son propre atelier à Arlon et y réalise depuis lors des pièces uniques dans de beaux tissus selon un processus de fabrication artisanal. Cet été, inspirée du geai, un oiseau flamboyant et gracieux, elle revisite sa mythique combinaison et présente une collection monochrome aux coupes épurées.
Igor Dieryck
Ce jeune Arlonais est étudiant à la prestigieuse Académie Royale d’Anvers. Nombreux sont les anciens élèves de l’académie qui occupent des places dans de grandes maisons parisiennes et à travers le monde. Actuellement en deuxième année, à mi-chemin entre l’expérimentation et le vrai vêtement, le styliste se doit de concevoir un univers et d’y lancer sa collection composée de 4 tenues. Dans le cadre du Summer Fashion Show, il présente ses projets de première année et aussi sa première tenue de sa collection de deuxième année intitulée « Wallifornia ».
Info pratiques :
20h : Ouverture des portes 20h30 : Défilé 22h-1h : After party & popup store
Ce sont des étudiants bien surpris qui ont interpellé la députée fédérale Cécile Thibaut. Et pour cause : une augmentation de près de 30% du prix de leur carte campus. Une bien mauvaise surprise !
Alors que dernièrement le Grand-Duché de Luxembourg a rendu les transports en communs gratuits, de son côté la SNCB a décidé d’augmenter le tarif de la carte campus, la carte de dix voyages destinée aux étudiants.
Avant le premier mars, tous les étudiants du Sud Luxembourg effectuant le trajet Virton-Liège payaient un tarif de 18,30€ pour dix trajets. Ce montant est, depuis lors, revu à la hausse et est maintenant de 23,20€ pour les étudiants effectuant ce même voyage. Soit une augmentation de près de 30% !
Une décision loin de convenir à Cécile Thibaut, députée fédérale Écolo qui ne compte pas en rester là et réclame un retour à la normale pour les étudiants de la province de Luxembourg.
« L’augmentation du prix des abonnements domicile-travail et des abonnements scolaires est de 2,87% et selon la SNCB, les produits dérivés tels que la carte campus connaissent la même adaptation. Pourtant, des étudiants ont eu la mauvaise surprise de constater une augmentation du prix de leur carte de plus de 30%, c’est le cas de tous les étudiants de la province de Luxembourg et de toutes les localités éloignées des centres d’enseignement supérieur. »
Elisa Roux, porte-parole de la SNCB, indique à L’Avenir qu’auparavant la carte campus couvrait une distance de 111 km et à présent, elle couvre une distance de 150 km « Nous avons aligné la distance maximale tarifaire de la carte campus à celle de nos autres produits qui a toujours été de 150 km ».
La conséquence de cette adaptation est l’augmentation significative pour les étudiants des zones rurales qui n’ont pas le choix que de payer le prix demandé. Cécile Thibaut informe de son intention de réclamer la suppression de cette nouvelle règle de calcul du prix du campus. Pendant que la SNCB insiste sur les prix avantageux dont profitent encore les étudiants.
Le club de football en salle Forza Messancy a décidé d’offrir 1.000€ à l’association Un Geste pour Evalentine, bien connue en province de Luxembourg. Les fonds serviront à financer la recherche scientifique.
Il y a 5 ans naissait l’association caritative « Un geste pour Evalentine », en hommage à d’Eva et Valentine, deux jeunes filles victimes du cancer de l’enfant. L’association travaille en partenariat avec la Fondatioun Kriibskrank Kanner qui accompagne au quotidien les familles d’enfants atteints d’un cancer ou d’une maladie rare à danger vital. Elle soutient activement la recherche onco-pédiatrique avec un seul but : traiter mieux et plus.
Pour récolter des fonds, l’association organise régulièrement des ventes aux enchères d’objets ayant appartenu à des célébrités du tennis, du football ou de la chanson. En 2019, ces ventes ont permis de financer la recherche scientifique à hauteur de 21.000 euros, à travers la fondation Kriibskrank Kanner. Mais comme toutes associations, elle compte aussi sur la générosité des particuliers. Une réalité qui a attiré l’attention de Forza Messancy, un club de football en salle fondé par des parents d’enfants qui souhaitaient offrir aux jeunes la possibilité de faire du sport.
