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dimanche, juillet 20, 2025
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Libramont : une nouvelle lockdown party à l’arrière d’un garage automobile

Une nouvelle fois, les forces de l’ordre ont du intervenir hier soir afin de mettre fin à une lockdown party ! Elle se déroulait à l’arrière d’un tout nouveau garage automobile à Libramont, route de Recogne. 

Il est aux environs de 19h quand les policiers ont délogé entre 50 et 100 personnes rassemblées à l’arrière du tout nouveau garage Nissan à Libramont.

Informés de la présence d’un bon nombre fêtards à l’arrière du bâtiment, les forces de l’ordre ont pu dénombrer une quarantaine de personnes en train de boire un verre ; certaines ayant déjà pris la fuite !

Les gérants ont expliqué qu’ils avaient décidé d’offrir un verre aux employés de plusieurs garages de la région au terme d’une journée de formation. Sur place, les autorités découvriront plusieurs bars remplis de bouteilles d’alcool. Le parquet a été avisé.

Des GSM et du matériel informatique ont été saisis lors de la descente de police. L’enquête  a été confiée au Service d’Enquête et de Recherches qui poursuivra ses recherches afin de récolter des éléments de preuve et de préciser le scénario de cette fête clandestine.

Le parquet avait fait le point hier sur les infractions Covid ! 

Un nouvelle fête clandestine qui arrive au lendemain de la mise au point faite par les autorités concernant ces lockdown party !

Depuis quelques jours, le Parquet du Luxembourg a demandé aux services de police une surveillance accrue en vue du respect des règles sanitaires, avec une attention particulière portée aux fêtes ou “lockdown parties” se déroulant dans des lieux privés.

Depuis plusieurs semaines déjà, les services de police sont intervenus dans des gîtes où s’étaient rassemblées de nombreuses personnes au mépris de toutes les règles sanitaires, et des efforts consentis par chacune et chacun pour lutter contre la pandémie.

Dorénavant, pareils comportements seront sanctionnés encore plus sévèrement : 750€ de transaction pénale pour chaque personne participant à de tels rassemblements et 4 000€ pour chaque organisateur. Le Parquet peut également décider de poursuivre immédiatement devant le tribunal.

Il attire par ailleurs l’attention de la population sur le fait qu’il pourra ordonner la saisie immédiate des véhicules avec lesquels ces personnes se sont rendues sur les lieux de rassemblement ainsi que des GSM, sono, etc, outre le bénéfice réalisé lors de ces soirées. Ce qui a été fait, ici en l’espèce, à Libramont !

En cas de poursuites devant le tribunal, le parquet s’opposera à toutes mesures de faveur et à toutes mesures alternatives aux peines d’emprisonnement ou d’amende prévue par la loi.

Libramont : la jeune soprano Louise Thomas, la “voix” à suivre (+vidéo)

Dans le cadre de “En piste les artistes !”, le projet culturel de mise en avant d’artistes habitant la commune de Libramont, nous sommes partis à la rencontre de Louise Thomas, une jeune soprano originaire de Séviscourt. Jeune mais pour le moins talentueuse, Louise est diplômée du Conservatoire Royal de Bruxelles en chant lyrique. Une passion devenue un réel métier ! 

Titulaire de plusieurs masters, dont celui du Conservatoire Royal de Bruxelles, récompensée de plusieurs prix, elle est également montée sur la scène de plusieurs festivals reconnus, Louise n’est pourtant âgée que de 25 ans !

Vous avez dit prodige ? 

Et pourtant, ce n’est pas vers le chant lyrique que voulait se tourner la jeune soprane. Même si cela reste de l’art, dès son jeune âge, elle est inscrite et pratique la danse dans une académie à Recogne. Dans la foulée, elle apprend également le solfège ainsi que la flûte traversière. Ce n’est que plus tard et par hasard que la passion du chant va l’envahir ! “J’ai commencé le chant en académie vers l’âge de 15 ans, c’est véritablement à ce moment que ma passion a démarré”, nous confie d’entrée de jeu Louise. “C’est aussi le moment où j’ai dû choisir des études supérieures et c’est tout logiquement et par envie que je me suis tournée vers le conservatoire”, poursuit-elle.

Des études qu’elle continuera au sein du Conservatoire de Bruxelles d’où elle sortira avec un master en chant lyrique. Conservatoire qu’elle ne quitte plus, puisqu’elle y poursuit actuellement un autre Master spécialisé en mélodies françaises. Et ce n’est pas tout ! Au Conservatoire de Mons cette fois, Louise se perfectionne et achève un Master en didactique afin de parfaire sa formation de professeure de chant.

En parallèle et en complémentarité de son master bruxellois, la jeune Louise a également rejoint Monaco par la suite où elle a suivi une formation pour artiste de chœur, la Formation Internationale Professionnelle des Artistes de Chœurs. Elle propose aux jeunes chanteurs ayant obtenu leur diplôme d’études musicales de renforcer leurs compétences et de se perfectionner en développant leur maîtrise des différents répertoires et leur expérience artistique, musicale et scénique. Une école de la vie professionnelle de chanteuse lyrique ! Une formation qui la mènera jusqu’à la scène des Chorégies d’Orange où elle participera au projet Guillaume Tell, œuvre de G. Rossini.

