18.9 C
Arlon
dimanche, juillet 20, 2025
Accueil Blog Page 70

Arlon : la rue de Diekirch métamorphosée en terrasse géante pour les restaurants

C’est depuis ce lundi 08 juin que les terrasses des restaurants et des cafés vont tout doucement reprendre vie après ces quelques mois de fermeture forcée. Chaque commune essaie de trouver des solutions afin de soutenir ce secteur durement touché par la crise. Notamment à Arlon où la Ville a décidé de fermer la Rue de Diekirch à la circulation chaque weekend afin de proposer des terrasses supplémentaires.

On le sait, le secteur Horeca (comme d’autres) a fortement été impacté par la crise sanitaire du coronavirus. De nombreux établissements ont été contraints de mettre la clé sous le paillasson ou affichent désormais des résultats financiers qui pourraient mettre en péril leur avenir proche. Aux quatre coins de la province, des initiatives proposées par les communes ont vu le jour comme celle d’étendre au maximum les terrasses déjà existantes.

La rue des restaurants fermée à la circulation

Ça sera le cas à Arlon où le Collège a décidé d’épauler les restaurateurs. Rencontrant les commerçants un à un afin de prendre le pouls et être à l’écoute de leur attentes, une première mesure a déjà été prise : la rue de Diekirch sera fermée à la circulation les vendredis soir, samedis et dimanches pendant tout le temps de l’été afin de proposer aux restaurateurs d’y installer une terrasse supplémentaire.

Une initiative afin d’essayer de combler le manque à gagner engendré par la crise sanitaire et qui donnera, à cette “rue des restaurants” arlonaise, des allures de la bien nommée Rue des Bouchers de la capitale.

Du côté du Collège communal, on assure que tout le monde sera aidé bien que cela soit difficile dans certains cas. “Le plus difficile réside dans le fait de trouver un équilibre entre l’intérêt des restaurateurs, la mobilité et de garder suffisamment de places de parking pour ne pas pénaliser les autres commerces”, comme l’explique le bourgmestre à nos confrères de l’Avenir.

Une reprise qui a d’ailleurs été très calme pour les restaurants ce lundi mais dont les patrons, heureux de la réouverture, affichent leur optimisme pour la suite en tablant, notamment, sur l’agrandissement de leur terrasse et sur le soleil qui pourrait leur donner un fameux coup de pouce.

Télétravail : encore le flou pour les travailleurs frontaliers

Bien connue des frontaliers Belges, la règle fiscale permettant de travailler à domicile 24 jours par an maximum a été suspendue pendant la période de la crise sanitaire afin de faciliter leur travail. Cette mesure prise d’un commun accord entre gouvernements Belge et Luxembourgeois court jusqu’au 30 juin. Mais qu’en sera-t-il par après ? Le ministère des Finances Luxembourgeois n’exclut pas une prolongation.

On le sait, cette règle fiscale a déjà fait couler beaucoup d’encre et est souvent sujet à discussion entre les gouvernements des deux pays concernés. Pour rappel, cette règle fiscale permet aux travailleurs frontaliers belges au Grand-Duché du Luxembourg de prester au maximum 24 jours à domicile. Sans quoi, le frontalier serait alors imposé dans son pays d’origine, la Belgique.

Au début de la crise sanitaire, les deux gouvernements ont alors trouvé une solution en urgence afin de permettre aux frontaliers de travailler de la maison sans qu’ils n’aient à se soucier de ce quota imposé de 24 jours.

Un accord jusqu’au 30 juin

Les deux gouvernements ont donc convenu de limiter cet accord au 30 juin 2020, avec possibilité de le prolonger chaque mois “si les deux autorités compétentes en conviennent par écrit au moins une semaine avant le début du mois”. Toutefois, l’accord est résiliable “unilatéralement” par simple notification, c’est-à-dire sans avoir à consulter les autorités voisines.