Un geste de solidarité qui fait chaud au cœur
Aussi, le club Forza Messancy a organisé le 8 février dernier une soirée dansante sur le thème des années 90-2000 afin de récolter une maximum d’argent en faveur de la recherche médicale. Une partie des bénéfices servira à assurer le bon fonctionnement du club, tandis que 1.000€ ont été versés à l’association Un Geste pour Evalentine. Un élan de solidarité qui mérite d’être souligné dans la mesure où le club vit uniquement des ressources apportées par les sponsors.
L’an dernier, le club avait déjà offert un chèque d’une même valeur à l’association après avoir organisé un tournoi de foot en salle. En deux ans, Forza Messancy a donc contribué à la recherche onco-pédiatrique à hauteur de 2.000€. Une générosité qui devrait d’ailleurs se poursuivre puisque les joueurs désirent poursuivre leurs efforts dans la récolte de fonds à travers différentes manifestations caritatives.
Sur le plan sportif, en 4 ans, plus de 130 personnes ont adhéré au club, tant des adultes que des enfants. Et force est de constater que les résultats sont plutôt impressionnants. Deux équipes de jeunes ont ainsi été vice-champions de Belgique dans leur catégorie. Souhaitons-leur beaucoup de réussite.
Trois cambrioleurs français ont été arrêtés par la police de la Zone de Gaume ce mardi midi à Bellefontaine. Ils ont été interpellés après une course poursuite qui a donné lieu à des tirs d’arme à feu.
Ce mardi en matinée, des agissements suspects sont remarqués aux alentours d’une maison de la rue du Chenois à Bellefontaine. La police zone de Gaume en est directement informée. Trois cambrioleurs français venaient en effet d’entrer par effraction dans une habitation.
Le véhicule immatriculé en France force le barrage dressé par la police afin d’interpeller les malfrats. Rapidement pris en chasse par les forces de l’ordre, les trois individus ont été neutralisés sur la route menant à Croix-Rouge. Trois personnes étaient à bord du véhicule et sont privées de liberté. Elles seront présentées devant un juge d’instruction.
Selon les témoins sur place, plusieurs coups de feux auraient été tirés durant la course-poursuite afin de stopper le véhicule des cambrioleurs.
A l’heure d’écrire ces lignes, la police serait encore à la recherche d’autres individus qui auraient pris la fuite avant le contrôle routier. Plusieurs camionnettes et un hélicoptère quadrillent la zone. Le bourgmestre de Tintigny, Benoît Piedboeuf, a d’ores et déjà félicité la Zone de police de Gaume pour cette arrestation.
Vous vouliez vous équiper d’un gel désinfectant pour les mains mais vous avez trouvé le rayon du magasin vide ? Pas de stress, fabriquer à la maison son gel hydroalcoolique, c’est possible. Nous vous proposons ici une recette efficace ! Et c’est l’Organisation Mondiale de la Santé qui nous la donne. A vos stylos !
Même si le premier réflexe à adopter c’est de se laver régulièrement les mains, la solution hydroalcoolique peut être une des armes face au Coronavirus. Mais, comme dans beaucoup de magasins, même spécialisés, ce genre de produits est en rupture de stock !
Nous vous proposons dès lors de faire face à cette pénurie en fabriquant vous-même votre gel désinfectant. Les ingrédients sont simples et vous les trouverez facilement en pharmacie !
Ethanol 96%
Peroxyde d’hydrogène 3%
Glycérol 98%
Eau (distillée)
En réalité, l’éthanol conseillé peut être remplacé par de l’alcool pour spiritueux que l’on peut trouver en magasin. Le peroxyde d’hydrogène n’est autre que de l’eau oxygénée et vous pourrez la retrouver en pharmacie tout comme le glycérol.
