Traditionnellement, l’International Motor Show de Luxembourg clôture de belle façon l’année automobile et la saison des sports moteurs. Voitures et motos d’exception, GT, modèles sportifs ou de prestige, véhicules transformées, F1, WRC, MotoGP y font bonne figure. L’année 2020 sera là aussi très particulière ; les organisateurs ont décidé de déplacer ce salon en 2021 ! 

C’est via un communiqué envoyé par l’organisation que la nouvelle est tombée. l’International Motorshow de Luxembourg est reporté à novembre 2021.

“Les incertitudes liées au nouveau contexte sanitaire et aux coûts qu’il engendre auront eu raison de l’édition 2020 de l’International Motorshow. L’équipe de Pole Position a analysé en profondeur les conditions de la tenue de l’événement pour motiver cette décision et a le regret de devoir reporter son événement. Les nombreux visiteurs de Luxexpo The Box devront donc patienter douze mois de plus avant de retrouver la manifestation qui leur tient à cœur depuis près d’un quart de siècle”, peut-on lire sur le communiqué.

“Voyons les choses de façon positive !”

“Les mesures à mettre en place dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire pour un événement qui se déroule en intérieur sont importantes”, clament en chœur Christian Jupsin et Francis Detaille au nom de Pole Position. “C’est toute l’architecture et la surface de l’événement qui doivent être revues dans notre cas, et cela nous oblige à repenser l’entièreté du plan d’affaires pour ne pas mettre en péril la pérennité de l’événement.”

Un mal pour un bien, rétorqueront certains ? Exactement ! “Voyons les choses de façon positive, ce report nous permet de disposer d’une année supplémentaire pour monter un International Motorshow Luxembourg 2021 réellement différent, qui restera dans les annales”, reprennent les organisateurs. “Ce qui s’appelle reculer pour mieux sauter. Certes, nous étions enthousiastes à l’idée de démontrer dès cet automne combien l’événement allait évoluer, mais les circonstances, totalement indépendantes de notre volonté, en ont décidé autrement pour nous.”

Rendez-vous donc à l’automne 2021, et d’ici-là, l’International Motorshow Luxembourg ne manquera pas d’informer de la manière dont ils compteront aborder leur quart de siècle !

C’est en ce début d’après-midi que les pompiers sont avertis d’un objet métallique duquel s’échappe de la fumée, ce dernier se trouvant dans un champ situé route de Bastogne à Harsin (Nassogne). Très rapidement et après vérification, c’est face à un obus que les pompiers se trouvent ! Une périmètre de sécurité vient d’être mis en place. 

C’est ainsi que les pompiers ont découvert un obus au beau milieu d’un champ. Les services de déminage de Bruxelles, avertis rapidement dès la découverte faite, sont attendus sur place afin de procéder à l’enlèvement de l’engin explosif, comme nous l’apprend l’Avenir. 

Un périmètre de sécurité a donc été établi et quelques riverains ont été invités à quitter leur domicile.
En attendant, les hommes du feu de la Roche-en-Ardenne seraient également sur les lieux afin de surveiller la situation à l’aide d’un drone.

La piscine communale toujours au cœur des débats virtonnais ! Si sa construction a été loin d’être une sinécure, compilant retards et problèmes en tous genres, on pensait que son ouverture apaiserait les tensions. C’était sans compter sur le Covid ! Fermée depuis le début de la crise sanitaire, elle continue d’alimenter les conversations. 

Les nageurs et autres amateurs de natation devront, encore une fois, faire preuve de patience ! Et autant dire qu’à Virton, il en faut si on veut tremper ses pieds dans un bassin de natation. S’il a fallu près de dix ans pour voir ce nouveau centre aquatique sortir de terre dans la capitale gaumaise, voilà qu’on retarde encore et encore sa réouverture depuis l’apparition de la crise sanitaire !

Une réouverture “espérée” pour le 2 novembre

C’est la semaine dernière que le comité du secteur piscine s’est réuni afin de statuer sur la réouverture du complexe aquatique. Comme on peut le lire dans le communiqué, celle-ci pourrait potentiellement être “espérée” pour le 2 novembre prochain. Autant dire que rien n’est moins sûr vu le terme employé.

Si cela est le cas, les ouvertures seraient limitées à la fois en terme d’horaire et de fréquentation, ce qui pourrait être tout simplement intenable pour la maîtrise des coûts, nous apprend l’échevin Michel Themelin.

Car comme décidé lors de cette dernière réunion, le réouverture concernerait, dans un premier temps, les écoles, l’école de natation, les clubs sportifs, les animations aquatiques et les stages d’automne.  L’accès au grand public serait possible, sur réservation, et durant des périodes limitées, en semaine.

