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vendredi, juillet 18, 2025
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Province : la saison du brame du cerf est lancée

Impressionnant – assourdissant – intimidant ! C’est ainsi qu’on pourrait décrire le cri du cerf en cette période ! Chaque année, dès la mi-septembre et jusqu’au mois d’octobre, le cerf rentre en période de reproduction. Le brame, cri du cerf en rut, est à écouter maintenant pendant la pleine période des amours. 

Chaque année, c’est un cri un rien spécial mais assez impressionnant qui s’élève de nos forets luxembourgeoises. En effet, dès la mi-septembre, le cerf brame. C’est ce qui définit le cri de ce cervidé lors du rut, la période d’accouplement.

Si le cerf use de son bel organe à tout va, c’est pour signaler sa présence mais aussi afin d’impressionner les autres mâles des alentours. Ainsi, il pourra séduire les femelles et les féconder. Au fond des bois, vous remarquerez aisément que le cri est parfois différent suivant le “message” que veut faire passer l’animal ! Vous pourrez également entendre leurs bois s’entrechoquer lors de leurs combats. Un combat qui désignera le cerf le plus fort qui pourra alors s’accoupler avec les biches des alentours.

Quelques précautions

Pour les amateurs de la nature, c’est à faire une fois dans sa vie tant le spectacle sonore (ou même visuel) est impressionnant !
Aller écouter bramer les cerfs ne présente néanmoins pas de réel danger à condition de prendre quelques précautions.

Comme nous le conseille le site de la province, Luxembourg Belge, évitez de trop vous approcher du territoire du cerf et de sa horde de biches (à moins d’une centaine de mètres, on peut très bien observer les cerfs sans risque).

N’utilisez pas de lampe de poche, évitez les bruits inopportuns (claquement de portières de voiture, sonnerie de portable, vêtements bruyants) car les cerfs ont l’ouïe fine.

Le cerf possède également un odorat très développé. Dès lors, évitez les parfums et l’odeur du tabac notamment.

On vous conseille également de vous faire accompagner par un professionnel et SURTOUT éviter les périodes de chasse.

Et armez-vous de patience ! Le cerf aime se faire désirer.

Où l’écouter ?

Pour écouter le brame en toute sécurité et dans le respect de la quiétude des animaux, deux possibilités s’offrent à vous en province de Luxembourg :

Les balades accompagnées

Partez en forêt avec un garde-chasse ou un guide nature chevronné. De plus, ceux-ci vous proposeront certainement un exposé préalable sur la vie du cerf et répondront à toutes vos questions. Vous pourrez retrouver toutes les balades proposées en province sur le site internet Luxembourg Belge.

Les zones libres

Il existe en Luxembourg belge une dizaine de “zones d’écoute libre” du brame dont la N889 entre Champlon et Nassogne, le site de la Converserie le long de la N89 (coordonnées GPS : lat. 50°5’26” – lon.5°27’1”), la forêt du Roi Albert en face de l’aérodrome de Saint-Hubert et aux abords de celui-ci, entre Libramont et Libin (N40), entre Florenville et Bouillon, la forêt d’Anlier, la plaine de Vlessart et près de Martelange, le Ban d’Alle entre Corbion et Sugny mais encore eu sein des forets Gaumaises.

Un bon nombre de sites afin d’écouter ce véritable spectacle ! Veillez toutefois à la quiétude de tous les animaux de la forêt.
Alors, enfilez un bon pull et de bonnes chaussures, le spectacle vaudra le détour.

Libramont : terre fertile d’écrivains aux styles bien différents (+vidéo)

Dans le cadre de “En piste les artistes !”, le projet culturel de mise en avant d’artistes habitant la commune de Libramont, nous sommes partis à la rencontre de deux écrivains, Nelly Laurent et Damien Fraiture. Et en cette période de rentrée littéraire, ces deux artistes dévoilent leur monde au style bien distinct. 

Qui de plus habile que des bibliothécaires afin de présenter ces deux auteurs libramontois ? Nous suivons ainsi Emmanuelle Robinet et Pauline Carlier qui nous emmènent toutes deux à la rencontre de ces écrivains passionnés.