Il est clair que cette situation créé pas mal d’incertitude tant chez les travailleurs frontaliers que chez les employeurs voulant se prémunir au maximum de la situation de pandémie que nos pays connaissent. Que faire une fois le 30 juin passé ? Du côté grand-ducal, on apprend que le gouvernement veut réévaluer la situation régulièrement avec les pays concernés afin de déterminer la durée d’application des accords passés au début de la crise. “Les accords avec nos pays voisins concernant le télétravail des frontaliers pendant l’épidémie actuelle sont tous valables jusqu’à nouvel ordre.” répond le ministère des Finances Luxembourgeois à nos confrères du Luxemburger Wort. 

L’objectif affiché est bien entendu de revenir progressivement aux règles fiscales en vigueur avant la pandémie de covid-19.

Il est également de bon ton de rappeler qu’une proposition de l’allongement de cette période de 24 jours de télétravail à 48 jours est sur la table des discussions depuis de longs mois entre les deux pays. Mais avec un gouvernement Belge en affaires courantes, le dossier reste dans les starting-block !

Sterpenich : Luxfly, un simulateur de chute libre unique au monde

Si vous vous êtes déjà rendus au Grand-Duché du Luxembourg en passant par l’autoroute, votre regard a certainement été attiré par cette immense structure qui se dresse le long de la E411 ! Et pour cause, avec un bâtiment qui frôle les trente mètres de haut, le complexe Luxfly voit grand et veut devenir un réel pôle événementiel. 

Depuis la nuit des temps, les hommes ont toujours voulu partager un point commun avec les oiseaux : celui de voler. Baptisé Luxfly Skydive, ce simulateur installé à Sterpenich sera l’un des plus grands du monde et vous donnera cette chance. Il permettra de vivre les sensations réelles d’un saut en parachute … depuis le plancher des vaches.

Une seule passion : le sport aérien

A la base de ce projet hors du commun, on retrouve un couple féru de parachutisme, Steve et Magali Braff. Ces deux amateurs de sensations fortes et détenteurs chacun d’un bon nombre de records sont à la tête de StarFly World, une société de consulting spécialisée dans le développement de simulateurs de chutes libres dans le monde.

Alors que Steve rêve depuis son enfance de ressembler à Superman enchaînant les sauts chaque weekend, Magali nous avoue qu’au moment de la rencontre avec son futur mari, elle n’éprouvait aucune envie de se jeter d’un avion ! C’est seulement lors de vacances en Floride qu’elle se lance dans un simulateur de chute libre et que cette passion pour le saut la gagne ; et pour cause : Magali a réalisé 2500 sauts d’avion tandis que Steve en compte 8500 et c’est ensemble qu’ils ont décidé d’investir toute leur énergie et leurs compétences dans les sports de vol et de développer en Europe ce qui manquait à ce niveau.

C’est grâce à un coup de foudre pour la région que le couple a décidé d’installer à Sterpenich ce simulateur de chute libre qui leur tient particulièrement à cœur. En effet, Luxfly Skydive sera l’un des plus grands simulateurs du monde. Seuls le Japon et la Corée possèdent des infrastructures similaires.

Un tunnel d’air de 21 mètres de haut

Les dimensions du wind tunnel arlonais donnent le vertige. Le tunnel de vol offrira un diamètre de 4,6 mètres et une hauteur de 21 mètres. Dont 8 mètres avec une partie vitrée et une vue imprenable sur la région. “Ce sera un spectacle continu” nous confie Magali. En effet, il sera possible d’observer dans le grand hall de ce complexe les candidats aux sensations fortes qui s’essaieront à la chute libre car l’accès à Luxfly sera libre !
Il vous sera dés lors possible de venir boire un verre tout en regardant le spectacle offert par le simulateur de vol. D’ailleurs, l’entrée principale du hall donnera accès directement à celui-ci.

Mais le projet des deux parachutistes ne s’arrête pas là. Si le simulateur constitue la principale attraction, ils ont conçu cet espace comme un véritable pôle événementiel : “nous avons prévu également des salles de réunion, des salles pour les fêtes et un bar”, nous explique Magali. “Ce sera le lieu inédit pour l’organisation d’une fête d’anniversaire, d’un team building, d’une présentation d’un nouveau produit, d’un moment en famille ou tout simplement un lieu d’entraînement sportif. Avec “LuxFly Skydive” nous mettons un concept novateur sur le marché”, conclut la parachutiste.