“Cette décision de réouverture sera prise en fonction de la situation sanitaire due au Coronavirus mais également des coûts engendrés : en pleine activité, la piscine représente 60.000€ de dépenses mensuelles à charge de la population virtonnaise au travers de la ville. Avec la réouverture et les protocoles qui seront mis en place, ce coût pourrait être plus important. Cela reste un élément déterminant à prendre en compte au vu de la situation financière actuelle de la commune.”

Des prochaines réunions seront probablement encore tenues avec le gestionnaire de la piscine, Equalia, afin de fournir une offre et un plan financier acceptables, déterminant pour la suite des décisions.

C’est un projet unique qui verra le jour en octobre prochain au sein du parc du Château de Rossignol. Réunissant le Parc naturel de Gaume et le Green hub, ce projet, né en janvier 2020 et mis quelques mois au frigo suite à la période de confinement, s’apparente à un incubateur de restaurant. On vous explique !

C’est un concept d’un autre genre qui verra prochainement le jour au sein du cadre enchanteur du Parc du Château de Rossignol : un incubateur de restaurant.
Si on connait ce terme, c’est souvent dans le cadre des entreprises. On parle alors d’une structure d’accompagnement de projet dans la création de celles-ci.

A Rossignol, on en est pas trop éloigné. Le Parc naturel de Gaume et le Green hub ont donc mis sur pied un concept unique pouvant aider les jeunes restaurateurs à se lancer. Permettant alors de tester leur concept auprès du public, la structure imaginée accompagnera les jeunes travailleurs de l’HoReCa afin de les coacher dans les prémisses de leurs activités culinaires.

C’est ainsi que des séances avec des experts ont déjà été organisées. Les chefs Clément Petitjean, Stéphanie Jauquet et Cédric Michaux ont donc déjà prodigué de nombreux conseils aux candidats ainsi que d’autres spécialistes dans leur milieu (AFSCA, communication, …)

Le Goût de la Gaume – Restaurant éphémère

Après ces quelques séances de coaching, les candidats sont maintenant prêts à accueillir les clients dans leur restaurant éphémère qui prendra le nom : “Le Goût de la Gaume”. 

Avec un menu trois services, vous aurez l’occasion de découvrir tout le savoir-faire de Louise Watlet “Une Faim de Lou” et Nicolas Glouden, deux chefs de l’incubateur. Ceux-ci auront à cœur de vous proposer un repas 100% local et de saison.

Le restaurant éphémère prendra donc place les vendredi 09 et samedi 10 octobre en soirée dans le cadre naturel du parc du château de Rossignol.

Pour l’occasion, la décoratrice Isabelle Chantrenne de ID déco transformera les lieux pour vous proposer une expérience unique.

Pour les réservations obligatoires, rendez-vous sur leur site internet Parc naturel de Gaume.

C’est un terrible drame qui a eu lieu ce samedi à Arlon. Une jeune fille de 4 ans a perdu la vie en se noyant dans la piscine familiale, malgré l’intervention rapide des équipes de secours.

C’est une véritable tragédie qui s’est déroulée ce samedi en fin de journée. Il est environ 19h quand une jeune fillette de 4 ans chute dans la piscine familiale.
Malgré l’arrivée rapide des secours, elle décédera malheureusement sur place.
Un drame accidentel dont les circonstances ne sont pas encore établies.

Par respect pour la famille, les amis et les proches, et face à un tel drame, nous ne divulguerons pas plus d’informations sur l’identité de la jeune victime.

C’est une nouvelle qui va forcément attrister les amateurs de glisse et de patins ! Compte tenu des règles entourant la crise sanitaire, l’Association Commerciale et Industrielle d’Arlon (ACIA) n’organisera pas la fameuse patinoire cet hiver. 

S’installant sur la Place Léopold tous les ans aux environs des fêtes de fin d’année, pour le bonheur des plus petits mais aussi des plus grands, la célèbre patinoire organisée par l’ACIA ne verra pas le jour en 2020. En cause, les mesures entourant la crise sanitaire qui ne permettent pas d’organiser cette activité, comme le déclare la présidente de l’ACIA, Catherine Arnold, à nos confrères de l’Avenir.

Redoutant une baisse de fréquentation notable, notamment des groupes scolaires, pouvant mettre en péril les finances de l’organisation, cette décision s’imposait pour l’association bien qu’étant consciente que cette absence créera un vide pour un public qui a bien besoin de ce genre d’animation.

Et le marché de Noël ? 

A côté de cette patinoire, se dresse habituellement un chapiteau destiné à proposer un marché de Noël aux visiteurs.
Pour son organisation en décembre prochain, une réflexion est encore en cours, toujours selon l’Avenir. Car là aussi, difficile de respecter les normes demandées.