Ensuite c’est assez simple. Pour un litre de solution, dans un récipient gradué, mélangez tout d’abord 833 millilitres d’alcool avec 42 millilitres d’eau oxygénée.
Ajoutez à cela 15 millilitres de glycérine. Attention, c’est une substance très visqueuse. Mélangez bien.
Ensuite, complétez avec de l’eau jusqu’à obtenir un litre de solution.
Le tour est joué !
Et si vous le souhaitez, vous pouvez parfumer votre gel grâce à des huiles essentielles (eucalyptus, citron, lavande, …)
La solution hydroalcoolique est à mettre dans un récipient fermé hermétiquement afin d’éviter toute évaporation.
Vous pourrez également trouver bon nombre d’informations quant au Coronavirus sur ce site : http://www.info-coronavirus.be
Le cannabis à le vent en poupe. Après l’implantation de magasins vendant du CBD (cannabis dont le taux de THC est conforme à la norme européenne), le Luxembourg décide de légaliser purement et simplement le cannabis récréatif. Une nouvelle faite pour ravir les amateurs, cependant il est hors de question que le Luxembourg devienne un havre de « fumette » dédié à tous. Voici quelques règles qui seront d’application.
Tout d’abord et en toute logique, il faudra être majeur pour se procurer son herbe. Ensuite l’achat sera destiné uniquement aux résidents Luxembourgeois installés depuis plus de six mois, ceux qui auraient donc l’intention de louer une chambre pour faire ses emplettes devront prendre leur mal en patience. La quantité sera quant à elle, limitée à 30 grammes par mois par résident.
14 points de vente autorisés
Le cannabis sera produit au Luxembourg par deux producteurs qui seront désignés par la suite. Le taux de THC (tétrahydrocannabinol cannabinoïde présent dans la plante de cannabis) qui sera en vigueur n’est pas encore connu non plus, mais quoi qu’il en soit, il sera estampillé d’un QR code reprenant les informations du produit (taux de THC et de CBD) et permettant d’assurer la traçabilité du produit.
La consommation du cannabis devra se faire chez soi, conformément à la loi interdisant de fumer dans les lieux publics. Pas de péniches ou de « cafés » à la disposition des fumeurs. 14 points de ventes ont été autorisés, dont un à Remich, un à Diekirch, un à Grevenmacher, un à Mersh et un à Capellen. La capitale disposera de quatre points de vente à l’instar de la ville d’Esch-Sur-Alzette. Le quatorzième point de vente n’est pas révélé à ce jour.
Les consommateurs frontaliers ne baissent pas les bras
Nous avons interrogé quelques habitants de la frontière qui n’ont cure des mesures prises par le gouvernement Luxembourgeois. Quentin, jeune consommateur, nous donne sa vision des choses : « Ce n’est pas parce que la vente ne sera destinée qu’aux résidents qu’il ne nous sera pas possible de nous procurer du cannabis. Il suffit de connaître quelqu’un qui en achètera pour nous. Ce sera d’autant plus facile en travaillant à Luxembourg. »
Toujours est-il que le cannabis reste illégal dans les pays limitrophes et donc en Belgique. Il est donc interdit de traverser la frontière en présence de stupéfiants et tout contrevenant pris la main dans le sac s’exposera à des sanctions !
La province de Luxembourg est l’une des mieux loties en matière de gastronomie. Mais ce que l’on sait moins, c’est que notre région regorge de restaurants les plus insolites les uns que les autres. Petit tour d’horizon avec Shootlux !
Ils sont présents aux quatre coins de la province et émerveillent les papilles des fins gourmets : les restaurants sont souvent une source inépuisable de plaisir. Des plus classiques au plus exotiques, les bonnes tables sont légions dans notre région. Et qu’il s’agisse d’une taverne, brasserie, auberge, pizzeria, guinguette ou d’un snack-bar, il y en a pour tous les goûts.