La société Starfly, qui a initié le projet, a injecté plus de 7 millions d’euros et espère séduire près de 100.000 visiteurs par an. C’est 30.000 personnes de plus que la fréquentation moyenne des autres centres de Skydiving en Belgique. Parmi la clientèle, le simulateur devrait attirer à la fois des amateurs en mal de sensations fortes, tout comme des professionnels qui désirent s’entraîner en toute sécurité.

A partir de 4 ans jusqu’à 99 ans

Même si les différents corps de métiers s’affairaient durant le premier trimestre 2020 pour organiser l’ouverture dans le temps prévu, la crise sanitaire est venue perturber l’inauguration de ce centre : “Luxfly était en cours de finition et se préparait pour l’inauguration, juste avant la suspension des activités due au Covid-19”, explique Magali. C’est certain que le virus nous donne des défis supplémentaires au niveau de la logistique et de la sécurité notamment.

Qu’à cela ne tienne, les amateurs de sensations fortes seront accueillis et recevront d’abord une formation par un moniteur. Il leur expliquera le vol, les positions à adopter et les consignes de sécurité à respecter. Un équipement complet (et désinfecté) sera fourni afin de se lancer dans l’aventure : “à la la porte du tunnel, on peut déjà ressentir la puissance du vent ! Vous attendrez un signe du moniteur et vous vous lancerez !”, détaille Magali.

La soufflerie (quatre immenses ventilateurs) est techniquement adaptée face aux conditions imposées par la crise sanitaire. Un système performant garantit une qualité d’air similaire au ciel ; l’air utilisé est directement rejeté à l’extérieur.

Les vols sont accessibles à tous, de 4 à 99 ans, même aux personnes en situation de handicap et aucune condition physique n’est exigée précisément. Bien que Magali prévienne : “pendant les vols, tous le muscles du corps sont utilisés car l’activité est très physique donc même le plus grand sportif aura des courbatures après les vols.
Mais si on suit soigneusement les consignes de l’instructeur il n’y a pas de difficulté ! On promet de transformer un moment ordinaire en un instant extraordinaire.”

Réservations sur leur site internet

Il faudra tout de même patienter encore quelques semaines pour profiter de l’expérience, crise sanitaire oblige. “Nous n’avons pas encore beaucoup d’informations quant aux conditions d’ouverture ni à la date à laquelle nous pourrons proposer nos services et organiser nos premiers vols.” confie Magali.
Nous espérons simplement que tout le monde est impatient de découvrir un moment de liberté unique dans nos airs après cette période de confinement. 

Vous pouvez cependant vous inscrire sur leur site internet afin de faciliter l’organisation et réserver ainsi votre vol.
Pour cela, rendez-vous sur le site internet : Luxfly Skydive ou sur leur page Facebook.

Luxembourg : une entreprise à la rescousse pour protéger la population

La société ATA Vision, située au Grand-Duché de Luxembourg, a récemment lancé la marque We Protect. Elle fournit l’ensemble du matériel de protection contre le COVID-19. L’objectif de l’entreprise de participer aux efforts communs pour lutter contre le virus.

Plusieurs mois après le début de la pandémie, le COVID-19 est toujours bien présent dans nos vies. Un obstacle important pour les entreprises et le secteur horeca, qui souhaitent relancer leurs activités tout en assurant la sécurité de leurs clients. Face à ce constat, le société ATA Vision, installée à Bascharage, s’est lancée dans la commercialisation de matériel de protection contre le coronavirus. Cette nouvelle marque We Protect s’adresse tant aux entreprises qu’aux particuliers.

“Nous avons décidé de nous lancer dans ce créneau pour diverses raisons. D’abord pour répondre aux nombreuses demandes clients que nous recevons quotidiennement. Ensuite pour pouvoir assurer la pérennité de notre société, qui est en baisse d’activités” nous confie Julien Herbeuval, le responsable de We Protect. “Nos préoccupations sont de garantir la santé et la sécurité de chacune et chacun sur son lieu de travail”.  