Quoi qu’il en soit, des animations seront maintenues afin de pouvoir accueillir les visiteurs. Toujours selon la présidente, le marché de Noël doit se réinventer et des solutions sont donc en train d’être envisagées.
Ce qui est malheureusement certain, inéluctablement, la crise sanitaire jouera encore les troubles fêtes en cette fin 2020 …

C’est depuis ce 31 août que tout résident en Belgique de plus de 12 ans (ou qui aura 12 ans avant le 31 mars 2021) peut demander le Hello Belgium Railpass, une carte de 12 trajets gratuits. Cette carte, nominative, sera valable six mois à partir du lundi 5 octobre prochain. Il vous reste jusqu’à la fin de ce mois de septembre pour la commander ! 

On ne l’attendait plus tant les discussions et la mise en place du système ont freiné la mise en place de ce projet ! Quoi qu’il en soit, depuis le début de ce mois de septembre, le “Hello Belgium Railpass” est disponible à la commande ! Mais attention, plusieurs conditions sont mises en place dans le cadre de son utilisation mais aussi dans la façon de se le procurer.

Comment le commander ? 

Tous les résidents en Belgique de plus de 12 ans sont invités à faire la demande de ce Railpass gratuit en remplissant un formulaire sur le site www.hello-belgium.be.

Demander ce Railpass est possible jusqu’au 30 septembre 2020 au plus tard. Les demandes pour les enfants qui auront 12 ans d’ici la fin du mois de mars 2021 doivent également être introduites d’ici fin septembre. Ce Railpass sera alors reçu par courrier postal dans un délai de 8 à 10 jours à partir de la date de la demande.

Les conditions d’utilisation

Cette carte de 12 trajets est nominative (vous ne pouvez donc ni la vendre ni la prêter ni l’utiliser à plusieurs) et est valable six mois.

Vous pouvez voyager les jours de semaine à partir de 9h et sans limitation horaire les week-ends et jours fériés.

Ces 12 trajets en train pourront être utilisés dès le 5 octobre 2020 et ce, jusqu’au 31 mars 2021 avec un maximum de deux voyages simples par mois. Notez donc que vous ne pourrez utiliser qu’un aller-retour par mois, pas plus. Cette carte multi-trajets est valable dans tous les trains de la SNCB sur l’ensemble du réseau ferroviaire belge.

Mais attention si vous devez vous rendre à l’aéroport de Zaventem. Vous devrez alors acheter un supplément pour chaque trajet effectué.

Les passagers doivent la remplir avant de monter à bord du train, et la montrer à l’accompagnateur avec leur carte d’identité. La carte multi-trajets ne pourra pas être demandée aux guichets, ni y être retirée.

Vous retrouverez toutes les infos sur Hello Belgium

“Souriez vous êtes filmés !”, un leitmotiv qui pourrait être apposé à tous les coins de rues à Marche-en-Famenne. En effet la Ville, appuyée par la zone de police Famenne-Ardenne, a installé un réseau de 62 caméras de surveillance (ANPR ainsi que des caméras “classiques”) sur l’ensemble de la ville de Marche. 

C’est un réseau de vidéosurveillance qui est maintenant opérationnel qu’ont présenté la Ville de Marche et la zone de police Famenne-Ardenne. Pas moins de 62 caméras quadrillent maintenant le territoire marchois, installées aux entrées de la ville mais aussi dans des endroits dits “stratégiques”. Plus moyen donc d’échapper au contrôle visuel !

Une dizaine de caméras ANPR 

Parmi ces nombreuses caméras, une dizaine sont dites ANPR (Automatic Number Plate Recognition), comprenez par là que celles-ci détectent automatiquement les plaques d’immatriculation.

Installées aux différentes entrées de la ville mais aussi dans les ronds points, ces dispositifs pourront détecter automatiquement les voitures volées ou recherchées, leurs données étant envoyées en temps réel au centre de contrôle de police Famenne-Ardenne mais aussi à la police fédérale. Comme l’explique le bourgmestre André Bouchat, il sera impossible, pour tout véhicule automobile entrant ou sortant de la ville, d’échapper à un contrôle visuel via ce réseau.

D’autres caméras “Haute Définition”

Outre ces caméras intelligentes, la commune a fait placer également, avec conseils de la police et d’experts, d’autres caméras classiques mais de haute définition, permettant de détecter plus précisément les conducteurs ou les passagers (ce que ne permet pas les caméras ANPR).

Ces autres appareils d’enregistrement sont déjà installés à certains endroits stratégiques de la ville comme le sont les rues fréquentées du centre, les aires de jeu, le centre culturel et sportif, la place aux foires et d’autres emplacements pointés minutieusement après concertation.

