Le site du Libramont Exhibition Congress accueille ce week-end le championnat européen de la race bovine Holstein. Un événement qui rassemblera 142 vaches d’élite venues de toute l’Europe.

La commune de Libramont est célèbre dans le milieu agricole grâce à sa Foire. Mais le Libramont Exhibition Congress est le théâtre d’un événement tout aussi important ce vendredi 12 et samedi 13 avril : la Confrontation Européenne Holstein. Son programme intègre l’organisation du concours Holstein et Red holstein, le plus prestigieux en Europe, mais aussi de multiples occasions pour les professionnels internationaux de se rencontrer.

Ce concours, réservé aux professionnels de l’élevage, attire la fine fleur des éleveurs de Holstein rouge et noire. Sorte de concours Eurovision de la vache, les agriculteurs présents n’ont qu’une seule idée en tête : décrocher l’une des médailles mise en jeu. Mais le défi est à la hauteur de la beauté des bêtes présentées. En effet, dix-neuf pays participent cette année au concours, pour un total de 142 vaches d’élite, dont 16 belges.

Un événement exceptionnel en province de Luxembourg

D’autres concours sont organisés durant l’événement. Ainsi, 37 jeunes éleveurs européens participeront par exemple à des compétitions de “clippage”. Une technique de tonte qui va permettre à l’éleveur de mettre en valeur son animal lors d’un concours. Elle consiste à raser l’animal de très près, de la tête jusqu’aux pattes. Le concours de “showmanship”, qui consiste à présenter un spectacle pour mettre en lumière les animaux, attirera aussi les curieux. Les agriculteurs lambdas pourront quant à eux se rendre à la criée, où 250 animaux seront vendus aux enchères. Les halls d’exposition abriteront par ailleurs des dizaines d’exposants représentant le secteur de l’élevage laitier.

La présence de cette Grand-messe de l’élevage sur le Vieux-Continent est une opportunité exceptionnelle pour la province de Luxembourg. Organisée seulement tous les trois ans, cela faisait plus de 15 ans que la Confrontation Européenne Holstein n’avait plus posé ses bagages en Belgique. Avec des agriculteurs venus des quatre coins d’Europe, ainsi que des représentants des différents secteurs agricoles, c’est donc une très belle publicité pour notre province rurale.

La deuxième édition des Hallucinations Collectives a lieu ce week-end au Palais d’Arlon et à l’Entrepôt. L’événement est cette fois dédié à la musique et à la culture Punk. Les tickets sont déjà en vente.

Peut-être que vous ne connaissez pas encore les Hallucinations Collectives. C’est un concept culturel arlonais qui mêle plaisirs sensoriels et sculpture de l’esprit. A chaque événement, le public est ballotté dans un maelstrom d’expériences destinées à mieux connaître un phénomène musical ou culturel. La photographie, le cinéma, le documentaire, la lecture de textes, les musi-conférences et les sessions d’écoute sont ainsi autant de médias explorés.

Après une édition consacrée au hip-hop l’an dernier, les Hallucinations Collectives remettent le couvert. Ils invitent cette fois les curieux de tout âge à s’intéresser à un tout autre genre : le punk. Une musi-conférence expliquera les intérêts esthétiques de ce mouvement, son impact sur la société ainsi que sur les goûts et les mœurs actuels. Le festival multi-disciplinaire commencera en outre par dérégler vos idées reçues avant de chambouler vos repères sensoriels à travers diverses expériences artistiques. L’objectif est de vous offrir un point de vue original sur la culture et l’héritage punk.

Un programme riche et varié

Le festival interdisciplinaire proposera une programmation riche et variée. Les visiteurs pourront admirer des expos de photos et de sérigraphies et participer à des workshops de sérigraphie. Ils pourront aussi observer des performances frôlant l’absurde. Les plus mélomanes s’adonneront quant à eux à l’écoute d’un vinyle mythique dans des conditions ultra-immersives. Ils pourront ensuite danser lors des concerts qui jalonneront le week-end.

“Nous vous invitons à vivre une expérience immersive unique dans un genre musical, et ainsi d’en explorer l’histoire, ses impacts sociétaux et ses ramifications culturelles” explique les organisateurs. “En guise d’apéritif symbolique, le festival sera inauguré le vendredi 12 avril par une soirée organisée à l’Entrepôt. Salle ô combien importante dans la promotion du punk dans nos régions depuis son ouverture en 1997”.