Au détour du Musée des Celtes, institution Libramontoise là aussi, nous apercevons Damien Fraiture. Employé dans ce musée en tant qu’assistant informaticien, ce papa d’une jeune fille a également une autre passion dans la vie : l’écriture. “Je suis effectivement écrivain depuis plus de six ans. J’ai déjà sorti quatre livres alors que deux autres sont en cours de relecture et que deux autres ouvrages sont en cours d’élaboration.”

Un clin d’œil à son professeur de français

Rien ne prédestinait Damien à l’écriture, nous avouant même ne pas être un élève modèle lors des cours de français pendant son cursus scolaire. “Au départ, mes études artistiques ne m’ont pas permis de trouver du travail. C’est ainsi que j’ai débuté mon parcours en informatique. Lors de ma formation, il m’est arrivé d’écrire des petites histoires afin de faire rire mes collègues. On peut dire que c’est ainsi que j’ai débuté l’écriture.”, nous explique Damien.
“J’étais nul en français et il arrivait souvent que je me fasse descendre par le professeur ! C’est aussi pour cette raison que le chapitre de mon premier livre est une adaptation d’une rédaction qui m’a valu de très mauvais points. Une façon de prouver qu’avec un travail jugé médiocre, on pouvait écrire quelque chose de correct”, ajoute l’écrivain.

Pour ses différents écrits, Damien adopte un style plutôt fantastique, étant un fan de Stephen King particulièrement, et même s’il se dit à l’aise vis à vis de tous les styles d’écriture. Il lui est également arrivé de transposer la vie libramontoise dans ses livres : “il est vrai que Libramont se prête assez bien au développement de mes histoires. Un de mes écrits se déroule d’ailleurs dans les bois entre Freux et Libramont. Il y a pas mal de choses à raconter, des sujets qui se prêtent bien à l’écriture et qui sont encore dans mes cartons !” détaille notre auteur.

Un carnet à portée de main pour ses idées

Comme l’explique Damien Fraiture, les idées sont nombreuses et son imagination peut paraître sans limite lorsqu’il commence à écrire. Parfois, c’est même devant le poste de télévision qu’un thème jaillit dans l’esprit de l’auteur : “ça part parfois de n’importe quoi !” nous avoue Damien avec humour. “Je suis entrain de regarder un programme à la tv et je me dis que cela peut-être un thème à développer. J’ai donc un carnet toujours avec moi et je note l’idée.” Le fantastique me plaît particulièrement car on peut développer tout un monde en partant du principe que tout peut exister.”

Et quand on demande à Damien ce que lui apporte l’écriture : “je suis tellement bien quand j’écris. Je m’évade de mon quotidien. De plus, étant donné que je personnifie beaucoup mes personnages, je transpose le négatif dans mes écrits et je me sers de cela afin que ça soit une sorte d’exécutoire pour passer mes humeurs.” 

Si Libramont est une terre d’écrivains, nous avons voulu organiser une rencontre entre Damien et une autre auteure à savoir Nelly Laurent. “La rencontre entre deux écrivains est tout-à-fait spéciale car on n’a rarement la même approche, la même manière d’écrire et le même style. On apprend à connaître la personne, c’est vraiment un moment de partage.” 
C’est sur ces mots que nous partons à la rencontre de Nelly Laurent, auteure de récits de vie, à quelques encablures du Musée des Celtes.

Rencontre de deux sensibilités différentes

C’est face à un tout autre style d’écriture que nous emmènent les deux bibliothécaires. En plein cœur du centre-ville de Libramont, Nelly Laurent ouvre les portes de sa maison, endroit où naissent ses nombreux récits de vie.

Alors que Nelly a une formation d’enseignante, elle décide de consacrer sa vie professionnelle à un tout autre milieu. C’est ainsi qu’elle épaulera son mari, médecin généraliste, pendant près de quarante ans. Une médecine bien différente que celle que l’on connait actuellement, qui demandait une présence permanente à côté d’une ligne de téléphone fixe. Des années également où elle élèvera ses trois enfants en profitant du jardin où elle peut s’évader.