Et force est de constater que We Protect dispose d’un catalogue impressionnant. Masques de protection personnalisés, gel hydroalcoolique, visières, séparateurs de bureau ou de table, thermomètres, vitres en plexigals : la marque propose différents produits afin que votre entreprise et votre point-de-vente soient adaptés pour assurer la plus grande protection à votre personnel et vos clients.

Participer à l’effort commun

“En lançant We Protect, nous souhaitons participer à l’effort commun” nous précise le responsable. “Ces produits sont proposés due à la situation urgente liée au Covid-19. Ils ne sont en aucun cas des dispositif médicaux. Il est du devoir de l’utilisateur d’en faire bon usage. Nos équipes sont toujours présentes pour guider et accompagner le client dans l’usage des produits”. 

Cerise sur le gâteau, We Protect propose un service de livraison et d’installation sur place. Les équipes logistiques sont protégées et les méthodes ont été adoptées pour assurer une installation en toute sécurité. “C’est avec plaisir que nous conseillons nos clients. Nous faisons preuve de réactivité et nous livrons tous les outils nécessaires au bon fonctionnement et à la sécurité des personnes qui passeront les portes de l’entreprise et son personnel !” confirme Julien Herbeuval.

Etant donné le contexte actuel, We Protect redouble d’efforts pour répondre aux demandes des entreprises et particuliers. Un catalogue de produits est disponible en ligne ou sur demande. L’équipe est aussi joignable par email à info@weprotect.lu ou par téléphone au 00352/27.40.61.12.

Et cerise sur gâteau : si vous commandez prochainement, indiquez le code “Shootlux”. Cela octroiera 10% de réduction sur le gel et les masques de protection.

Luxembourg : les 750.000 bons pour une nuitée distribués dès mi-juillet

Le gouvernement grand-ducal a annoncé la bonne nouvelle la semaine dernière : tous les résidents et travailleurs frontaliers vont recevoir un bon-cadeau d’un montant de 50 euros à faire valoir sur un séjour au Grand-Duché du Luxembourg. Le ministre du tourisme a annoncé hier que les 750.000 bons seraient envoyés dès la mi-juillet.  

C’est une mesure qui en a réjoui plus d’un il y a quelques jours. Mise en place afin de redonner un coup de boost aux secteurs touristique et horeca au Luxembourg, elle sera “non bureaucratique et simple tant pour le visiteur que pour l’exploitant” a annoncé le ministre du tourisme, Lex Delles.

750.000 bons envoyés aux résidents et frontaliers

Et les chiffres avancés sont importants : le ministre annonce que ce sont plus de 750.000 bons de 50€ chacun qui seront envoyés aux résidents luxembourgeois mais également aux travailleurs frontaliers. Une manne de près de 38 millions d’euros pour cette mesure visant la relance du secteur touristique, très touché par la crise sanitaire.

Ces bons seront distribués dès la mi-juillet et seront valables jusqu’à la fin de l’année 2020. De quoi passer quelques jours ou une nuitée chez un hébergeur touristique (hotel, auberge de jeunesse, camping, …).

“Un fonctionnement assez simple, tant pour le visiteur que l’exploitant” a assuré le ministre. Un QR code sera indiqué sur chaque bon personnalisé et sera scanné lors de son utilisation uniquement par la personne à qui il appartient.

Ce montant sera déduit de la note d’hébergement et pourra être utilisé sur le montant total du séjour, valable pour plusieurs nuitées donc. Il pourra également être cumulé si deux personnes bénéficiant d’un bon chacune partagent la même chambre.

Le ministre espère que tout le monde utilisera ce bon car le Grand-Duché a beaucoup à proposer. Le but poursuivi étant que les gens se rendent à une destination pour y passer une nuit et fassent ensuite d’autres activités, explique-t-il. Il ajoute également que tout le secteur Horeca est d’accord pour suivre ce projet qui va dans le sens de la relance du secteur du tourisme.

Idée recette : pain brioché aux raisins

Comme toutes les semaines, on vous partage une merveilleuse recette à réaliser simplement à la maison, en collaboration avec le blog Goût du Lux. Que diriez-vous d’une recette remplie de gourmandise ? Un produit idéal à mettre sur la table du petit-déjeuner le weekend : la brioche moelleuse aux raisins. Enfilez votre tablier ! 