En effet, quatre groupes français et huit groupes belges s’y succéderont. Histoire de donner au public l’opportunité de mieux comprendre et ressentir ce mouvement. Le lendemain, quatre autres groupes venus de Londres, de Gand et de Tournai nous propulseront ensuite dans des latitudes soniques insoupçonnées. Ils vous feront certainement découvrir des sensations que vous pensiez avoir perdues ou même jamais ressenties.

“N’hésitez plus si le doute vous assaille. Les Hallucinations Collectives sont là pour vous faire voyager. En vous et dans l’inconnu, là où tout reste à découvrir. Et la musique sera toujours le moyen le plus direct pour y accéder !”.

Ce festival se tiendra à l’Entrepôt et au Palais d’Arlon du vendredi 12 au dimanche 14 avril. Les informations pratiques et les billets sont disponibles en CLIQUANT ICI. 

La friterie Chez D’Joh à Rulles organise le samedi 13 avril la deuxième édition du concours du plus gros mangeur de fricadelles. Comme l’an dernier, un chèque de 100€ est mis en jeu comme récompense.

Souvenez-vous : le 31 octobre dernier, le petit village de Rulles avait attiré les estomacs les plus solides de la région pour la première édition du concours du plus gros mangeur de fricadelles. Organisé par la friterie Chez D’Joh, le concours avait séduit une cinquantaine de participants. Sous un chapiteau installé juste à côté de la baraque à frite, des gourmands avaient accepté de relever le défi un peu fou d’ingurgiter un maximum de fricadelles en moins de huit minutes.

Des centaines de curieux avaient fait le déplacement depuis les quatre coins de Belgique et de l’étranger. Le concours a tellement fait parlé de lui qu’une équipe de l’émission Quotidien, présentée par Yann Barthès chaque soir sur TMC et TF1, avait même débarqué à Rulles pour immortaliser ce concours gastronomique.

100€ pour le vainqueur !

Un succès qui pousse aujourd’hui Johanna, la gérante, à renouveler l’opération. La deuxième édition du concours le plus insolite aura lieu le samedi 13 avril prochain. Comme l’an dernier, l’objectif sera de s’enfiler un maximum de fricadelles en huit minutes. Pour faire face à l’appétit d’ogre des concurrents, l’équipe a commandé un stock volumineux des célèbres saucisses.

Les amateurs de “bonne bouffe” qui se donneront rendez-vous à la baraque à frite seront soumis à des règles strictes. Ainsi, il est obligatoire de terminer entièrement la fricadelle devant vous avant de débuter la prochaine. Chaque participant a droit à un pot de sauce de son choix, ainsi que de l’eau distribué gratuitement. Il est aussi possible de commander une autre boisson, mais moyennant paiement. Il est en outre interdit de vomir, cracher, tricher ou de se lever pendant le concours.

Le record de l’an dernier est établit à 12 fricadelles en huit minutes. Le record de Belgique est, lui, détenu par Eric Francis, un habitant de Saint-Trond. Lors de la finale à Genk, le champion a englouti 25 fricadelles en un temps record.

Les inscriptions sont d’ores et déjà ouverte et une participation coûte 6€. Il suffit de vous rendre à la friterie, de passer un coup de fil au 063/41.11.36 ou au 0493/73.36.90, ou d’envoyer un message sur la page Facebook de la friterie en CLIQUANT ICI. Informations pratiques en CLIQUANT ICI.

La chaine de restauration rapide O’Tacos va prochainement ouvrir un établissement dans le centre-ville d’Arlon. Il s’agit de la première enseigne de la marque en province de Luxembourg. 

Vous l’avez peut-être remarqué si vous vous êtes baladés dans le chef-lieu récemment. Des travaux sont actuellement en cours dans un commerce en face du Carrefour Market, sur la place du Marché-aux-Légumes. Et pour cause : la chaine O’Tacos a décidé d’ouvrir un établissement dans le centre-ville. Les ouvriers mettent actuellement les bouchées doubles pour terminer le chantier dans les temps.