Mais aujourd’hui, Shootlux vous propose de sortir des sentiers battus. De découvrir des restaurants dont le cadre ne ressemble à aucun autre. Où la dégustation vous garantit une expérience hors-du-commun. Et tout cela, à deux pas de chez vous. Fourchette et couteau en main, petit tour d’horizon des cinq restaurants les plus insolites de la province verte.
1) La Mine Gourmande, à Bertrix
Si vous avez déjà rêvé de manger dans un endroit inhabituel, ce point touristique au coeur du domaine de Morépire devrait vous enchanter. La Mine Gourmande est une mine située 25 mètres sous terre qui vous permet de découvrir le formidable travail des mineurs d’ardoises. Mais le parcours de 1h15 est pour le moins surprenant puisque celui-ci propose en même temps un menu trois services, à l’image d’une marche gourmande. Pendant la visite, trois arrêts sont prévus dans les galeries souterraines pour déguster un apéritif chaud, un potage dans un pain fait maison et les « canadas aux rousses », ce plat des mineurs constitué de pommes de terres marinées sur un lit d’oignon et accompagnées de trois viandes fumées. En remontant doucement vers la surface, un dessert et un café attendent les participants.
La Mine Gourmande est accessible à prix démocratique, puisque le ticket coûte 9,50€ par personne pour un adulte, et 5,50€ pour les enfants de 6 à 12 ans. Le prix inclut la visite de la mine ainsi que tous les plats et les boissons. Le site est accessible aux personnes à mobilité réduite. Réservation obligatoire et dates d’ouverture sur le site officiel en cliquant ici.
La mine gourmande à Bertrix
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2) Au cœur de la Gaume, à Ethe
Le restaurant Au Cœur de la Gaume est un établissement tenu par Claude Peignois (dit le Glaude) depuis 1991. L’âme bohême, le gaumais a ouvert les portes de son restaurant dans une ancienne bâtisse qui a abrité la brasserie Capon, avant de devenir un relais pour les chevaux des Postes et une ferme. L’histoire du lieu est rocambolesque, puisque la sublime demeure a brûlé trois fois, avant de renaître de ses cendres. Dans l’assiette, les plats régionaux à la carte devraient ravir les fidèles de la gastronomie luxembourgeoise : choucroute garnie, Touffaye (ou étuvées), potée, pâté gaumais labellisé et gibier local en saison.
Sans oublier la préparation propre au “Glaude” servie du côté de la taverne ; une Rulles Blonde dans laquelle est plongée un tisonnier chauffé à blanc. Découvertes et saveurs garanties.
Tout en dégustant les mets gaumais, les convives remarqueront l’immense collection d’objets usuels de la ruralité qui parsèment les différentes pièces. Une façon comme une autre de se replonger dans l’histoire de notre région.
Un endroit, une cuisine, une ambiance qui sent bon la Gaume !
Au Cœur de la Gaume est ouvert du jeudi au dimanche. Le restaurant loue également des salles de banquet pouvant accueillir jusqu’à 170 couverts. Réservation fortement conseillée au 063/58.18.04, ou en cliquant ici.
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3) Le Chariot à fondue, à Porcheresse
C’est probablement l’un des restaurants les plus fous du plat pays : le Chariot à fondue est le premier restaurant hippomobile de Belgique ! Récompensé à juste titre comme l’une des meilleures attractions touristiques de la province, le Chariot vous convie à une balade attelée gourmande !
Les chariots sont équipées d’une table permettant de se sustenter et de savourer une savoureuse fondue, pendant que les chevaux de traits nous emmènent visiter la nature environnante. Une occasion originale de découvrir la richesse des paysages boisés de la commune de Daverdisse, Bièvre, notre patrimoine culturel, et rencontrer ses habitants. Entre amis ou en famille, cette escapade gourmande mêle le plaisir de la table et celui du plein air au rythme des sabots.
Le restaurant itinérant dispose de plusieurs chariots et peut accueillir jusqu’à 24 personnes. Outre les traditionnelles fondues, d’autres menus existent : c’est le cas du Brunch Ardennais ou même du Petit-Déjeuner, pour une balade entre 8 et 9h30. Toutes les informations pratiques sont disponibles sur le site officiel en cliquant ici.