“J’avais presque cinquante ans quand je me suis donné la permission d’écrire car il y a toute une démarche.”, nous explique Nelly. Je pense qu’en moi il y avait ce rêve là mais j’ai attendu que le travail médical de mon mari soit facilité, notamment par l’arrivée des GSM, afin de réaliser mon rêve.” 

Des récits de sa vie

Nelly nous propose un tout autre style d’écriture comparé à celui de Damien, rencontré auparavant. L’auteure est passée maître dans l’écriture de récits de vie où elle se passionne à raconter des fragments de vie, de sa vie notamment. “Jai toujours sous la main ma famille. J’écris souvent pour la famille, pour transmettre le témoin et pour les encourager les uns et les autres à être plus vivant sur le chemin où chacun est unique.” 

Alors que Damien s’évade grâce à l’écriture, la rencontre avec Nelly nous apprend que c’est tout autre chose qui anime sa passion : “mon rêve d’écriture c’est celui du partage et sûrement pas celui de m’évader.” nous glisse-t-elle. Je ne désire pas réaliser un travail de fiction ni d’historienne. Mon objectif principal est la transmission. Mais j’écris d’abord pour moi car mettre des mots sur ce que je ressens, ce que j’écris à partir de mes sensations, c’est cela qui me conduit.” ajoute-t-elle.

L’écrivaine nous livre des récits ou sont présents notamment tous les éléments qui ont entouré ou entourent encore sa vie ainsi que les personnes importantes au sein de celle-ci, comme son papa évoqué des ses écrits. “Il m’arrive que les lecteurs me parlent de mon père alors qu’ils ne le connaissent qu’à travers mes livres. Mon père est mort quand je n’avais que six ans, je suis tellement heureuse quand on me parle de lui. Ecrire est un risque car on ne sait pas comment les lecteurs vont recréer le livre à leur manière mais ça vaut le coup car leurs retours, … c’est extraordinaire !”, explique Nelly.

Du boitier au stylo 

Si Nelly se consacre beaucoup à l’écriture, une autre passion l’animait auparavant, celle de la photo. “la définition de la photo c’est d’écrire avec la lumière, j’avais besoin de passer par là et de comprendre qu’il y avait aussi une autre manière d’écrire. Mais le bonheur d’écrire au stylo sur une page blanche est toujours bien présent.” 

Et pour terminer cette belle rencontre, Nelly tient à nous livrer un texte à propos des artistes et de ce qu’ils font dans leur domaine, un texte de François Cheng, écrivain : “Il faut sauver les beautés offertes et nous serons sauvées par elles. Pour cela, il nous faut, à l’instar des artistes, nous mettre dans une posture d’accueil (…). Ménager constamment en nous un espace vide fait d’attente attentive, une ouverture faite d’empathie d’où nous serons en état de ne plus négliger, de ne plus gaspiller, mais de repérer ce qui advient d’inattendu et d’inespéré.”

Libramont : un accident mortel cette nuit à la rue du Serpont

C’est ce matin qu’une voiture a été découverte en contrebas d’un talus à la hauteur de la rue du Serpont à Libramont. Son conducteur est malheureusement décédé.

Un accident s’est produit cette nuit à Libramont comme nous l’apprennent nos confrères de L’Avenir.

Le conducteur de la voiture aurait probablement perdu le contrôle de son véhicule avant de percuter un poteau et de terminer sa course en contrebas d’un talus, faisant une chute de plus de cinq mètres.

Si l’accident a eu lieu cette nuit, la voiture accidenté n’a été retrouvée que ce matin vers 9h. Le conducteur est malheureusement décédé.

Par respect pour la famille, les amis et les proches, nous ne divulguerons pas plus d’informations sur l’identité de la victime.