Comment apprend-on à chanter ?

On pourrait se poser la question de savoir comment on apprend réellement le chant. Il suffit d’entendre des personnes de son entourage personnel afin de se rendre compte que c’est comme un don, ces dernières pouvant, en poussant la chansonnette, faire s’abattre des litres d’eau en un instant ! “Effectivement, pour apprendre le chant, il n’y a pas de véritable recette miracle ! Nous explique Louise. “J’ai eu la chance d’avoir de bons professeurs, des professeurs qui me convenaient durant mes études. J’ai beaucoup évoluée grâce à eux !”

Louise pratique le chant lyrique. Des chants bien différents de ceux qu’on peut entendre sur les ondes des radios conventionnelles. Que ce soit en soliste, dans un chœur ou encore accompagnée par un petit ensemble d’instruments, Louise choisit ses chants en fonction de ce qu’elle aime et c’est tout naturellement qui viennent ses choix : “il existe énormément de chants qui sont dans le domaine publics puisque ce sont d’anciens compositeurs. Je travaille plus rarement avec les nouveaux compositeurs même si c’est toujours enrichissant d’avoir leur retour puisque eux sont toujours présents”, nous dit-elle avec le sourire.

Au niveau de l’inspiration, la jeune libramontoise aime aller vers tous les horizons afin d’élargir son répertoire : “il y a énormément de personnes qui m’inspirent car chacun peut apporter un côté personnel dans l’interprétation d’une œuvre. On peut trouver de bonnes choses auprès de beaucoup d’artistes lyriques”. 

Un métier compliqué

Si le chant est une passion pour certains ou encore de rares moments sous la douche pour d’autres, pour Louise, il s’agit maintenant d’un métier. Se produisant sur un maximum de scènes, passant le plus d’auditions possibles afin de décrocher la possibilité de se produire lors de concerts ou afin d’obtenir un rôle ; le métier est assez compliqué comme nous confie la chanteuse. Mais persévérante, Louise ne se laisse pas abattre et veut vraiment poursuivre sa carrière dans le domaine : “j’ai vraiment envie de faire carrière dans ce domaine qui me plaît, être sur scène en costume avec un orchestre, faire de l’opéra. J’espère vraiment qu’avec les premiers engagements que j’ai décrochés, mon train puisse démarrer afin de réellement pouvoir en faire ma carrière et pourquoi pas de tourner mondialement !”

C’est tout ce que nous souhaitons à Louise qui, à seulement 25 ans, a toute une carrière devant elle.

Province : la collecte PMC en porte-à-porte à partir d’octobre 2021

C’était sur la table depuis pas mal de temps, des communes pilotes ayant même été mises en place, le grand changement est maintenant annoncé ! À partir d’octobre 2021, les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques et les cartons à boissons ne seront plus collectés via les recyparcs mais en sacs bleus, les fameux sacs PMC !

Cette fois c’est sûr, en octobre 2021, fini de se rendre dans les recyparcs y amener bouteilles, canettes et autres cartons à boisson, la collecte en porte-porte des sacs bleus sera instaurée. Sans cesse repoussée depuis quelques années, Idelux abandonnera donc la collecte des PMC dans les parcs à containers au profit d’une collecte, toutes les deux semaines, devant votre domicile au sein des 44 communes luxembourgeoises (plus 11 communes liégeoises également membres d’Idélux Environnement), la province de Luxembourg étant la dernière à passer à ce mode de ramassage !

Comment cette collecte se déroulera-t-elle ?

Au sein de ces désormais nouveaux sacs bleus, vous pourrez y jeter les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques (cannettes, raviers en alu, boites de conserve) et les cartons à boissons. Vous pourrez également y jeter les autres emballages plastiques : raviers de margarine, pots de yaourt, les films, les sachets et les barquettes. Grâce à cette nouvelle collecte, Idelux Environnement devrait ainsi collecter 23 kg d’emballages par an et par habitant, soit 13 kg de plus qu’actuellement. Ces déchets ne seront plus acceptés au sein des recyparcs.

La première collecte en porte-à-porte est prévue début octobre ; on parle d’un lancement à partir du lundi 4 octobre 2021. Quoiqu’il en soit, Idelux informera la population quant à la date précise de démarrage pour chaque zone de ramassage.

La collecte en porte-à-porte sera réalisée toutes les deux semaines. Vous devrez donc acheter ces rouleaux de sacs, d’un volume de 60l, qui seront disponibles au prix de 3€ (20 sacs) dans les commerces locaux ; pas d’autres coûts supplémentaires, la collecte étant réalisée par Fost Plus qui prendra à sa charge les coûts relatifs à celle-ci.