Il suffisait de contempler les rayons vides de paquets de farine ou de levure pendant ces derniers mois pour se rendre compte que beaucoup d’entre nous avaient (re)trouvé le bonheur ou le temps de mettre la main à la pâte : pains, viennoiseries, pâtisseries, etc. Les réseaux sociaux n’avaient jamais vu passer autant de photos de recettes réalisées maison.

Nous continuons dans la même voie aujourd’hui et vous proposons de garnir votre table du petit-déjeuner avec cette brioche aux raisins, condensé de gourmandise et de moelleux.
Très simple à réaliser, suivez bien la recette !

Ingrédients (Pour deux brioches)

    • 500 g de farine tamisée
    • 30 g de sucre en poudre
    • 1 cuillère à café de zeste de citron râpé fin
    • 1/2 cuillère à café de sel
    • 100 g de beurre
    • 25 cl de lait
    • 30 g de levure de boulanger
    • 1 œuf + 1 jaune
    • 60 g de raisins secs
    • Des amandes effilées
    • Du sucre perlé

Préparation

Dans un grand bol, mélangez la farine (préalablement tamisée), le sucre en poudre, les zestes de citron ainsi que le sel.

Faites fondre le beurre à feu très doux.

Dans une casserole, faites tiédir le lait et délayez-y la levure.

Une fois le mélange homogène et le beurre fondu, mélangez le tout.

Reprenez votre bol et versez ce mélange sur la farine. Pétrissez le tout jusqu’à obtention d’une pâte souple (10 min).

Couvrez le bol et laissez lever la pâte 45 minutes au chaud et à l’abri des courants d’air.

Après 45 minutes, retravaillez la pâte en y incorporant l’œuf ainsi que les raisins secs. Pétrissez bien.

Une fois la pâte bien formée, partagez celle-ci en deux parts.

Façonnez deux pains longs, couvrez et laissez à nouveau lever 45 minutes. Préchauffez votre four à 180°.

Après 45 minutes, reprenez les deux pâtons et badigeonnez-les délicatement avec le jaune d’œuf battu. Parsemez d’amandes et de sucre perlé.

Faites cuire pendant 45 minutes à 180°.

Il nous vous reste plus qu’à laisser refroidir ces brioches sur une grille.

Bonne dégustation ! 

Martelange : la station Gulf marque le coup pour la réouverture des frontières !

La station-service Gulf, située à Martelange, a décidé de mettre les petits plats dans les grands pour célébrer la réouverture des frontières. Les clients qui passent dans la station ce week-end auront en effet la possibilité de remporter deux vélos électriques d’une valeur de 5000€.

La nouvelle a été annoncée la semaine dernière, pour le plus grand bonheur des frontaliers : la frontière avec le Luxembourg est désormais rouverte pour effectuer ses courses alimentaires et non-alimentaires. Les automobilistes peuvent donc, à nouveau, profiter des prix alléchants du carburant chez nos voisins grand-ducaux. À cette occasion, la station service Gulf de Martelange fait fort, très fort, et souhaite célébrer comme il se doit cet événement.

De ce vendredi 05 juin au dimanche 07 juin, deux vélos électriques d’une valeur de 5.000€ seront mis en jeu.

Concrètement, tous les clients de passage auront la possibilité de remplir un bon de participation pour s’inscrire au grand tirage au sort qui aura lieu la semaine prochaine. Cerise sur le gâteau : aucune obligation d’achat. Seul un passage en station suffit. L’opportunité rêvée de repartir avec un vélo électrique pour parcourir cet été la charmante campagne Ardennaise.

Ce concours exceptionnel est proposé en partenariat avec Bike 4 All, le nouveau magasin spécialisé en vélo qui a ouvert ses portes à Neufchateau, rue de la Victoire. Depuis le mois d’avril dernier, ces spécialistes des deux roues vendent les marques BMC, Giant, Merida, Niner et Pinarello. Une large offre est réservée aux vélos électriques. Et cerise sur le gâteau, Bike 4 All dispose d’un atelier professionnel pour s’occuper des réparations en tout genre.