Luxembourg : la salle de concerts “L’Atelier” touchée par un incendie

Une année particulièrement difficile pour la salle de concerts et de spectacles “L’Atelier” située à la rue de Hollerich à Luxembourg ! Après la crise sanitaire, c’est un incendie qui est venu entacher encore un peu plus le moral de l’équipe. Heureusement, ce ne sont que de petits dégâts matériels qui sont à déplorer. 

“Et pour couronner le tout …”. Voici les mots choisis par l’équipe lors de l’annonce de cet incendie. Signe que ceux-ci sont lourdement touchés en cette année 2020. Après le Covid19, cet incendie vient à nouveau frapper l’établissement !

Heureusement, pas de blessé comme le confirme L’Atelier, que des dégâts matériels. Le feu aurait pris au niveau d’un appareil électroménager et les dégâts à l’intérieur sont finalement minimes.

L’équipe de L’Atelier, qui a d’ailleurs remercié la police et le corps grand-ducal d’incendie pour leur intervention rapide, ne compte pas se laisser abattre pour autant afin d’oublier au plus vite cette année 2020.

Arlon : le P+R de Viville pas avant 2027 ! Une autre solution envisagée

Pas besoin de le rappeler, prendre sa voiture pour se rendre au Grand-Duché de Luxembourg le matin est un véritable calvaire ! Une perspective de solution se profilait via la mise un place d’un P+R à Viville mais est sans cesse repoussée aux calendes grecques ! Un autre projet est donc maintenant à l’étude : l’installation d’un P+R sur l’aire d’autoroute de Sterpenich. 

Cette problématique est au cœur des débats depuis de nombreuses années ! Il suffit d’interroger les navetteurs frontaliers afin de comprendre le ras-le-bol qui est le leur chaque matin. D’annonces en tous genres en projets abandonnés, les solutions font du surplace et le problème reste non solutionné.

Du côté de Viville (Arlon), alors qu’on pensait qu’une solution viendrait par l’installation d’un P+R, on apprend que le dossier sera probablement reporté à l’issue des travaux sur la ligne 162 Luxembourg-Bruxelles, soit en 2027 !

C’est dans ce cadre que deux députés wallons, Anne Laffut et Yves Evrard (tous deux MR), ont présenté un nouveau projet qui permettrait de faciliter la mobilité transfrontalière.

L’aire de stationnement de Sterpenich

Et pourquoi ne pas installer le parking P+R sur l’aire de repos de Sterpenich ? Voici la question sur laquelle travaillent les deux députés libéraux en cette rentrée parlementaire. Ce parking serait alors relié à la gare ferroviaire de Kleinbettingen (GDL) par des navettes de bus qui pourraient être gratuites au vu de la politique mise en place pour les transports en communs luxembourgeois.

Quoiqu’il en soit cette proposition semble, pour les deux députés, une excellente alternative. Pour eux, les infrastructures déjà existantes pourraient suffire, les aménagements lourds ayant déjà été effectués. Il resterait d’autres aménagements à faire, plus légers ceux-ci et peu coûteux, comme l’agrandissement du parking déjà existant.

Si une telle solution est envisagée, une redirection des poids lourds stationnant à Sterpenich vers l’aire de Hondelange (située à quelques kilomètres) devra être mise en place. Des négociations avec les transports en commun luxembourgeois devront également avoir lieu afin de trouver un terrain d’entente entre les deux pays.

Une solution opérationnelle rapidement 

Si pour Anne Laffut (bourgmestre de Libin), ce projet pourrait peut-être encourager les usagers à utiliser la bande de co-voiturage qui, disons le clairement, s’avère être un échec, ils s’entendent à dire que ce projet est une proposition où les deux pays seraient gagnants mais surtout où une réelle solution de mobilité serait proposée aux navetteurs, à savoir se rendre dans la capitale Luxembourgeoise en empruntant le train au départ de la gare de Kleinbettingen. Une solution proposée qui pourrait être mise en place à moindres coûts et cela dans un laps de temps relativement court.

Si on doit l’impulsion du projet aux deux députés (appuyés par le président provincial du MR, Benoit Piedboeuf, membre également du CA des CFL), la mise en place de cette solution ne pourra avoir lieu qu’avec l’appui du ministre Philippe Henry, en charge de la mobilité.