Pour ce qui est des commerces, des gîtes, des restaurateurs, des administrations, ceux-ci pourront bénéficier de la collecte élargie des PMC en porte-à-porte en utilisant ces sacs de 60 litres. Dans les écoles, les poubelles de tri seront remplacées par des conteneurs et des sacs de 120 litres.

Sainte-Marie-sur-Semois : Allume le four, le service traiteur désormais en ligne (+vidéo)

Il est des noms de commerces que l’on retient facilement tant ceux-ci nous parlent et nous accrochent. Que dire de Allume le four, le boutique d’Olivier Donners située à Sainte-Marie-sur-Semois ? Tout, ou presque, est dit dans ce nom équivoque. Le traiteur vient d’ailleurs de lancer son nouveau site Internet où les clients peuvent commander les plats directement en ligne.

“Allume le four, j’arrive”, voici comment est né ce projet au nom plus qu’évocateur ! C’est dans le village gaumais de Saint-Marie-sur-Semois dans la commune d’Etalle que Olivier Donners installe sa boutique en octobre 2018. Très vite, il doit trouver un nom qui colle à l’activité qu’il veut lancer. Et c’est grâce à un ami que cette idée est arrivée : je voulais que le nom de mon entreprise de plats à emporter commence par un “A”. Avec un ami, on s’est donc mis en situation. On a imaginé une personne rentrant dans ma boutique afin de retirer un repas et qui téléphonerait alors à sa dame restée à la maison : chérie, allume le four, j’arrive ! C’est ainsi que le nom nous est apparu évident !” nous confie Olivier, non sans une pointe d’humour.

La cuisine comme passion 

Le traiteur Olivier n’est pas un novice dans le domaine de la restauration et se définit même comme un passionné de cuisine : “j’ai commencé mon parcours par un passage obligé à l’école hôtelière de Bruxelles et je suis ensuite passé par quelques restaurants gastronomiques de la capitale”, nous raconte Olivier. “Par la suite, je suis arrivé au Grand-Duché de Luxembourg où j’ai continué à cuisiner dans quelques établissements gastronomiques mais j’ai effectué également du service traiteur et de la vente au comptoir.”

Mais rapidement, le cuisinier se lasse des horaires décalés et coupés et comprend que ce qu’il apprécie de plus en plus c’est le contact client qu’il a pu découvrir auparavant lors de la vente au comptoir. “C’est à ce moment que je me suis dit qu’il fallait que j’ouvre un service traiteur où les gens viennent chercher ce que je fais !”, continue Olivier.

Des produits frais dans des emballages recyclés

Cuisiner et proposer des plats traiteur s’est donc imposé aux yeux d’Olivier. C’est ainsi que depuis fin 2018, le four n’a jamais cessé de tourner et qu’Olivier n’a jamais cessé de concocter de nouvelles recettes. Des recettes sans cesse renouvelées et élaborées, tant que faire se peut, avec des produits de la région en faisant fonctionner les circuits-courts : “je trouve mon inspiration grâce aux produits de saison mais aussi en fonction de ce que mes différents producteurs ont en stock ! J’ai aussi une demande particulière chaque semaine ; celle de ma femme pour qui je cuisine un plat spécial !”, nous explique-t-il avec le sourire.

C’est aussi dans le choix des emballages qu’Olivier se différencie, un choix délibéré de se tourner vers des produits plus écologiques : “j’ai choisi des emballages sans plastique et sans aluminium. Ce sont des matières recyclables notamment en carton kraft. Même si cela à un coût et qu’il m’a fallu pas mal de temps pour les trouver, je mets un point d’honneur sur une gestion plus durable des déchets. Et ces conditionnements vont bien entendu au four et au micro-ondes ! poursuit le traiteur.

Commandes en ligne sur un nouveau site internet 

Et le principe d’Allume le four est très simple. Chaque semaine, sur un tout nouveau site internet, Olivier publie la liste des plats qu’il cuisinera et qui seront proposés à la clientèle. Des plats variés, parfois exotiques mais aussi régionaux sans oublier un choix de soupes disponibles chaque jour. Un passage dans la boutique permet au client de retirer le met désiré pour lequel il ne devra plus s’acquitter que d’une seule tâche : celle d’allumer son four !

Mais ce n’est pas tout ! Grâce à ce nouveau site internet remis au goût du jour, le traiteur ajoute une corde à son arc ! Olivier a décidé d’y insérer la possibilité de commander les plats en ligne : j’ai profité d’une remise à neuf de mon site internet afin d’y proposer une fonction de commande en ligne. Récemment, nous nous sommes rendu compte que les modes de vie changeaient et que les gens commandaient de plus en plus en ligne. J’ai donc franchi le pas, explique le cuisinier. “Les menus sont affichés et cela à un côté pratique pour tout le monde !”

Et quand on demande à Olivier la raison pour laquelle ses clients n’ont “qu’à allumer le four”, il répond : “tout simplement parce que ma boutique se trouve sur le chemin du retour du travail, il suffit d’enlever la commande et cela évite, par exemple, de manger des pizzas surgelées ou de manger de nouveau à la friterie du coin comme c’est souvent le cas lorsque l’on manque de temps ! C’est la meilleure alternative.” Conclut-il avec humour.