Avec ce concours de grande ampleur, Gulf Martelange, devenu au fil du temps un lieu de rendez-vous incontournable pour l’achat de boissons, souhaite récompenser sa clientèle pour sa fidélité et mettre un petit peu de baume au cœur des habitants de la région après plusieurs semaines compliquées.

Vous devez bientôt faire le plein ? Vous savez ce qu’il vous reste à faire.

Talentum : un salon de l’emploi en ligne ce jeudi en province de Luxembourg

Ce jeudi 4 juin aura lieu le premier salon de recrutement 100% virtuel en Belgique francophone. Une expérience innovante, circonstances obligent, mais qui demeurera une occasion unique de décrocher un emploi près de chez vous mais également au Grand-Duché du Luxembourg. 

Si la modalité et les moyens diffèrent, les objectifs et l’efficacité mise en œuvre pour les atteindre, restent eux, totalement similaires ! Virtuelle, cette édition demeure une immanquable opportunité de trouver un emploi, soit près de chez vous, ou encore au Grand-Duché de Luxembourg. Vous l’aurez compris, c’est l’occasion de rencontrer des employeurs locaux et (inter)nationaux de premier plan et de discuter directement des opportunités. Que vous soyez étudiant( e), demandeur d’emploi, en réorientation professionnelle, ou tout simplement en recherche d’un éventuel nouveau défi, ce salon vous aidera dans la recherche d’un emploi.

Voici un aperçu des nombreux atouts et avantages pratiques offerts par cette solution (en ces temps si particuliers) :

Un accès facile et intuitif

Une plateforme qui regroupe tous les stands d’un salon physique. Chacun d’entre eux sera dédié à une entreprise et représenté sous forme de modélisation.

Les visiteurs candidats / s’inscrivent et peuvent se rendre sur la page de chaque entreprise à partir de la page d’accueil qui regroupe toutes celles présentes dans ce salon virtuel.
Inscrivez-vous ici ! 

Découvrir l’entreprise autrement

Chaque entreprise mettra en avant ses activités, sa culture et ses valeurs au travers de sa communication. Elles présenteront des vidéos, des jobs, et du contenu rédactionnel sur leur page dédiée.

Une possibilité de communication directe ou différée

Les entreprises ont la possibilité de connecter de nombreuses personnes de contact pour communiquer avec vous par chat textuel et lier ses outils visio et audio pour continuer la conversation. Il vous sera également possible de laisser un message (comme un e-mail) pour pouvoir vous recontacter plus tard.

Employeurs locaux, régionaux et (inter)nationaux de 1er plan

Un panel varié de sociétés de la Province de Luxembourg, wallonnes, belges, grand-ducales et internationales représentant des secteurs divers et autant de types de métiers différents, seront présentes sur la plateforme virtuelle ce jeudi.

Alors ne manquez pas cette opportunité si cela vous dit. En cette période si compliquée, cela peut-être un réel coup de pouce pour votre recherche et votre emploi !

Pour obtenir plus d’informations et pour vous inscrire : Talentum 

Arlon : le centre-ville désormais en “zone 30”

D’un projet qui était dans les cartons depuis un bon moment, c’est désormais une décision actée : le centre-ville du chef lieu passera en zone 30, temporairement.  Une décision prise par l’ensemble du Collège communal de la Ville d’Arlon.

Durant le confinement dû au COVID-19, de nombreux citoyens Arlonais ont pris l’habitude de sortir plus souvent à pied ou à vélo et cela se ressent encore également pendant le déconfinement : si le nombre des véhicules augmente et que les parkings retrouvent un niveau d’occupation proche de la normale, le nombre de piétons et de cyclistes en ville est sensiblement plus élevé qu’avant la pandémie, nous explique la Ville d’Arlon.

Dès lors, en vue d’inciter les Arlonais à garder ces bonnes habitudes de déplacement, le Collège communal a décidé de mettre en place des aménagements temporaires, le plus important étant la création d’une zone 30 dans le centre-ville d’Arlon.