GDL : reprise de la régulation de vitesse à 90 km/h sur les autoroutes A6 et A1

Attention si vous prenez la route chaque matin en direction du Grand-Duché de Luxembourg ! Le gouvernement annonce la reprise de la limitation de vitesse sur les autoroutes A6 et A1, c’est-à-dire, notamment à partir de la frontière belgo-luxembourgeoise (Sterpenich). 

Voici le communiqué envoyé par l’Administration des ponts et chaussées

À partir du lundi 21 septembre 2020, au vu d’un trafic revenu à la normale, la régulation de vitesse à 90 km/h sera à nouveau activée aux heures de pointe du matin (de 6h à 9h15) sur les autoroutes A6 et A1, ceci de la frontière belgo-luxembourgeoise (Sterpenich) jusqu’à l’échangeur Kirchberg.

Le 3 juin 2019, la régulation de vitesse, qui n’est pas appliquée pendant les week-ends, les jours fériés et les vacances scolaires, avait été introduite au Luxembourg.
Un premier bilan avait montré que le flux du trafic est devenu plus homogène et les changements de files ainsi que les manœuvres de freinage brusques ont diminué.
Ceci a eu comme conséquence une fluidification générale du trafic, le temps de voyage et le risque d’accident ont été réduits.

 

 

Bellefontaine : Goldaze nous revient avec un nouveau single (+vidéo)

C’est un nouveau titre que vient de sortir ce vendredi Goldaze, le DJ/producteur Bellifontain ! Découvrez sans plus attendre “Lose it” ! Un titre entraînant, qui inviterait à faire la fête et à danser selon le jeune DJ ! 

Dans le milieu de la musique électronique en Belgique, Brice Plainchamps, alias Goldaze, n’est plus à présenter. Propulsé sous la lumière des projecteurs il y a quatre ans avec le tube “Lights Of My Hometown”, en featuring avec Florent Brack (avec qui il ne cesse de collaborer, on vous en parlait dans cet article), le Luxembourgeois promet une nouvelle fois de tourner sur les ondes avec ce nouveau single !

La carrière artistique de l’actuel régisseur du Centre Culturel de Rossignol (Tintigny) ne cesse de s’étoffer depuis notamment son arrivée sur le label Black Gizah Records, celui de Kid Noize !
C’est dans ce cadre que le DJ nous revient ce vendredi avec son nouveau single “Lose It”, morceau entraînant “qui nous fera sortir de la morosité ambiante” selon Goldaze

Vivalia présente l’avant-projet du futur Centre Hospitalier Régional (+vidéo)

C’est un dossier que tous les Luxembourgeois connaissent, au moins de nom ! Et il y a de quoi car il concerne le nouveau centre hospitalier qui couvrira la région centre-sud ! Si celui-ci a déjà fait beaucoup d’encre, le projet avance si bien que Vivalia nous présente aujourd’hui l’avant-projet du futur hôpital. 

C’est une nouvelle étape dans le projet Vivalia 2025 avec la présentation de l’avant-projet du futur Centre Hospitalier Régional Centre-Sud qui va redessiner le paysage des soins de santé de la province de Luxembourg et de ses régions limitrophes.

Un avant-projet qui développe les dispositions générales établies et formalisées au stade précédent, celui des esquisses. Vivalia nous présente une planification détaillée qui comprend les caractéristiques définitives du projet architectural pour ce qui concerne tant le bâtiment hospitalier, que ses abords ou encore les parkings.

“Entrez dès aujourd’hui dans l’hôpital de demain.”

Vivalia nous invite à faire notre première visite dans le futur CHR, à travers cette vidéo de présentation. Découvrez l’intérieur de l’hôpital, les matériaux, les espaces aménagés, la structure du site, etc.
Votre guide s’appelle Juliette. Elle vient rendre visite à sa sœur, qui est hospitalisée. Suivez-là depuis l’entrée de l’hôpital en passant par le hall d’entrée, les ascenseurs, le salon des familles et enfin, la chambre de sa sœur.