Allume le four se trouve à Sainte-Marie-sur-Semois, dans la Grand’Rue.
Pour les commandes en ligne et les menus, rendez-vous sur le site internet Allume le four
Téléphone : 0492 400 198
Mail : allumelefour@yahoo.com

Arlon : des chiens renifleurs formés à la détection du Coronavirus (+video)

Depuis la première vague du Coronavirus, divers projets visant à former des chiens à la détection du virus ont vu le jour à travers le monde (notamment en France). En Belgique, ce projet a été repris par différentes autorités. Dans le cadre de celui-ci, des échantillons doivent être prélevés afin de faire avancer les recherches et c’est ainsi que le samedi 26 décembre prochain, le Kiwanis d’Arlon vous invite à venir donner vos odeurs afin de constituer un large échantillon ! 

C’est un large projet soutenu par la police fédérale, les pompiers, la protection civile, l’armée mais aussi les universités. Ainsi, à l’initiative du doyen de la faculté de médecine vétérinaire de Gand, un comité directeur a été mis en place. Il regroupe un professeur de la faculté de médecine vétérinaire de Liège, un chimiste chercheur, spécialisé dans la sueur, le directeur DACH et l’ancien président de l’Association internationale d’élevage de chiens de travail.
Ce projet a ensuite été validé  par le gouvernement à la mi-novembre et un budget spécifique a été alloué par un arrêté royal spécial afin que les matériaux puissent être achetés et que les tests PCR puissent être effectués sur des sujets.

Donnez vos odeurs de sueur ! 

Lundi dernier, la première phase du projet a débuté dans le centre de formation de la Direction d’appui canin de la Police Fédérale situé à Neerhespen. Durant cette phase on a appris aux 14 chiens renifleurs des autorités publiques déjà formés (drogues, explosifs ou personnes) à détecter l’odeur spécifique des patients atteints de COVID à travers leur sudation. À cette fin, plusieurs hôpitaux ont fourni leur soutien pour l’apport d’échantillons de patients positifs. Des centaines d’échantillons positifs et négatifs provenant de diverses personnes ont été récoltés afin de pouvoir établir que les chiens font ici clairement la distinction.

Afin de constituer un large échantillon, avec des personnes de tout âge, notamment émanant de personnes négatives au virus mais aussi d’autres personnes souffrant de différentes pathologie comme la grippe, le Kiwanis d’Arlon, sous la présidence de René Sigard, organise une séance de dépistage le 26 décembre prochain dès 15h00 et se déroulera au nouveau hall sportif n°2 de la Spetz à Arlon. Lors de celle-ci, un morceau d’ouate sera disposée sous vos aisselles dans le but de récolter vos odeurs de sudation. Devenez volontaires ! Vous devrez rester assis pendant 30 min le temps d’imprégner cette ouate de vos odeurs corporelles.

Pour ceci, une inscription est obligatoire via cette adresse fabienneleger23@gmail.com. Une heure de passage vous sera alors communiquée. Cette grande opération se déroulera bien entendu dans le plus strict respect des consignes de sécurité et sera encadrée par une équipe médicale formée.

Vous aurez également l’occasion de vous faire tester grâce à un prélèvement nasal afin de croiser ces données avec la prise d’échantillon et un questionnaire médical.
L’ensemble du procédé se fait après une analyse de risque et dans le strict respect des mesures sanitaires en garantissant l’anonymat total des patients qui ont collaboré ainsi que le respect du bien-être animal.

Une étude sérieuse

La première phase, qui s’étalera sur plusieurs semaines, est une phase de validation purement scientifique dans laquelle on étudie dans quelle mesure l’odeur, que les chiens distinguent, peut être pleinement liée au Covid. Si cette première phase démontre scientifiquement que les chiens peuvent distinguer efficacement les personnes atteintes de COVID des autres, il appartiendra au gouvernement de décider où les chiens pourront ensuite être déployés (aéroports, centres de soins résidentiels, services d’urgence tels que la police, les pompiers, l’entrée aux événements, les écoles,…).

En fonction de cette décision, des chiens devront ensuite être achetés et formés. Ensuite, du personnel sera formé dans une deuxième phase, qui sera déployée après une certification centrale.

Arlon : 766 km à vélo jusque Knokke, 8500€ récoltés pour la construction d’une école au Sénégal

En juillet dernier, nous vous parlions déjà de ce projet fou de ces deux jeunes arlonais, Isidore et Guillaume. Relier Arlon à Knokke en passant par les dix chefs-lieux de province. En moins de cinq jours, il leur fallait parcourir plus de 760km afin de récolter un maximum d’argent pour la construction d’une école au Sénégal. Défi réussi et 8500€ de récoltés ! 