Plus de sécurité aux piétons et aux cyclistes

La zone inclut toutes les rues situées à l’intérieur du cercle formé par les rues suivantes, celles-ci y étant également comprises : rue de la caserne, rue de Diekirch, rue du 25 Août, rue Joseph Netzer et rue Saint Jean. La signalisation sera mise en place dès le vendredi 5 juin.

Le Collège communal rappelle que, si une zone 30 n’a aucune incidence sur le stationnement des véhicules, elle apporte plus de sécurité aux piétons et aux cyclistes dans leurs déplacements, tant de manière objective que subjective. Subjective, d’abord: la voiture se fait plus discrète par la diminution du bruit qu’elle génère, diminuant d’autant le sentiment d’insécurité ressenti par les piétons et cyclistes.

Des bandes de circulation supprimées

Quelques chiffres, ensuite :

  1. le risque de décès pour un piéton heurté par un véhicule roulant à 50 km/h est de 45% et chute à 5% lorsque le véhicule roule à 30 km/h
  2. la distance d’arrêt d’un véhicule à 50 km/h est de 26 mètres, soit la longueur de 2 bus, contre 13 mètres à 30 km/h (1 bus)

À noter qu’une deuxième mesure temporaire a été adoptée pour favoriser la pratique du vélo en toute sécurité dans le centre-ville. Ainsi, une bande de circulation sera supprimée à la rue de Diekirch, dans sa section devant le cinéma d’Arlon, et à la rue de Saint-Jean, entre la rue des Déportés et la rue de la Synagogue. Le Collège communal d’Arlon a validé ces mesures jusqu’au 30 septembre 2020.

Carte campus : la province de Luxembourg défavorisée

Voyage photo créé par freepik - fr.freepik.com

Le 1er mars dernier, la SNCB a adapté les tarifs de la Carte Campus, celle qui permet aux étudiants de moins de 26 ans de rejoindre leur école ou leur kot. Une petite mauvaise nouvelle pour les étudiants de la province de Luxembourg.

L’annonce est passée inaperçue avec la crise du Covid, mais une modification des tarifs de la carte Campus crée aujourd’hui une discrimination pour une bonne partie des étudiants de la province de Luxembourg.

Concrètement, jusque maintenant, tous les étudiants qui achetaient une carte campus de 10 voyages payaient 18,30 €. Mais le 1er mars dernier, la SNCB a décidé de modifier la distance tarifaire”, qui est passée de 111 à 150 kilomètres.

“Désormais, à partir du moment où on habite au-delà de 111 kilomètres de son Université ou de sa Haute Ecole” indique la députée Cécile Thibaut, on continue à payer un tarif qui augmente alors que les étudiants bénéficiaient auparavant, d’une discrimination positive !”.

La province de Luxembourg défavorisée ?

Une mauvaise nouvelle donc pour les étudiants de la province de Luxembourg, dans la mesure où celles et ceux qui habitent de le Sud-Luxembourg ou l’Est de la province se retrouvent systématiquement au-delà des 111 kilomètres et devront donc payer davantage pour leur carte Campus.

Dans sa réponse à la question écrite de la députée Ecolo, le ministre Bellot minimise les effets de cette augmentation. François Bellot parle d’un d’impact limité et d’une augmentation de maximum 0,49 cents € par trajet.

Une réponse qui ne convainc pas Cécile Thibaut. “Dans certaines familles chaque euro compte ! Ce sont des dépenses qui s’ajoutent aux frais importants déjà consentis par ces familles pour louer un kot étudiant. De plus, cette augmentation touche uniquement une catégorie de personnes qui habitent en zone rurale, éloignées des centres universitaires, et c’est inadmissible”, conclut Cécile Thibaut.

Il faut dire que cette augmentation, certes minime, s’inscrit dans un contexte où les luxembourgeois sont toujours défavorisés au niveau du coût des études. Pour suivre une formation supérieure, les étudiants sont en effet souvent obligés de quitter la province et s’installer à Bruxelles, Namur, Louvain-la-Neuve ou encore Liège. Un déménagement qui coûte très cher étant donné les loyers demandés pour les kots.

Derniers Articles