Première enseigne de la marque française en province de Luxembourg, O’Tacos s’est fait connaitre en popularisant à grande échelle les tacos, cet aliment emblématique de la cuisine mexicaine. Dans ses cuisines, le fast-food proposera à ses clients de concocter leur o’tacos sur-mesure : viandes, sauces, crudités, suppléments, et la mythique sauce fromagère. Les “Otacos” seront disponibles dans plusieurs tailles : M (1 viande), L (2 viandes), XL (3 viandes) et XXL (4 viandes). Il est même possible de commander un Gigatacos, un o’tacos de 2,5kg.

Ouverture imminente !

Comme le souligne l’enseigne, les o’tacos proposés ne seront pas une pâle copie de leurs cousins mexicains. Les mets proposés s’inspireront bien évidemment de la gastronomie mexicaine, mais il s’agit avant tout de o’tacos à la sauce française. De quoi faire saliver les plus gourmets, qui devraient se bousculer lors de l’ouverture. D’autant plus qu’il s’agira d’un concept unique dans la région.

La communauté étudiante, très massive à Arlon, constituera bien entendu un public privilégié pour O’Tacos. Le franchisé en charge du restaurant ne cache d’ailleurs pas que la présence de milliers d’étudiants a motivé son arrivée dans la région. Mais le snack espère également convaincre au-delà de la sphère étudiante. Elle désire en effet contribuer au renouveau et à la redynamisation du centre-ville.

L’ouverture du restaurant O’Tacos est imminente. Aucune date précise n’a encore été communiquée, mais elle est prévue dans les toutes les prochaines semaines. Les travaux à effectuer au sein de la surface commerciale sont assez conséquents. La chaine souhaite que les clients soient reçus dans les meilleures conditions possibles lors de l’ouverture officielle.

Pour venir en aide aux plus démunis, l’enseigne PointCarré et la Croix-Rouge lancent une grande action de solidarité. Une collecte de vêtements pour enfants est organisée. Un bon de 5€ est offert par vêtement déposé.

Chaque année, environ 5.000 personnes dans le besoin en Wallonie et à Bruxelles se tournent vers les Vestiboutiques de la Croix-Rouge pour s’habiller. A travers ce réseau de magasins de seconde main, quelque 350.000 vêtements sont donnés ou vendus à un prix abordable.

Afin de mieux venir en aide aux personnes dans le besoin, l’enseigne PointCarré et la Croix-Rouge lancent une grande collecte d’habits pour enfants. Pour tout dépôt de vêtements en bon état, les clients recevront des bons d’achat de 5 euros. Les boutiques d’Arlon, Florenville, Marche, Libramont et Virton participent à l’action.

Les pièces collectées pourront ensuite être distribuées gratuitement ou revendues à travers les Vestiboutiques de la Croix-Rouge. Vos dons de vêtements permettront de générer des revenus pour financer les activités de proximité en faveur des plus démunis. Notamment des épiceries sociales, bars à soupe hivernaux, tournées en rue auprès des sans-abri ou encore des colis alimentaires d’urgence.

Un bon de 5 euros pour tout vêtement déposé

Du mercredi 3 avril au dimanche 21 avril, chaque personne qui effectue un dépôt de vêtements pour enfant dans une enseigne PointCarré se verra en effet offrir un bon d’achat de 5€ par vêtement rapporté. « En cette période de printemps propice au renouvellement de sa garde-robe, nous avons souhaité mener une action de solidarité placée sous le signe de la famille”, explique Xavier Goebels, CEO de PointCarré.

“Aujourd’hui, une personne sur cinq en Wallonie et à Bruxelles vit dans une situation de précarité”

A travers cette opération de solidarité, PointCarré et la Croix-Rouge veulent agir localement. La récolte de vêtements pour enfants sera organisée à travers les 28 magasins PointCarré. “L’originalité de cette campagne réside dans l’ancrage local. Notre réseau compte en effet 92 points de vente. A travers chacun d’eux, nous pouvons venir en aide localement. Et de diverses manières à des personnes dans le besoin” commente Marie Masset, directrice marketing de la Croix-Rouge de Belgique.

Dans le cadre de cette campagne, ce sont les employés de l’enseigne qui veilleront à la qualité des habits déposés. Le responsable de chaque magasin apportera ensuite lui-même les vêtements récoltés à la Vestiboutique la plus proche.

S’habiller à un prix abordable

Ce n’est pas la première fois que PointCarré s’engage au profit d’une cause caritative. Depuis 2011, chaque mois de septembre, l’enseigne organise en effet une campagne de collecte de vieux jeans au profit de l’association Les Petits Riens. 220 000 vieux jeans ont pu être récoltés depuis la première édition de l’action.