C’est fin août que Guillaume Swings et Isidore Ponsard ont enfourché leur monture pour les premiers tours de pédales devant les mener jusque Knokke ! D’1 bOut à l’autre, est le projet de ces deux jeunes en quête d’un beau défi caritatif.

D’Arlon jusque Knokke, en passant par les dix chefs-lieux de province, un réel tour de Belgique dans un but bien précis : récolter des fonds pour l’ASBL Juddu parrainant des enfants déscolarisés des bidonvilles de Dakar afin de leur donner la possibilité de suivre un cursus scolaire. Nous les avions alors rencontrés juste avant leur départ afin de leur consacrer un article. 

8500€ pour l’association Juddu ! 

Entre 130 et 160 kilomètres par jour, logés en auberge de jeunesse ou chez des connaissances, essuyant tantôt la pluie, tantôt les ennuis techniques, les deux jeunes arlonais ont réussi leur pari !
En plus des difficultés ajoutées à leur dessein de base, les deux amis voulaient également apporter une dimension caritative à leur projet en récoltant un maximum de fonds pour l’association Juddu. Cette association arlonaise parraine des enfants déscolarisés des bidonvilles de Dakar afin de leur donner la possibilité de suivre un cursus scolaire. Ainsi, via une cagnotte en ligne et grâce à leur défi, Guillaume et Isidore pourront offrir un chèque de près de 8 500€ ! Une somme inespérée selon les deux comparses.

La remise de ce chèque à Juddu aurait dû se faire à l’ancien palais de justice d’Arlon mais elle n’aura pas malheureusement pas lieu au vu de la situation sanitaire.

“Nous clôturons officiellement notre premier projet”, nous expliquent-ils, “mais malheureusement, nous devons le faire virtuellement étant donné les circonstances actuelles.”

“Nous aurions aimé nous joindre aux membres de Juddu pour aller à la rencontre des enfants de Pikine ; ce n’est que partie remise. A vous tous qui nous avez encouragés durant notre périple et qui avez soutenu ce projet par vos dons, nous vous disons tout simplement merci.”

Et c’est via une vidéo que Guillaume et Isidore on décidé de retracer leur périple autour de la Belgique :

Montage Final Arlon-Knokke 2020 from D’1 Bout À L’Autre on Vimeo.

Saint-Léger : grâce à une marche, les éclaireurs (scouts) offrent des repas au personnel de Vivalia

Encore une fois, les scouts ont prouvé qu’ils étaient “toujours prêts”, à l’instar de leur promesse ! A Saint-Léger, les éclaireurs ont décidé d’organiser une marche afin de débloquer une somme d’argent destinée à offrir des repas au personnel soignant de Vivalia. Et plus ils marchaient, plus l’enveloppe grossissait ! C’est ainsi que plus de 2300 km on été parcourus ! 

C’est encore une de ces belles initiatives que nous aimons mettre en avant en cette période si particulière ! D’autant plus quand ce sont des jeunes qui se “rassemblent” afin de se montrer encore plus solidaires.

“La marche des éclaireurs”

Ils ont entre 12 et 16 ans et font partie des scouts, un des plus grands mouvements de jeunesse au monde. A Saint-Léger, cette tranche d’âge bien précise qui porte le nom des “éclaireurs”, a décidé de se mobiliser dans un but bien précis : offrir des repas aux équipes de Vivalia, bien éprouvées en cette année 2020. “Nous ne pouvions plus faire d’activité avec les 12-15 ans en raison de la crise sanitaire que nous traversons”, nous explique Jérôme Migeaux, un des responsables. “Mais on ne voulait surtout pas rester inactifs et c’est ainsi que nous nous sommes mis autour d’une table afin de savoir ce qu’on pouvait organiser”

C’est ainsi qu’est née cette belle initiative : la grande marche des éclaireurs ! Le principe était simple ; il suffisait pour tout un chacun d’enfiler de bonnes chaussures, de marcher et les kilomètres alors parcourus par l’ensemble des participants étaient alors additionnés. Pas question de marcher en groupe, covid oblige, les éclaireurs invitaient les marcheurs à leur envoyer le nombre de bornes parcourues.

Côté finances, la section des éclaireurs à fait appel à quelques sponsors de la région afin de les soutenir. C’est ainsi que la fleuristerie Lé Lys, la boutique Côtés Arômes et la pizzeria l’Adriatica, toutes trois léodégariennes, se sont jointes au projet afin d’aider financièrement les jeunes scouts dans leur initiative solidaire.

Le but en additionnant les kilomètres était d’atteindre différents paliers qui débloqueraient alors de l’argent. La somme de 200€, dernier palier, serait ainsi offerte par les sponsors si l’objectif de 1000 kilomètres était franchi. “On ne pensait pas que tout irait si vite”, continue Jérôme ! “Après seulement une semaine, nous étions déjà à plus de 850 km cumulés. On a donc modifié le projet en disant que les 200€ seraient débloqués si on dépassait 1750 km. C’est ainsi que nous sommes finalement arrivés à une distance cumulée de +/-2350km.” Objectif bien plus qu’atteint !