Un budget total pour ces deux types de caméras qui dépassent le million d’euros, le tout financé entièrement par la ville de Marche-en-Famenne, une première en Wallonie comme s’étonne le bourgmestre !

Mais que la population se rassure, comme l’explique la zone de police Famenne-Ardenne : “ces caméras n’ont pas vocation à épier la population 24h/24. Elles ne filment que l’espace public et toute partie privative qui apparaît dans le champ caméra sera floutée. Elles doivent être perçues comme un outil d’appui aux équipes de police pour lutter contre des faits délictueux. L’utilisation de ces images est strictement réglementée et doit toujours respecter les prescrits imposés par ce cadre légal.”

Onze zones de Wi-Fi public dans la ville

Mais ce n’est pas tout ! La Ville de Marche-en-Famenne vient également de mettre à disposition onze zones de Wi-Fi public, disponibles grâce à la fibre optique installée dans le cadre du placement du réseau de caméras.

“Il y a quelques mois, la Ville était retenue dans le cadre d’un projet européen. Cette initiative promeut la connectivité Wi-Fi gratuite pour les citoyens européens dans les lieux publics. En plus du subside de l’Europe, la Ville a débloqué une aide financière pour avoir plus de points d’accès”, peut-on lire sur leur page Facebook.

“Ce Wi-Fi, dont les bornes ont une portée jusque 40 mètres, est facile d’usage. Il suffit juste d’accepter les conditions d’utilisation. Marche-en-Famenne rejoint ainsi un réseau de 8.000 villes européennes.”

Ce weekend, deux cas de coronavirus ont été signalés au sein de l’Institut Cardjin Lorraine. Aussitôt les premiers symptômes apparus, les élèves ont été écartés et testés rapidement afin de contenir le début de contamination.

C’est ce vendredi qu’un premier élève de l’Institut d’Arlon a décidé de ne pas se rendre aux cours, présentant des symptômes liés au Covid-19. Effectuant un test dans la foulée, il a adopté le bon réflexe, celui-ci s’étant révélé positif !

C’est ainsi que la procédure ad hoc a été mise en place au sein de l’institut par sa direction, épaulée par le service provincial Promotion Santé à l’École (PSE) Retraçant tous les contacts rapprochés (moins d’1m50) que le jeune a pu avoir au sein de l’établissement, ils ont ainsi identifié plus d’une dizaine d’étudiants qui ont également dû observer une quarantaine et ont réalisé un test de dépistage. Aucun enseignant n’a été concerné.

La direction de l’Institut a rédigé un courrier destiné à l’ensemble des élèves de l’établissement expliquant la situation et les démarches effectuées indiquant également qu’ils se montreraient disponibles, tout comme le service PSE, en cas de question.

Les premiers résultats des tests de dépistage ont démontré qu’aucun autre étudiant ne portait le virus, ceux-ci pourraient donc réintégrer rapidement les cours (après leur période respective de quarantaine).

L’exemple d’une situation qui a bien été gérée, grâce notamment à une étroite collaboration entre le PSE et l’Institut Cardjin Lorraine.

Comme annoncé timidement par la SNCB, de nouvelles perturbations sont à craindre sur la ligne 162, plus précisément entre les gares de Libramont et d’Arlon. Des trains aux horaires adaptés ou même supprimés durant tout le mois de septembre. 

Une fois de plus, les navetteurs de cette ligne sont de nouveau confronté à des modifications d’horaires ou dans les cas les plus extrêmes, à des suppressions de trains. Comme le signale la SNCB sur sont site internet, de nouveaux travaux ont lieu sur ce tronçon et dureront jusqu’au 1er octobre si tout se passe pour le mieux. Ce qui a une conséquence directe pour les usagers !

On parle de certains trains tout simplement annulés, particulièrement les premiers de la journée, ce qui oblige les navetteurs à retarder leur journée de travail ou de tout simplement annuler leur voyage en train au profit de leur voiture personnelle.

On peut entendre un certain ras-le-bol provenant des usagers quotidiens de cette ligne, ponctuellement importunés, depuis de nombreuses années, par des retards ou des suppressions de trains dus à des problèmes techniques et pannes en tous genres.

Surpris une nouvelle fois par ces énièmes modifications d’horaires, les navetteurs n’ont d’autres choix que de prendre leur mal en patience.
Contacté par nos confrères de la Dernière Heure, le porte-parole de la SNCB précise : “certains jours du 7 septembre au 1er octobre, en raison de travaux effectués par Infrabel, le parcours et l’heure de départ de certains trains L Libramont – Arlon sont adaptés. Le planificateur de voyages tient déjà compte de ces adaptations.”