En attendant, voici une petit vidéo pour vous mettre l’eau à la bouche :
4) La Maison de Hary Cot, à Wéris
La maison du Hary Cot est un établissement moitié restaurant, moitié bistro. Situé à Wéris, l’un des plus beaux villages de Wallonie, le restaurant date d’un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaitre. Une fois passé le pas de la porte, les convives sont projetés dans une atmosphère où se côtoyait auparavant les artisans. La décoration, le mobilier, l’éclairage, les vitraux, les foyers à bois : tous les éléments de la maison rappellent l’artisanat. De l’extérieur, il ne manque qu’une musique féerique pour se retrouver dans un film de Tim Burton où le temps s’est suspendu.
Du côté de la carte, les plats sont innovants et revisités à la mode « bistronomique ». Les produits les plus classiques sont retravaillés tout en fraîcheur, en cuisson et en assaisonnement. Les mets ne sont jamais dénaturés mais surprennent les papilles les plus aguerries. Ouvert du mardi au samedi à partir de 18h30, la Maison de Hary Cot propose un menu trois service à 37 euros ou un quatre services à 50 euros.
Réservation souhaitée par téléphone au 0470/ 89.46.29. Le site Internet vous permet de découvrir ce lieu pas comme les autres en cliquant ici.
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5) La ferme des Sanglochons, à Verlaine
Enfin, comment ne pas terminer notre voyage gourmand par la mythique ferme des Sanglochon. Située près de Libramont, à deux pas de l’E411, l’auberge en pierre propose des plats typiquement ardennais. Le sanglochon, cet animal né de la rencontre entre un cochon et un sanglier, est évidemment à l’honneur. Sur place, les équipes vous informent même des procédés de salage, de fumage et de séchage des charcuteries du pays qui sont aussi les spécialités de la maison. Charcuterie, jambon, saucisses fumées : une chose est certaine, vous ne repartiez pas le ventre vide.
Le voyage vaut le détour lorsque le ventre gargouille, car le décor est sublime. Il s’agissait d’une véritable ferme ardennaise, avec sa cuisine, son poêle, sa grange, son étable, son fumoir, sa cuisinière et son évier de schiste. Pour les plus curieux, le musée vivant du Jambon est situé juste à côté de la ferme. Il retrace l’histoire de cette haute antiquité ardennaise qu’est le jambon. Une boutique attend aussi les visiteurs qui désirent repartir avec un petit souvenir. Un must lorsqu’on est de passage dans le coin.
Toutes les informations et les modalités de réservation sur le site web en cliquant ici.
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Si vous n’avez toujours pas faim après ce tour d’horizon des restaurants insolites de la province de Luxembourg, on ne peut plus rien pour vous …
Les prix des carburants continuent de baisser dans les pompes à essence au Grand-Duché de Luxembourg. Dès ce vendredi, le diesel et la SP95 baissent de 3,1 centimes, pour le plus grand bonheur des automobilistes.
Après avoir connu une hausse importante en début d’année, notamment à cause d’une crise au Moyen-Orient, le prix des carburants étaient redescendus de quelques centimes à la fin du mois de janvier et au début de ce mois. Une dynamique qui se poursuit aujourd’hui avec des prix à nouveau en diminution.
Dès ce vendredi 28 février, tant le diesel que l’essence SP95 enregistrent une baisse de 3,1 cents par litre. Le gasoil passe donc à 1,084€/litre, et la SP95 à 1,194 euro/litre. De son coté, le prix du SP98 reste inchangé. Il est toujours fixé à 1,328€/litre.
Certains l’attendaient avec impatience, d’autres la redoutaient, vous l’aurez remarquée en ouvrant vos volets ce matin, la neige a fait son grand retour dans certaines parties de notre province. L’occasion unique de vous proposer quelques réflexes à adopter lors de votre conduite sur la neige.