Plus de cinquante pizzas

Une première somme de 200€ récoltée donc grâce à cette marche mais c’était sans compter sur la générosité d’un donateur anonyme qui a ajouté 100€ à cette cagnotte destinée à offrir des repas au personnel soignant.
Ainsi, des contacts ont été pris avec la direction de Vivalia à Arlon afin de pouvoir livrer des pizzas ainsi que des boissons dans les meilleures conditions possibles.

Les éclaireurs gaumais se sont donc rendus dans les services des urgences et de réanimation, deux services “Covid”, où les pizzas réalisées pour l’occasion par l’Adriatica (un de leurs sponsors), ont été distribuées. Une cinquantaine de pizzas qui ont fait plaisir à l’estomac et au cœur des équipes soignantes. “Notre but était multiple”, nous précise encore Jérôme Migeaux. “Ne pas perdre le fil et le contact avec les animés mais également de mettre sur pieds une activité qui sort des sentiers battus. En outre, nous voulions rendre service et aider le personnel soignant de Vivalia à notre manière”, termine le jeune gaumais. Un triple objectif atteint donc !

Virton : une partie fine d’une cinquantaine de personnes arrêtée par les policiers

Image Google

Ce samedi soir à Saint Mard, la police a de nouveau mis fin à une lockdown party réunissant plus de cinquante participants. Les fêtards, la plupart d’origine française, ont tous été verbalisés par les forces de l’ordre.

C’est une énième affaire du genre à laquelle les policiers ont dû faire face ce samedi dans la nuit. Ayant reçu un grand nombre d’appels téléphoniques signalant de drôles d’agissements dans cette villa située en face de la clinique Edmond Jacques (comble du comble, là où sont soignés certains patients de la Covid !), les forces de l’ordre sont descendues sur les lieux au beau milieu de la nuit.

Après avoir eu l’autorisation du magistrat, les policiers de la zone de Gaume ont pu pénétrer dans la villa suspecte. Pensant retrouver une vingtaine de personnes comme le laissait présager les voitures et les différents signalements, ce n’est pas moins de cinquante fêtards qui seront délogés, participant à un anniversaire ressemblant plus à une partie fine au vu des petites tenues portées par les individus présents. Des escorts girls se seraient également joints à cette fête interdite.

52 PV pour non-respect des mesures Covid ont été dressés, avec des amendes de 250€ à la clé pour les contrevenants tandis que deux autres P.-V. ont été réalisés pour détention de stupéfiants et de capsules de gaz hilarant.
Le propriétaire de la villa, originaire de Flandre, a également été entendu. Il n’était pas présent au moment des faits. Un PV a également été rédigé contre lui.

Une nouvelle lockdown party qui provoque le courroux du Maire de Virton dénonçant ces individus irresponsables au comportement égoïste qui pourrait mettre à néant des mois d’effort collectif. D’autant plus que la semaine dernière, il était à l’écoute des coiffeuses et coiffeurs demandant la reprise de leurs activités !

Marbehan : Julien Lapraille ouvre une pizzeria éphémère en association avec un restaurateur bastognard

Encore une nouvelle corde qui s’ajoute à l’arc de Julien Lapraille ! Le chef installé depuis pas mal d’années dans son village de Marbehan vient d’y ouvrir une nouvelle pizzeria, en association avec un restaurateur de Bastogne : Giorgi ! Cette nouvelle enseigne, “Pizzaah”, restera ouverte trois mois, du jeudi au dimanche où les pizzas à emporter seront garnies avec des produits locaux. 

“Artisanales et locales” voici comment seront les pizzas sorties tout droit du four nouvellement installé à Marbehan pour l’occasion. Alors que Julien Lapraille et son “Marché” ont tout récemment investis un nouveau bâtiment, plus grand, plus espacé et toujours situé dans la cité marbehanaise, il fallait compter sur l’imagination débordante du Top Chef pour aménager son ancien magasin en une pizzeria éphémère !

Depuis ce jeudi, des odeurs de farine torréfiée et d’origan s’échappent dans la Grand’Rue à Marbehan, un nouveau four spécialement installé chauffe déjà à plein régime. Dans cette nouvelle aventure, Julien a embarqué un restaurateur de Bastogne qui officie en temps normal au sein du Giorgi, hôtel-restaurant de la “nut’s city”, mis à l’arrêt suite aux mesures liées à la crise sanitaire ! Ce dernier s’occupera alors de la préparation de la pâte à pizza traditionnelle et de sa cuisson tandis que le gaumais se charge de la garniture de celle-ci, composée avec des produits du terroir local !

Ainsi, on pourra retrouver notamment du fromage d’Orval, des plates de Florenville (pomme de terre), du boudin, du jambon de la Sûre, … des ingrédients posés délicatement sur les quelques pizzas proposées uniquement à la vente à emporter. En parallèle, vous aurez l’occasion également de goûter les pâtes de fabrication artisanale qui viendront compléter l’offre “Italienne” ; lasagnes, rigatonis, il y en aura pour tous les goûts !