Un dossier complet consacré à l’avant-projet est disponible sur le site internet Vivalia 2025.

Appel à témoins suite au décès suspect d’Antoine Marchal à Bomal

A la demande du Juge d’instruction Thierry Maes à Marche-en-Famenne la police vient de diffuser sur son site www.police.be et via ses différents médias à un appel à témoin concernant le décès d’Antoine Marchal, 62 ans.

Voici ce que dit le communiqué :

Dans la soirée du mercredi 9 septembre 2020, le corps sans vie d’Antoine MARCHAL plus connu sous le diminutif de “Tarzan” a été retrouvé à son domicile situé au Trieux à Bomal.

Monsieur Marchal a été vu pour la dernière fois le lundi 31 août.

Son véhicule, une Volkswagen Touareg blanche reste introuvable. Il s’agit d’un ancien modèle de véhicule de police de l’année 2006 immatriculée 1-XKL-137. Les calandres ont été repeintes grossièrement en gris et laissent apparaître la couleur initiale orange.

Dans le cadre de cette enquête, il est demandé aux personnes qui auraient remarqué un individu ou un véhicule ou des agissements suspects à proximité du domicile de la victime entre le 31 août et le 9 septembre 2020 de se manifester auprès des enquêteurs.

Il est aussi demandé aux personnes qui pourraient donner des renseignements utiles concernant la localisation du véhicule de la victime de se manifester.

La discrétion est assurée.

Si vous détenez des informations sur les faits décrits ci-dessus, vous pouvez prendre contact avec les enquêteurs via le numéro gratuit 0800 30 300 ; par mail en écrivant à avisderecherche@police.belgium.eu

“Boulard en mode vacances”, la nouvelle BD du dessinateur Stedo

C’est avec un nouvel album que nous revient le dessinateur Stedo ! Alors que ce septième tome de “Boulard” devait sortir il y a quelques mois, le héros de cette BD a été lui aussi victime du Covid-19. C’est ainsi qu’il part en vacances alors que les nôtres sont terminées ! 

C’est dans le contexte du coronavirus que Stéphane Dauvin, alias Stedo, a signé les dessins du 7e tome de cette série. Des dessins qu’il a repris il y a quelques années maintenant, alors qu’Erroc signe toujours le scénario de cette BD présentant un adolescent aux allures de Ducobu !

La BD “Boulard” met en scène le personnage éponyme, sorti tout droit de l’univers des albums de la série “Les Profs”. Un héros, malgré lui, qui a maintenant droit à sa propre série. Avec cet album qui emmène Thierry Boulard en vacances, Stedo signe sa troisième participation à la série, lui qui a remplacé le dessinateur Mauricet au pied levé.

Boulard en mode vacances ! 

Alors que la période estivale et ses traditionnelles vacances se clôturent tout doucement, c’est à ce moment que “Boulard se met en mode vacances !”. Passer toute une année en essayant d’être le meilleur cancre possible, finalement, c’est un vrai boulot. Et un boulot fatigant en plus. Pour Boulard, l’heure du farniente a enfin sonné et ces vacances vont lui faire un bien fou.

Mais que ce soit avec les parents ou avec les potes, Boulard va découvrir que les vacances, c’est aussi du travail : les trajets, les rencontres, les galères… Bref, on ne trouve pas un seul moment pour se reposer ! Franchement, il y a de quoi se demander comment il va faire pour être d’attaque pour une nouvelle année à taquiner les profondeurs du classement général.

Le dessinateur Stedo nous avoue qu’il a pris beaucoup de plaisir à dessiner cet ado, véritable cancre de l’univers de la BD car c’est un personnage amusant et rigolo à dessiner.

Une BD sur le thème des vacances terminée, mais ce n’est pas pour autant que le dessinateur en prendra, lui qui donne également ses coups de crayons à la série “Les pompiers” et aux albums mettant en lumière les exploits de nos Diables Rouges ! Deux autres projets sur la table du dessinateur qui devraient arriver dans les meilleures librairies dans quelques temps.

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