Si lors d’épisodes neigeux on remarque une baisse d’accidents mortels (près de 15%) due à la faible vitesse des automobilistes, on constate au contraire une hausse du nombre d’accidents « matériels » de près de 75%. En effet, la conduite sur la neige a quelques particularités, bien différentes que par temps sec.
La première des recommandations qu’on peut donner par temps de neige, c’est de ne prendre la voiture que par obligation – logique direz-vous. Si vous pouvez postposer votre voyage, il est préférable de laisser votre voiture au garage.
Une autre recommandation, encore plus évidente, est d’équiper sa voiture de pneus neige. Ce type de pneu très utile par temps neigeux, l’est aussi par temps plus froid, lorsque les températures commencent à baisser, notamment en dessous de 7 degrés. Ce pneu conçu pour ces conditions s’y adapte totalement grâce à ses rainures et à sa composition spécifique.
Attention ! Même avec des pneus hiver, il est essentiel d’adapter son comportement au volant en fonction des conditions météo.
On en profite également pour rappeler que la conduite d’un véhicule au Luxembourg dans des conditions hivernales (verglas, neige tassée, neige fondante, plaques de glace ou de givre) n’est autorisée qu’avec des pneus hiver réglementaires.
Attention à l’amende !
Avant de partir, s’assurer que votre voiture est bien équipée et entretenue. On pense notamment au niveau du liquide lave-glace mais aussi penser à vérifier que vos feux et toutes vos vitres sont bien dégagés. Il est primordial de dégager entièrement le pare-brise ; enlever le givre ou la neige uniquement sur une petite partie juste devant le conducteur n’est pas suffisant.
Sur la route : les 10 bons réflexes à avoir (institut VIAS)
Portez des vêtements et des chaussures confortables : conduire avec une grosse doudoune et/ou des bottes de neige risque de rendre rapidement le trajet inconfortable et peut même être dangereux car vos mouvements en seront limités.
Restez calme en toute circonstance : personne n’est à l’aise sur des routes enneigées mais paniquer ne sert à rien et vous fera même perdre vos moyens.
Au démarrage, l’accélération doit être très progressive, surtout en côte. Démarrez en 1ère si ce n’est pas trop enneigé ou si la route est déjà dégagée. En revanche, si une couche de neige est présente sous vos roues, mieux vaut démarrer en seconde.
La conduite sur des routes enneigées nécessite de la douceur : les accélérations brusques, les coups de volant intempestifs et les freinages de dernière minute sont à proscrire. Chaque geste doit être bien dosé.
Réduisez votre vitesse et augmentez au maximum les distances de sécurité avec les autres véhicules, même à l’arrêt. Sur des routes enneigées, les distances d’arrêt sont multipliées par 3 si vous avez laissé des pneus été (ce qui n’est pas conseillé).
Anticiper sur l’état de la route et les dérapages incontrôlés des autres véhicules reste la meilleure parade pour arriver à destination.
Soyez particulièrement vigilant aux endroits découverts, notamment sur les ponts où la température est toujours plus basse qu’ailleurs.
Pour limiter la prise de vitesse dans les descentes, utilisez le frein moteur plutôt que la pédale de frein. Là encore, et plus que jamais, les distances de sécurité sont à respecter scrupuleusement.
Ne dépassez pas les engins d’épandage. En circulant dans leurs traces vous aurez moins de risques de glisser.
Redoublez de prudence dans les virages ! Réduisez votre vitesse avant de les aborder. Une fois dans le virage, il est préférable de maintenir sa vitesse pour limiter le déséquilibre de la voiture.
Que faire si, malgré tout, vous dérapez ?
Si vous êtes dans une situation critique où votre véhicule commence à déraper, surtout ne paniquez pas.
Ne donnez pas de coups de frein ou d’accélérateur, le plus important étant de stabiliser le véhicule et surtout de bien regarder dans la direction où vous souhaitez aller. Instinctivement, vous garderez alors le volant dirigé dans cette direction. Ne regardez en aucun cas l’obstacle éventuel.