Pour les gourmands, Pizzaah est ouvert du jeudi au dimanche soir dans la Grand’Rue à Marbehan. Une aventure pour le moment éphémère, mais connaissant les ambitions du jeune chef, l’odeur typique de la pizza pourrait planer plus longtemps encore dans l’air de la région gaumaise.

Plus d’infos sur la page Facebook Pizzaah

Etalle : “Campagne” une boulangerie 100% artisanale

Il y a près d’une année, Michel Van Damme reprenait les rennes d’une boulangerie stabuloise. Ainsi naissait “Campagne”, un établissement ou le fait-maison est maître mot, où les farines sont labélisées et contrôlées et où la qualité prime sur le reste ! Une année balayée malheureusement par la crise sanitaire qui n’a pas entamé le moral et la détermination du propriétaire des lieux ! 

En septembre 2019, la boulangerie Gilquin fermait définitivement ses portes à la fin d’une quarantaine d’années de service au beau milieu du village d’Etalle. Une fermeture de courte durée car, moins de trois mois plus tard, Michel Van Damme, liégeois d’origine ayant posé ses cartons à Léglise, décide de rallumer les fours et de s’installer dans cette boulangerie gaumaise.

Un parcours atypique

Et pourtant, comme le dit si bien Michel Van Damme, rien ne le prédestinait à tenir ce genre d’établissement : “j’ai commencé mes études par un régendat en éducation physique”, nous explique-t-il. “Un début de parcours complètement atypique, dans le sens où ce n’était pas mes études ou mon désir de base, nous confie-t-il !

Quoi qu’il en soit, c’est sur le terrain que Michel apprendra son métier de boulanger en intégrant d’abord un établissement reconnu en région liégeoise : “là j’ai tout appris car c’est un réel artisan où tout est fait maison. C’est dans cette optique que je voyais le métier”, nous apprend-t-il. Parallèlement à ce poste, il débutera une formation en cours du soir afin d’apprendre les rudiments de la profession.

Après quelques années et d’autres maisons, il rejoint la province de Luxembourg où il passe par divers établissements connus de la région ; il se retrouve notamment au poste “viennoiseries”, une place qu’il affectionne tout particulièrement ! Ces apprentissages sur le terrain ont été réellement un plus comme nous le confirme Michel, à l’heure où, selon le boulanger, les formations ne sont pas complètes : “Ces différents parcours et passages m’ont permis de compléter ma formation. Des établissements où l’entièreté des produits étaient fait maison, c’était déjà un choix à l’époque !”

Des farines contrôlées et labélisées CRC 

Car à la boulangerie “Campagne”, tout est fait maison ! C’est d’ailleurs le leitmotiv de la maison et de son boulanger. Lait et œufs de fermes locales, fruits du verger, compote artisanale, rien n’est laissé au hasard ! Outre ce choix de fabrication, Michel sélectionne également les meilleurs produits de base pour la fabrication de ses pains et viennoiseries : “ma sélection de farine a été rigoureuse, je voulais la meilleure. Les meuniers avec lesquels je travaille sont les meilleurs, leur méthode de travail est également importante, ici c’est de la culture raisonnée contrôlée, un label qui n’existe pas en Belgique” nous explique-t-il. Un label qui offre l’assurance d’avoir une traçabilité complète d’une production qui respecte un cahier des charges bien précis. “Nous sommes deux en province de Luxembourg à utiliser ces farines naturelles, je ne conçois pas le fait d’utiliser des farines améliorées !”
Outre ces farines françaises labélisées, Michel travaille également des farines locales comme l’épeautre d’Ardenne, en provenance directe de la ferme d’Habaru.

Des farines labélisées mais qui ne sont pas toujours complètement stabilisées (pas d’ajout de stabilisant à la farine) ce qui ajoute encore une expertise et un savoir faire supplémentaire à cette profession. De quoi faire sonner le réveil de Michel aux environs de 1 heure du matin afin de pouvoir présenter des pains aux clients du mercredi au dimanche midi.

Un réveil à 1 heure du matin pour une journée de 12 heures

Si Michel n’est pas le seul à exercer son métier pendant 12 heures d’affilé (même si cela constitue déjà une petite exception), c’est aux environs de 1 heure du matin que son réveil sonne.

Aux premières heures, priorité à la cuisson des différents pains ainsi que celle des viennoiseries ; c’est sans dire que la température du fournil ne fait qu’augmenter entre les premières fournées jusqu’à la cuisson des tartes au petit matin. C’est aussi le moment pour composer les quelques pâtisseries qui garniront quotidiennement la vitrine. Une des dernières tâches de cette longue nuit est de fabriquer les pâtes qui lèveront toute une nuit et qui donneront un pain léger à la mie alvéolée le lendemain. Tout un programme !