Cette fois, la volonté est de mener une action orientée vers les familles. Dans un nombre croissant de ménages, les parents sont aujourd’hui confrontés à des situations difficiles. “Bien souvent, il faut faire des choix entre le voyage scolaire, l’achat d’une veste de saison ou l’acquisition d’une paire de chaussures à la bonne taille. L’action menée avec PointCarré doit permettre de mieux alimenter les Vestiboutiques en vêtements pour les plus jeunes. Et ensuite permettre au plus grand nombre de trouver de quoi s’habiller à un prix abordable” conclut Xavier Goebels.

La récolte de vêtements est essentielle pour la Croix-Rouge. D’une part, elle permet de répondre aux demandes de personnes dans le besoin rencontrées sur le terrain. D’autre part, la vente des vêtements à des prix abordables, en seconde main, contribue au financement des nombreuses autres actions menées par la Croix-Rouge.

Le gestionnaire de réseaux de distribution ORES signale une arnaque qui est actuellement en cours dans la région d’Arlon. Il invite les habitants à la plus grande prudence.

Une nouvelle arnaque touche actuellement la région d’Arlon. Après les faux bénévoles de la Société Royal Protectrice des Animaux, ce sont aujourd’hui des faux agents ORES qui effectuent du porte à porte dans le Sud-Luxembourg. L’entreprise indique que ces individus sont mal intentionnés. Il est donc demandé de faire preuve de prudence et de ne pas laissé entrer les faux agents.

“Des individus se faisant passer pour des membres de notre personnel sont actuellement présents dans la région d’Arlon” indique ORES, dans un communiqué publié sur Facebook. “Ils se présentent comme étant mandaté par ORES afin de proposer un contrat de fourniture d’énergie. Ils ne sont pas munis de nos uniformes, ni de badges d’identification de notre entreprise.”

Ne jamais signer de papiers

Les travaux de réhabilitation de l’autoroute E411 entre Arlon et Sterpenich sont enfin terminés. Le chantier aura duré plus de 8 mois, engendrant un cauchemar pour les frontaliers.

C’est un énorme soulagement pour les milliers de frontaliers qui se rendent au Grand-Duché de Luxembourg tous les jours. Les travaux de réfection de l’autoroute E411 entre Arlon et Sterpenich sont enfin terminés. L’autoroute, qui n’avait plus été réhabilitée depuis 30 ans, nécessitait un sérieux lifting. Cette portion d’autoroute est en effet fréquentée chaque jour en moyenne par environ 40 000 véhicules dont 10 000 poids lourds dans chaque sens. Le béton armé continu endommagé devait donc être réparé.

La fin des travaux met un terme à huit mois de galère pour les usagers de la route. La société en charge du chantier, se félicite de la rapidité avec laquelle ce projet a été mené. “Nous avons fini les travaux dans les délais impartis. Mieux : nous devions réparer 11km en deux ans. Mais nous avons réussi à boucler le chantier en huit mois” expliquent-ils fièrement dans un communiqué.

Le Grand-Duché comme exemple

La société détaille également que si le chantier s’est déroulé sans encombre, c’est grâce à la parfaite communication entre ses équipes et les automobilistes. “C’est un tour de force pour nos équipes. Nous étions conscients des embarras de circulation que cela provoquait pour les frontaliers, alors nous avons mis les bouchées doubles. Nous avons écouté leurs conseils et adapté le planning du chantier en conséquence” continuent-ils.

Interrogé par Shootlux, un frontalier confirme que le chantier a été réalisé sans heurt. “Pour être honnête, je n’avais même pas remarqué qu’il y avait des travaux” explique Claude. “La rapidité du chantier et la discrétion des équipes ont été impressionnantes”.

Le gestionnaire des travaux explique par ailleurs qu’ils ont pris exemple sur leurs homologues luxembourgeois pour réparer l’autoroute dans un laps de temps record. “Comme au Grand-Duché, nous avons redoublé d’effort en travaillant le week-end et la nuit. Et ceci pour éviter les désagréments aux heures de pointe. Force est de constater que cela a fonctionné : pratiquement pas de bouchons et une circulation fluide”.

Espérons que les autres chantiers belges se déroulent aussi bien ! Bon poisson d’avril à tous !