Un métier usant ? “Effectivement c’est un métier qui demande de la gestion, notamment au niveau de la vie privée car ce sont des horaires décalés”, explique Michel. “Nous travaillons également le weekend, même le dimanche. C’est un planning précis que j’essaie de respecter chaque jour au risque de dormir trois heures seulement comme cela arrivait au départ de l’aventure ! Les gens ne se rendent pas toujours compte des heures de travail derrière un pain. En résumé, il faut une grande résistance au travail !”

Michel ne travaille évidemment pas tout seul à l’atelier. Actuellement, deux ouvriers le secondent dans la fabrication journalière. Mais là aussi c’est compliqué : “le plus dur est de trouver du personnel de qualité”, soupire Michel. “Ici je suis assez fier de mon personnel, que ce soit à l’atelier où au magasin mais, en règle générale, c’est difficile !” Manque de volonté, d’envie, aucune stabilité, manque de formation, je vous assure que c’est parfois la croix et la bannière pour dénicher l’ouvrier qu’il me manque. Là où le bat blesse certainement c’est au niveau de la formation où on ne leur apprend pas forcément la réalité de terrain et les contraintes du métier, c’est une formation incomplète même au niveau des basiques”, poursuit le boulanger.

“J’ai la chance d’avoir une clientèle au top ! On a jamais eu autant de compliments venant de toutes parts !”

Un métier compliqué mais qui est compensé par le plaisir donné aux clients à en écouter Michel Van Damme ! “Mon métier est hyper valorisant parce que je suis fier de ce que je sors. C’est un métier de création où on m’offre la possibilité de donner du plaisir aux gens avec des choses simples”

Et effectivement, ses clients lui rendent bien à en voir les nombreuses visites et surtout les compliments qu’il reçoit : “j’ai vraiment une belle reconnaissance de mes clients ! Les compliments viennent de toutes parts. D’habitude, on te dit quand cela ne va pas. Ici on me dit quand ça va bien, on en a pas l’habitude”, glisse-t-il avec le sourire ! “Cela me marque vraiment et me touche, c’est extraordinaire !”

Un webshop lancé en pleine crise sanitaire

Comme bon nombre de commerces, la boulangerie de Michel n’a pas été épargnée non plus lors de la crise sanitaire. Alors que le boulanger était dans sa première année, il a dû essuyer des pertes importantes de près de 30%. “Certes les pertes ont été importantes, mais on se réconforte en se disant qu’on a eu la chance de rester ouvert au contraire de certains autres domaines d’activités.”

Une perte limitée grâce également à un nouveau webshop en ligne. Même si le projet de vente en ligne était dans les cartons de ce jeune boulanger, la situation sanitaire a accéléré les choses : “en trois semaines, on a créé de toutes pièces notre webshop. Catégories, photos, produits, paiement en ligne, … tout a été envoyé en moins de trois semaines ! De plus, nous sommes certainement les seuls dans la région à proposer un tel service.”
La crise a également poussé Michel à d’autres réorganisations et aménagements. Ainsi, il a commencé à développer une tournée dans la commune de Léglise, mis en place un système de files prioritaires dans la boulangerie sans oublier le placement de deux containers permettant d’accueillir plus de clients simultanément et en toute sécurité. Des efforts qui ont permis de ne pas licencier de personnel, “c’était le plus important pour moi” termine Michel.

Un nouveau magasin ? 

Si la crise sanitaire a frappé de plein fouet le boulanger, elle lui permet cependant de s’ouvrir à d’autres projets. Depuis peu, la boulangerie “Campagne” propose ses produits à la nouvelle épicerie en ligne Foodlux ! Ainsi, chaque jeudi, les clients Foodlux peuvent faire livrer les pains de Michel jusqu’à leur domicile. Une offre de ses meilleurs pains se retrouve donc dans les rayons de cette épicerie en ligne : “valoriser des producteurs locaux et leurs produits à motivé clairement mon choix. La démarche de Foodlux est la philosophie que j’applique au quotidien !” nous explique-t-il.

Un autre projet à l’horizon concernera certainement son magasin. Un rafraichissement de la boutique et un agrandissement de celle-ci sont dans les cartons. Des travaux que Michel entreprendrait en utilisant les containers déjà disposés devant sa boulangerie à l’heure actuelle. “Mais chaque chose en son temps, petit à petit”, nous dit-il rapidement. “Ce n’est que ma première année en tant qu’indépendant, je dois donc rester prudent !” Sans oublier l’agrandissement de l’atelier qui viendra dans un second temps. Encore du pain sur la planche donc !

Baguettes, pains de tradition, pain à l’épeautre, multicéréales, pâtisseries diverses, viennoiseries au beurre de ferme, tout des produits à retrouver dans cette boulangerie 100% artisanale, dans le webshop consacré ou encore jusque chez vous grâce à Foodlux !

Alors si vous êtes de passage à Etalle ou si vous désirez retrouver le goût du bon pain d’antan, poussez la porte de la boulangerie “Campagne” !

Boulangerie Campagne
Rue du Moulin, 48
6740 Etalle
+32 63 45 55 12

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